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Associatif en campagne
Associatif en campagne
Description
Participation du CAC
A la table ronde de Namur aura lieu le 21 mai 2024 au Centre Culturel de Namur/
Co-organisateurs : Collectif 21 – CBCS – Miroir Vagabond – CAI – Carrefour des Cultures
A la table ronde de Namur aura lieu le 21 mai 2024 au Centre Culturel de Namur/
Co-organisateurs : Collectif 21 – CBCS – Miroir Vagabond – CAI – Carrefour des Cultures
Date de l'événement
21.05.2024
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Adresse
Les Abattoirs de Bomel Traverse des Muses 18 5000 Namur
Colloque + atelier Libertés Associatives Roanne - 19/12
Colloque + atelier Libertés Associatives Roanne - 19/12
Description
Le 19 DEC 2024 à ROANNE
La Ligue de l'enseignement centre confédéral Loire & le Cercle Condorcet de Roanne proposent un évènement dédié aux associations et à leurs libertés :
👉 15h30 ATELIER PARTICIPATIF d’éduc pop’ « 1,5 million d'associations ... et moi... et moi... et moi... »
👉 19h CONFÉRENCE DÉBAT à 19h « LES LIBERTÉS ASSOCIATIVES DE CONDORCET A NOS JOURS »
L’atelier et la conférence seront animés et présentés par Jean-Baptiste Jobard, coordinateur du Collectif des associations citoyennes (CAC)
La Ligue de l'enseignement centre confédéral Loire & le Cercle Condorcet de Roanne proposent un évènement dédié aux associations et à leurs libertés :
👉 15h30 ATELIER PARTICIPATIF d’éduc pop’ « 1,5 million d'associations ... et moi... et moi... et moi... »
👉 19h CONFÉRENCE DÉBAT à 19h « LES LIBERTÉS ASSOCIATIVES DE CONDORCET A NOS JOURS »
L’atelier et la conférence seront animés et présentés par Jean-Baptiste Jobard, coordinateur du Collectif des associations citoyennes (CAC)
Date de l'événement
19.12.2024
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Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
12 avenue de Paris Roanne
Communs, ESS et anthropocène - 16/06
Communs, ESS et anthropocène - 16/06
Description
Dans le cadre du séminaire "communs et l’économie sociale et solidaire"de la coop des communs -
16 juin 23 à 12h : « Communs, ESS et anthropocène », avec Justine Loizeau, doctorante en sciences de gestion à l’université Paris Dauphine et Jean-François Draperi.
16 juin 23 à 12h : « Communs, ESS et anthropocène », avec Justine Loizeau, doctorante en sciences de gestion à l’université Paris Dauphine et Jean-François Draperi.
Date de l'événement
16.06.2023
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Forum 2020 des Plateformes Coopératives
Forum 2020 des Plateformes Coopératives
Description
Organisé par la coop des communs
2020 : c’est la crise, mais pas pour les plateformes numériques.
Pour réagir face aux chocs sanitaire puis économique, elles sont sur toutes les lèvres : comment continuer à se nourrir sainement quand les marchés ferment ? Plateformes ! Comment assurer la continuité de la vie économique quand tout s’arrête ? Plateformes ! Après avoir permis l’ubérisation de la sphère marchande, la crise covid 19 va-t-elle accélérer l’ubérisation de tout le reste et notamment de nos outils de solidarité ? Pas sûr.
2020 : c’est la crise, mais pas pour les plateformes numériques.
Pour réagir face aux chocs sanitaire puis économique, elles sont sur toutes les lèvres : comment continuer à se nourrir sainement quand les marchés ferment ? Plateformes ! Comment assurer la continuité de la vie économique quand tout s’arrête ? Plateformes ! Après avoir permis l’ubérisation de la sphère marchande, la crise covid 19 va-t-elle accélérer l’ubérisation de tout le reste et notamment de nos outils de solidarité ? Pas sûr.
Date de l'événement
12.12.2020
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Forum 2020 des Plateformes Coopératives
Forum 2020 des Plateformes Coopératives
Description
Organisé par la coop des communs
**2020 : c’est la crise, mais pas pour les plateformes numériques.**
Pour réagir face aux chocs sanitaire puis économique, elles sont sur toutes les lèvres : comment continuer à se nourrir sainement quand les marchés ferment ? Plateformes ! Comment assurer la continuité de la vie économique quand tout s’arrête ? Plateformes ! Après avoir permis l’ubérisation de la sphère marchande, la crise covid 19 va-t-elle accélérer l’ubérisation de tout le reste et notamment de nos outils de solidarité ? Pas sûr.
Date de l'événement
12.12.2020
Forum 2020 des Plateformes Coopératives
Forum 2020 des Plateformes Coopératives
Description
Organisé par la coop des communs
**2020 : c’est la crise, mais pas pour les plateformes numériques.**
Pour réagir face aux chocs sanitaire puis économique, elles sont sur toutes les lèvres : comment continuer à se nourrir sainement quand les marchés ferment ? Plateformes ! Comment assurer la continuité de la vie économique quand tout s’arrête ? Plateformes ! Après avoir permis l’ubérisation de la sphère marchande, la crise covid 19 va-t-elle accélérer l’ubérisation de tout le reste et notamment de nos outils de solidarité ? Pas sûr.
Date de l'événement
12.12.2020
Forum 2020 des Plateformes Coopératives
Forum 2020 des Plateformes Coopératives
Description
Organisé par la coop des communs
**2020 : c’est la crise, mais pas pour les plateformes numériques.**
Pour réagir face aux chocs sanitaire puis économique, elles sont sur toutes les lèvres : comment continuer à se nourrir sainement quand les marchés ferment ? Plateformes ! Comment assurer la continuité de la vie économique quand tout s’arrête ? Plateformes ! Après avoir permis l’ubérisation de la sphère marchande, la crise covid 19 va-t-elle accélérer l’ubérisation de tout le reste et notamment de nos outils de solidarité ? Pas sûr.
Date de l'événement
12.12.2020
Forum 2020 des Plateformes Coopératives
Forum 2020 des Plateformes Coopératives
Description
Organisé par la coop des communs
**2020 : c’est la crise, mais pas pour les plateformes numériques.**
Pour réagir face aux chocs sanitaire puis économique, elles sont sur toutes les lèvres : comment continuer à se nourrir sainement quand les marchés ferment ? Plateformes ! Comment assurer la continuité de la vie économique quand tout s’arrête ? Plateformes ! Après avoir permis l’ubérisation de la sphère marchande, la crise covid 19 va-t-elle accélérer l’ubérisation de tout le reste et notamment de nos outils de solidarité ? Pas sûr.
Date de l'événement
12.12.2020
presidente de " Les Frairies" association des fêtes de Puy St André 05100om
presidente de " Les Frairies" association des fêtes de Puy St André 05100om
Le quinquennat d’E. Macron s’achève actuellement. En prenant un peu de hauteur sur l’actualité, que souhaiteriez-vous exprimer sur son bilan en matière de vie associative ? De manière générale, a-t-on plutôt assisté à des avancés ? Des reculs ? Que peut-on retenir, selon vous, globalement, de ces 60 derniers mois ?
Votre réponse
recul + covid : c'était pas du tout "la fête" !
egoisme! individualisme! deprimes etc...
Dans votre domaine d’activité, quelles vous semblent être les évolutions les plus marquantes à relever ? Le paysage a-t-il changé ? Par rapport à 2017, quelle est la situation dans votre secteur ?
Votre réponse
plus aucuns jeunes et des adultes peu decidés a reprendre leurs habitudes culturelles !
Nous entrons donc dans un moment charnière entre deux quinquennats. Dans cette campagne électorale qui commence avez-vous déjà entendu des idées, des pistes d’action, des propositions qui ont particulièrement retenues votre attention ?… Et si non, pensez-vous à des idées, des pistes d’actions ou des propositions que vous aimeriez entendre ces prochaines semaines et ces prochains mois ?
Votre réponse
imaginer un president(E) qui soutienne la vie associative, l'économie sociale et la culture c'est un rêve!
seul POUTOU peut être???
Nous sommes le 1er mai 2022. Et, c’est une immense surprise mais vous venez d’être nommé Ministre chargé de la vie associative par le candidat issu de la primaire populaire qui vient d’être élu (contre toute attente) à la présidence de la République. Quelles sont les premières mesures sur lesquelles vous décidez alors de travailler ?
Votre réponse
la paix sur terre = moins de fric à l'armée et donc plus à la santé, l'éducation et la culture !
le soutien aux associations reellement à but non lucratif et sociales
Autre chose à ajouter ?
Votre réponse:
defendre les droits et la vie humaine avant les profits !
Souhaitez-vous l'anonymat lors de la restitution des résultats de l'enquête ?
NON
"120 ans de la loi 1901" conf-débat du MvtAsso sur les libertés associatives - 1er juillet
"120 ans de la loi 1901" conf-débat du MvtAsso sur les libertés associatives - 1er juillet
Description
À l’occasion des 120 ans de la loi 1901, Le Mouvement associatif vous convie à une conférence-débat sur les libertés associatives
Jeudi 1er juillet de 17h à 20h
au Centre de recherches interdisciplinaires de Paris (8 bis rue Charles V, 75004 Paris, métro Sully-Morland)
Jeudi 1er juillet de 17h à 20h
au Centre de recherches interdisciplinaires de Paris (8 bis rue Charles V, 75004 Paris, métro Sully-Morland)
Date de l'événement
01.07.2021
Référence
https://lemouvementassociatif.org/
Référence externe
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"120 ans de la loi 1901" conf-débat du MvtAsso sur les libertés associatives - 1er juillet
"120 ans de la loi 1901" conf-débat du MvtAsso sur les libertés associatives - 1er juillet
Description
À l’occasion des 120 ans de la loi 1901, Le Mouvement associatif vous convie à une conférence-débat sur les libertés associatives
Jeudi 1er juillet de 17h à 20h
au Centre de recherches interdisciplinaires de Paris (8 bis rue Charles V, 75004 Paris, métro Sully-Morland)
Date de l'événement
01.07.2021
Référence
https://lemouvementassociatif.org/
"120 ans de la loi 1901" conf-débat du MvtAsso sur les libertés associatives - 1er juillet
"120 ans de la loi 1901" conf-débat du MvtAsso sur les libertés associatives - 1er juillet
Description
À l’occasion des 120 ans de la loi 1901, Le Mouvement associatif vous convie à une conférence-débat sur les libertés associatives
Jeudi 1er juillet de 17h à 20h
au Centre de recherches interdisciplinaires de Paris (8 bis rue Charles V, 75004 Paris, métro Sully-Morland)
Date de l'événement
01.07.2021
Référence
https://lemouvementassociatif.org/
"120 ans de la loi 1901" conf-débat du MvtAsso sur les libertés associatives - 1er juillet
"120 ans de la loi 1901" conf-débat du MvtAsso sur les libertés associatives - 1er juillet
Description
À l’occasion des 120 ans de la loi 1901, Le Mouvement associatif vous convie à une conférence-débat sur les libertés associatives
Jeudi 1er juillet de 17h à 20h
au Centre de recherches interdisciplinaires de Paris (8 bis rue Charles V, 75004 Paris, métro Sully-Morland)
Date de l'événement
01.07.2021
Référence
https://lemouvementassociatif.org/
"120 ans de la loi 1901" conf-débat du MvtAsso sur les libertés associatives - 1er juillet
"120 ans de la loi 1901" conf-débat du MvtAsso sur les libertés associatives - 1er juillet
Description
À l’occasion des 120 ans de la loi 1901, Le Mouvement associatif vous convie à une conférence-débat sur les libertés associatives
Jeudi 1er juillet de 17h à 20h
au Centre de recherches interdisciplinaires de Paris (8 bis rue Charles V, 75004 Paris, métro Sully-Morland)
Date de l'événement
01.07.2021
Référence
https://lemouvementassociatif.org/
"MODAL" rencontres nationales de la FAMDT à Marseille 18 juin
"MODAL" rencontres nationales de la FAMDT à Marseille 18 juin
Description
Participation du CAC avec animation de la plénière « Coopérer, relier, soigner l’hospitalité » à Marseille
Date de l'événement
18.06.2021
Référence
https://iphone.facebook.com/FAMDT/photos/a.860680217327383/4136354929759879/?type=3&source=48
Référence externe
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"MODAL" rencontres nationales de la FAMDT à Marseille 18 juin
"MODAL" rencontres nationales de la FAMDT à Marseille 18 juin
Description
Participation du CAC avec animation de la plénière « Coopérer, relier, soigner l’hospitalité » à Marseille
Date de l'événement
18.06.2021
"MODAL" rencontres nationales de la FAMDT à Marseille 18 juin
"MODAL" rencontres nationales de la FAMDT à Marseille 18 juin
Description
Participation du CAC avec animation de la plénière « Coopérer, relier, soigner l’hospitalité » à Marseille
Date de l'événement
18.06.2021
"MODAL" rencontres nationales de la FAMDT à Marseille 18 juin
"MODAL" rencontres nationales de la FAMDT à Marseille 18 juin
Description
Participation du CAC avec animation de la plénière « Coopérer, relier, soigner l’hospitalité » à Marseille
Date de l'événement
18.06.2021
"MODAL" rencontres nationales de la FAMDT à Marseille 18 juin
"MODAL" rencontres nationales de la FAMDT à Marseille 18 juin
Description
Participation du CAC avec animation de la plénière « Coopérer, relier, soigner l’hospitalité » à Marseille
Date de l'événement
18.06.2021
#1 // POLITIQUES PUBLIQUES, DEMOCRATIE ET INTERVENTION CITOYENNE // Droit de s'exprimer librement et de manifester. Nous demandons l'arrêt de la répression contre les militants associatifs : procédures bâillons et lois liberticides.
THEME DE LA SEMAINE
Politiques publiques, Démocratie et Intervention citoyenne
DATE
29.04.2019
RESEAUX SOCIAUX
Pour la préservation des libertés collectives et associatives #ledroitdelouvrirledroitdagir > @AssosCitoyennes pour la campagne #MobilisationAssos
AFFICHETTES A TELECHARGER
Lien affichette générale couleur
[[http://cedsdac.associations-citoyennes.net/?PageCoord/download&file=Affichette_gen_S1.pdf Affichette générale couleur]]
Lien affichette générale noir et blanc
[[http://cedsdac.associations-citoyennes.net/?PageCoord/download&file=Affichette_gen_S1_nb.pdf Affichette générale noir&blanc]]
Lien affichette de la semaine couleur
[[http://cedsdac.associations-citoyennes.net/?PageCoord/download&file=Aff_sem1_29_04.pdf Affichette semaine 1 couleur]]
Lien affichette de la semaine noir et blanc
[[http://cedsdac.associations-citoyennes.net/?PageCoord/download&file=Aff_sem1_29_04_nb.pdf Affichette semaine 1 noir&blanc]]
ARGUMENTAIRE COURT POUR AFFICHETTE
Un processus de restrictions des libertés collectives et associatives est à l’œuvre et tend à s’accélérer, restrictions protéiformes de plus en plus prégnantes dans les relations que les associations nouent non seulement avec l’État mais aussi avec les Collectivités Territoriales ou les entreprises (on peut penser à ce sujet aux « procès-baillons » notamment).
Nous demandons, à minima, la mise en application de la 14ème des 59 mesures du rapport « Pour une politique de vie associative ambitieuse et le développement d’une société de l’engagement ». Celle-ci consiste simplement, dans un premier temps, à « Créer un groupe de travail associations – pouvoirs publics sur les libertés associatives, afin d’examiner les risques pouvant peser sur celles-ci et les conditions nécessaires pour qu’elles soient préservées ».
Nous demandons, à minima, la mise en application de la 14ème des 59 mesures du rapport « Pour une politique de vie associative ambitieuse et le développement d’une société de l’engagement ». Celle-ci consiste simplement, dans un premier temps, à « Créer un groupe de travail associations – pouvoirs publics sur les libertés associatives, afin d’examiner les risques pouvant peser sur celles-ci et les conditions nécessaires pour qu’elles soient préservées ».
ARGUMENTAIRE LONG
Depuis plusieurs décennies, les associations voient leur champ d'expression, leurs libertés et leurs droits se restreindre sous la pression des politiques néolibérales et sous le prétexte de lutte contre le terrorisme et de sécurité publique.
La 14ème des 59 mesures du rapport « Pour une politique de vie associative ambitieuse et le développement d’une société de l’engagement » remis au gouvernement en Juin 2018 est le fruit d’un long processus.
Un processus de restrictions des libertés collectives et associatives, restrictions protéiformes de plus en plus prégnantes dans les relations que les associations nouent non seulement avec l’État mais aussi avec les Collectivités Territoriales ou les entreprises (on peut penser à ce sujet aux « procès-baillons » notamment).
Cette proposition simple « Créer un groupe de travail associations – pouvoirs publics sur les libertés associatives, afin d’examiner les risques pouvant peser sur celles-ci et les conditions nécessaires pour qu’elles soient préservées » est bien sûr également le produit d’un autre processus : celui conduisant les acteurs associatifs à construire des contre-feux et des résistances à ce phénomène de plus en plus observés.
D’évidence l’ambition de l’engagement associatif ne pourra être tenue sans prendre cette question très au sérieux et cette note se propose, en ce sens, de fournir une série de points de repères pour faciliter et entamer sans attendre ce travail.
Ce que nous constatons. Quelques exemples concrets.
De nombreux militants et militantes associatifs sont arrêtés, mis en examen et condamnés pour avoir simplement exercé leur activité associative. A Briançon le 13 décembre dernier sept militants associatifs ont été condamnés à des peines d'emprisonnement fermes et avec sursis avec mise à l'épreuve, pour avoir participé en avril 2018, à une marche solidaire pour dénoncer les violences commises par le groupuscule identitaire (qui lui n'a pas été inquiété) à l'encontre des personnes exilées dans la région de Briançon et pour protester contre la militarisation de la frontière franco- italienne. L’État leur reproche d'avoir à cette occasion « facilité l'entrée de personnes illégales sur le territoire français en bande organisée ». Tous sont des militants d'associations reconnues faisant un travail depuis très longtemps auprès des immigrés, comme le Cimade, le GISTI, Anafé. Les peines sont lourdes, une condamnation à 12 mois d'emprisonnement dont 4 fermes et 8 avec sursis avec mise à l'épreuve, une à 12 mois d'emprisonnement dont 8 avec sursis simple et 5 condamnations à 6 mois d'emprisonnement avec sursis simple.
A Bure, les militants associatifs qui s'opposent au projet d'enfouissement de déchets nucléaires du Centre industriel de stockage géologique (Cigéo), sont soumis à des mesures administratives et à un contrôle judiciaire qui les empêchent de se rencontrer et empêchent l'association de fonctionner : deux administrateur d'une même association qui n'ont plus le droit de se rencontrer, perquisition chez leur avocat, interdictions de territoire. Les associations sont soumises par ailleurs de la part de l’État à un harcèlement judiciaire qui n'a pas d'équivalent : poursuite pour « association de malfaiteurs », appel systématique du parquet quand la justice relaxe les militants etc.
Le gouvernement a choisi la répression pour « mater » les mouvements sociaux. L'utilisation des forces de l'ordre avec des armes qui ont fait des dizaines de blessés entraînant une escalade dans la violence pour « maintenir l'ordre » lors des manifestations des « gilets jaunes », ainsi que la reprise de la proposition de loi « anticasseur » votée au Sénat et débattue et adoptée dans la précipitation à l'Assemblée nationale en sont l'illustration. Cette loi va faire encore monter la violence institutionnelle, et la violence dans les manifestations, tout en empêchant de nombreux citoyens d'exercer leurs droits constitutionnels de manifester. Le gouvernement français poursuit dans une direction que beaucoup de pays européens ont abandonnée en s'efforçant de faire baisser la violence dans les manifestations et interdisent les « lanceurs de balles ». La France construit des prisons alors que d’autres pays européens les ferment ou les louent à leur voisin. Il est de la responsabilité du gouvernement de tout faire pour diminuer la violence institutionnelle afin d'apaiser les esprits au lieu d'ajouter de la répression et de toujours réduire les droits et libertés.
Des lois toujours plus répressives.
Depuis les attentats du 11 septembre 2001 à New-York, plus de vingt lois, sous prétexte de sécurité et de lutte contre le terrorisme ont été adoptées par le législateur, qui toutes à un titre ou à un autre limitent les possibilités d'action des associations. Citons, sans vouloir prétendre à l'exhaustivité : loi du 15 novembre 2001 ; loi du 29 août 2002 ; loi du 18 mars 2003 ; loi du 9 mars 2004 ; loi du 23 janvier 2006 ; loi du 1er décembre 2008 ; loi du 14 mars 2011 ; loi du 21 décembre 2012 ; loi du 18 décembre 2013 ; loi du 13 novembre 2014 ; loi du 24 juillet 2015.
L'état d'urgence décrété le 14 novembre 2015 a été utilisé pour assigner à résidence des militants associatifs écologiques, puis prolongé par une série de lois jusqu'à sa banalisation dans notre droit en octobre 2017. Six lois ont alors été adoptées qui toutes resserrent les libertés : loi du 30 novembre 2015 ; loi du 22 mars 2016 ; loi du 3 juin 2016; loi du 21 juillet 2016 ; loi du 28 février 2017 ; loi du 30 octobre 2017 ; loi du 30 juillet 2018 ; et en ce moment projet de loi dit anticasseur qui remet en cause le droit constitutionnel de manifester, ou les projets de loi sur la « réforme de la justice ».
A ces séries de lois, portant explicitement sur les libertés, il faut ajouter des lois portant sur des sujets spécifiques (économiques, logement, société de confiance...) qui restreignent les possibilités d'intervention des associations pour ester en justice, ou qui réduisent les possibilités de débats publics sous prétexte d'accélérer les projets.
Toutes ces lois affectent à un titre ou à un autre l'activité des associations. Jamais cette question n'a fait l'objet d'un examen critique, comme s'il allait de soi que les associations n’étaient pas concernées ou naturellement se conformaient à ces dispositions et à leurs conséquences sans avoir rien à dire. C'est pourquoi dans le cadre de la « concertation » ouverte en novembre 2017, les associations ont demandé de « créer un groupe de travail associations-pouvoirs publics sur les libertés associatives, afin d'examiner les risques pouvant peser sur celles -ci et les conditions nécessaires pour qu'elles soient préservées » (proposition 14).
Mais ce qui affecte le plus immédiatement et le plus continûment la capacité d'agir et la liberté de définir ses actions est la pression politique et financière pour « changer de modèle économique » avec la diminution constante depuis des années des subventions, la généralisation des appels d'offre et des appels à projet qui ne sont le plus souvent que des appels d'offre déguisés. L’appel à projet ou l'appel d'offre soumet les associations aux décisions, directives et demandes de l'autorité qui lance cet appel. L'association n'a de choix que de répondre à l'appel dans les conditions qui lui sont imposées, même si historiquement c'est elle qui a initié l'action.
Les « contrats à impact social », « french impact » ou la volonté de créer « une philanthropie à la française », mettent peu à peu les associations entre les mains des grands groupes multinationaux, les obligeant à entrer dans un système qu'elles ne maîtrisent pas et qui leur fait perdre leur liberté et leur pouvoir d'agir.
Une situation alarmante.
Les associations citoyennes, les associations de défense des droits, comme les associations subissant la répression de leur militants, dénoncent cette politique liberticide et s'y opposent par les moyens à leur disposition : recours aux droits et à la justice jusqu'aux instances européennes (CEDH, Charte européenne des droits fondamentaux...), manifestations dont le droit est aujourd'hui remis en cause, désobéissance civile pacifique...etc. La France est malheureusement souvent condamnée par la cours de la CEDH, donnant ainsi une bien mauvaise image du « pays des droits de l'Homme »
Le Défenseur des droits ne cesse d'alerter dans ses rapports ou ses interventions publiques sur la dégradation des libertés et de la démocratie dans notre pays en raison de l’accumulation de ces lois et de mesures réglementaires les accompagnants. Il s'alarme également pour les libertés de projets comme le projet de loi dit anticasseur, ou le tout numérique.
L'Organisation des Nations Unis (ONU), s'alarme aussi de la situation française vis-à-vis des libertés. La rapporteuse spéciale de Nations Unis sur la protection des droits de l'Homme et des libertés fondamentales dans son rapport préliminaire en mai 2018 s'inquiète notamment du contenu de la loi du 30 octobre 2018 (dite loi SILT), qui « instaure de facto un état d'urgence qualifié dans le droit commun français ».
La situation est suffisamment alarmante pour que le « Réseau des Fondations européennes »1 basé à Bruxelles s'en préoccupent. Elles ont publié un appel à projet sur le « rétrécissement de l'espace public » ainsi défini : « Le rétrécissement de l’espace pour la société civile empêche les acteurs de faire entendre les préoccupations de différentes communautés et leur bloque l’accès aux gouvernements et aux autres institutions démocratiques, ce qui entrave leur capacité à jouer efficacement leur rôle de contre-pouvoir citoyen. Tout ceci est problématique car, au niveau national comme européen, une société civile active et bien structurée constitue une protection essentielle contre l’érosion de valeurs telles que le respect pour la dignité humaine, la liberté, la démocratie, l’égalité et le respect du droit. » (Traduction VoxPublic), auquel un consortium d'associations françaises a répondu et a été retenu.
Nos propositions :
Mettre en place la recommandation N°14 du document issu de la concertation menée dans le cadre du chantier « vie associative » évoquée plus haut. Ce groupe de travail devrait rendre son rapport sous une année au maximum afin qu'il ne s'enlise pas. Il doit comprendre tous les ministères concernés : Éducation Nationale et Jeunesse et Sport, Justice, Intérieur, Écologie et des Solidarités, Industrie...
Donner la priorité aux droits fondamentaux sur les droits du commerce ou le secret des affaires et prendre les dispositions législatives et réglementaires pour cela.
Vous remerciant pour la prise en compte de notre courrier et aussi pour notre collaboration ces dernières années, nous vous adressons, Monsieur le Ministre, nos meilleures salutations.
NB : cet argumentaire est issu d’un courrier remis par le CAC à Gabriel Attal, secrétaire d’État du gouvernement lors d’un rdv consacré à ce sujet le 12 février 2019
La 14ème des 59 mesures du rapport « Pour une politique de vie associative ambitieuse et le développement d’une société de l’engagement » remis au gouvernement en Juin 2018 est le fruit d’un long processus.
Un processus de restrictions des libertés collectives et associatives, restrictions protéiformes de plus en plus prégnantes dans les relations que les associations nouent non seulement avec l’État mais aussi avec les Collectivités Territoriales ou les entreprises (on peut penser à ce sujet aux « procès-baillons » notamment).
Cette proposition simple « Créer un groupe de travail associations – pouvoirs publics sur les libertés associatives, afin d’examiner les risques pouvant peser sur celles-ci et les conditions nécessaires pour qu’elles soient préservées » est bien sûr également le produit d’un autre processus : celui conduisant les acteurs associatifs à construire des contre-feux et des résistances à ce phénomène de plus en plus observés.
D’évidence l’ambition de l’engagement associatif ne pourra être tenue sans prendre cette question très au sérieux et cette note se propose, en ce sens, de fournir une série de points de repères pour faciliter et entamer sans attendre ce travail.
Ce que nous constatons. Quelques exemples concrets.
De nombreux militants et militantes associatifs sont arrêtés, mis en examen et condamnés pour avoir simplement exercé leur activité associative. A Briançon le 13 décembre dernier sept militants associatifs ont été condamnés à des peines d'emprisonnement fermes et avec sursis avec mise à l'épreuve, pour avoir participé en avril 2018, à une marche solidaire pour dénoncer les violences commises par le groupuscule identitaire (qui lui n'a pas été inquiété) à l'encontre des personnes exilées dans la région de Briançon et pour protester contre la militarisation de la frontière franco- italienne. L’État leur reproche d'avoir à cette occasion « facilité l'entrée de personnes illégales sur le territoire français en bande organisée ». Tous sont des militants d'associations reconnues faisant un travail depuis très longtemps auprès des immigrés, comme le Cimade, le GISTI, Anafé. Les peines sont lourdes, une condamnation à 12 mois d'emprisonnement dont 4 fermes et 8 avec sursis avec mise à l'épreuve, une à 12 mois d'emprisonnement dont 8 avec sursis simple et 5 condamnations à 6 mois d'emprisonnement avec sursis simple.
A Bure, les militants associatifs qui s'opposent au projet d'enfouissement de déchets nucléaires du Centre industriel de stockage géologique (Cigéo), sont soumis à des mesures administratives et à un contrôle judiciaire qui les empêchent de se rencontrer et empêchent l'association de fonctionner : deux administrateur d'une même association qui n'ont plus le droit de se rencontrer, perquisition chez leur avocat, interdictions de territoire. Les associations sont soumises par ailleurs de la part de l’État à un harcèlement judiciaire qui n'a pas d'équivalent : poursuite pour « association de malfaiteurs », appel systématique du parquet quand la justice relaxe les militants etc.
Le gouvernement a choisi la répression pour « mater » les mouvements sociaux. L'utilisation des forces de l'ordre avec des armes qui ont fait des dizaines de blessés entraînant une escalade dans la violence pour « maintenir l'ordre » lors des manifestations des « gilets jaunes », ainsi que la reprise de la proposition de loi « anticasseur » votée au Sénat et débattue et adoptée dans la précipitation à l'Assemblée nationale en sont l'illustration. Cette loi va faire encore monter la violence institutionnelle, et la violence dans les manifestations, tout en empêchant de nombreux citoyens d'exercer leurs droits constitutionnels de manifester. Le gouvernement français poursuit dans une direction que beaucoup de pays européens ont abandonnée en s'efforçant de faire baisser la violence dans les manifestations et interdisent les « lanceurs de balles ». La France construit des prisons alors que d’autres pays européens les ferment ou les louent à leur voisin. Il est de la responsabilité du gouvernement de tout faire pour diminuer la violence institutionnelle afin d'apaiser les esprits au lieu d'ajouter de la répression et de toujours réduire les droits et libertés.
Des lois toujours plus répressives.
Depuis les attentats du 11 septembre 2001 à New-York, plus de vingt lois, sous prétexte de sécurité et de lutte contre le terrorisme ont été adoptées par le législateur, qui toutes à un titre ou à un autre limitent les possibilités d'action des associations. Citons, sans vouloir prétendre à l'exhaustivité : loi du 15 novembre 2001 ; loi du 29 août 2002 ; loi du 18 mars 2003 ; loi du 9 mars 2004 ; loi du 23 janvier 2006 ; loi du 1er décembre 2008 ; loi du 14 mars 2011 ; loi du 21 décembre 2012 ; loi du 18 décembre 2013 ; loi du 13 novembre 2014 ; loi du 24 juillet 2015.
L'état d'urgence décrété le 14 novembre 2015 a été utilisé pour assigner à résidence des militants associatifs écologiques, puis prolongé par une série de lois jusqu'à sa banalisation dans notre droit en octobre 2017. Six lois ont alors été adoptées qui toutes resserrent les libertés : loi du 30 novembre 2015 ; loi du 22 mars 2016 ; loi du 3 juin 2016; loi du 21 juillet 2016 ; loi du 28 février 2017 ; loi du 30 octobre 2017 ; loi du 30 juillet 2018 ; et en ce moment projet de loi dit anticasseur qui remet en cause le droit constitutionnel de manifester, ou les projets de loi sur la « réforme de la justice ».
A ces séries de lois, portant explicitement sur les libertés, il faut ajouter des lois portant sur des sujets spécifiques (économiques, logement, société de confiance...) qui restreignent les possibilités d'intervention des associations pour ester en justice, ou qui réduisent les possibilités de débats publics sous prétexte d'accélérer les projets.
Toutes ces lois affectent à un titre ou à un autre l'activité des associations. Jamais cette question n'a fait l'objet d'un examen critique, comme s'il allait de soi que les associations n’étaient pas concernées ou naturellement se conformaient à ces dispositions et à leurs conséquences sans avoir rien à dire. C'est pourquoi dans le cadre de la « concertation » ouverte en novembre 2017, les associations ont demandé de « créer un groupe de travail associations-pouvoirs publics sur les libertés associatives, afin d'examiner les risques pouvant peser sur celles -ci et les conditions nécessaires pour qu'elles soient préservées » (proposition 14).
Mais ce qui affecte le plus immédiatement et le plus continûment la capacité d'agir et la liberté de définir ses actions est la pression politique et financière pour « changer de modèle économique » avec la diminution constante depuis des années des subventions, la généralisation des appels d'offre et des appels à projet qui ne sont le plus souvent que des appels d'offre déguisés. L’appel à projet ou l'appel d'offre soumet les associations aux décisions, directives et demandes de l'autorité qui lance cet appel. L'association n'a de choix que de répondre à l'appel dans les conditions qui lui sont imposées, même si historiquement c'est elle qui a initié l'action.
Les « contrats à impact social », « french impact » ou la volonté de créer « une philanthropie à la française », mettent peu à peu les associations entre les mains des grands groupes multinationaux, les obligeant à entrer dans un système qu'elles ne maîtrisent pas et qui leur fait perdre leur liberté et leur pouvoir d'agir.
Une situation alarmante.
Les associations citoyennes, les associations de défense des droits, comme les associations subissant la répression de leur militants, dénoncent cette politique liberticide et s'y opposent par les moyens à leur disposition : recours aux droits et à la justice jusqu'aux instances européennes (CEDH, Charte européenne des droits fondamentaux...), manifestations dont le droit est aujourd'hui remis en cause, désobéissance civile pacifique...etc. La France est malheureusement souvent condamnée par la cours de la CEDH, donnant ainsi une bien mauvaise image du « pays des droits de l'Homme »
Le Défenseur des droits ne cesse d'alerter dans ses rapports ou ses interventions publiques sur la dégradation des libertés et de la démocratie dans notre pays en raison de l’accumulation de ces lois et de mesures réglementaires les accompagnants. Il s'alarme également pour les libertés de projets comme le projet de loi dit anticasseur, ou le tout numérique.
L'Organisation des Nations Unis (ONU), s'alarme aussi de la situation française vis-à-vis des libertés. La rapporteuse spéciale de Nations Unis sur la protection des droits de l'Homme et des libertés fondamentales dans son rapport préliminaire en mai 2018 s'inquiète notamment du contenu de la loi du 30 octobre 2018 (dite loi SILT), qui « instaure de facto un état d'urgence qualifié dans le droit commun français ».
La situation est suffisamment alarmante pour que le « Réseau des Fondations européennes »1 basé à Bruxelles s'en préoccupent. Elles ont publié un appel à projet sur le « rétrécissement de l'espace public » ainsi défini : « Le rétrécissement de l’espace pour la société civile empêche les acteurs de faire entendre les préoccupations de différentes communautés et leur bloque l’accès aux gouvernements et aux autres institutions démocratiques, ce qui entrave leur capacité à jouer efficacement leur rôle de contre-pouvoir citoyen. Tout ceci est problématique car, au niveau national comme européen, une société civile active et bien structurée constitue une protection essentielle contre l’érosion de valeurs telles que le respect pour la dignité humaine, la liberté, la démocratie, l’égalité et le respect du droit. » (Traduction VoxPublic), auquel un consortium d'associations françaises a répondu et a été retenu.
Nos propositions :
Mettre en place la recommandation N°14 du document issu de la concertation menée dans le cadre du chantier « vie associative » évoquée plus haut. Ce groupe de travail devrait rendre son rapport sous une année au maximum afin qu'il ne s'enlise pas. Il doit comprendre tous les ministères concernés : Éducation Nationale et Jeunesse et Sport, Justice, Intérieur, Écologie et des Solidarités, Industrie...
Donner la priorité aux droits fondamentaux sur les droits du commerce ou le secret des affaires et prendre les dispositions législatives et réglementaires pour cela.
Vous remerciant pour la prise en compte de notre courrier et aussi pour notre collaboration ces dernières années, nous vous adressons, Monsieur le Ministre, nos meilleures salutations.
NB : cet argumentaire est issu d’un courrier remis par le CAC à Gabriel Attal, secrétaire d’État du gouvernement lors d’un rdv consacré à ce sujet le 12 février 2019
RESSOURCES
- • On ne se taira pas – site ressources d’un collectif inter-associatif mobilisé contre les procès-baillons et rassemblant expliquant ce qu’est qu’une procédure bâillon
- • Présentation du projet CIVITATES FRANCE
- • Répression. L’État contre les contestations politiques ouvrage de Vanessa Codaccioni
- • Communiqué pour le droit de manifester (signé par + de 50 orga) où la ligue des droits de l'homme appelle à manifester le 13 avril 19 pour s'opposer à la proposition de loi prétendant encadrer ce droit.
- • Le rapport « Pour une politique de vie associative ambitieuse et le développement d’une société de l’engagement » avec les 59 mesures (voir pages 38 et 39)
CONTACTS
Mise en place du projet d’observatoire de la répression de la vie associative : Cyrielle Meynet Coordinatrice de projet - Institut Alinsky / cyrielle.meynet@alinsky.fr
#2 // DROITS HUMAINS – DROITS CULTURELS – PROTECTION DES PERSONNES // Union européenne : les droits humains plutôt que la concurrence et les banquiers !
THEME DE LA SEMAINE
Droits Humains – Droits culturels – Protection des personnes
DATE
06.05.2019
RESEAUX SOCIAUX
Les politiques de l’UE doivent retourner à leurs fondamentaux : liberté, démocratie et respect des droits humains pour une société qui défend des principes de droit, d’accueil et de diversité @AssosCitoyennes @EtatsEgm - Campagne #MobilisationAssociations
AFFICHETTES A TELECHARGER
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ARGUMENTAIRE COURT POUR AFFICHETTE
« L'Union est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d'égalité, de l'état de droit, ainsi que de respect des droits de l'Homme. Ces valeurs sont communes aux États membres dans une société caractérisée par le pluralisme, la tolérance, la justice, la solidarité et la non-discrimination ». Pourtant c'est le dogme de la concurrence qui fonde les politiques communautaires.
Ces politiques ne profitent qu'à une toute petite minorité, elles détruisent l'UE. Elles conduisent à l'austérité, font le lit de l’extrême droite dont les scores électoraux ne cessent de croître en Europe et qui accède au gouvernement dans de nombreux pays : Autriche, Italie, Pologne, Hongrie...
Ces politiques ne profitent qu'à une toute petite minorité, elles détruisent l'UE. Elles conduisent à l'austérité, font le lit de l’extrême droite dont les scores électoraux ne cessent de croître en Europe et qui accède au gouvernement dans de nombreux pays : Autriche, Italie, Pologne, Hongrie...
ARGUMENTAIRE LONG
Aujourd'hui, vue l’interpénétration et l'interdépendance qu'implique la construction européenne, les questions européennes sont des questions intérieures de chaque pays membre de l'Union européenne. Cette interdépendance touche énormément de secteurs de la vie d'un pays, agriculture, économie, droits fondamentaux, démocratie etc. Les domaines politiques dans lesquels l'Union européenne intervient sont de plus en plus nombreux : la monnaie ; la fiscalité ; la politique agricole ; la pêche en mer ; les traités de libres échanges ; la politique de concurrence ; la préparation des budgets des États membres ; les transports ; les services publics ; l'environnement ; l'industrie et les services ; l'énergie et la transition énergétique ; la protection des consommateurs ; l'aide au développement, les relations avec les pays « tiers », et un embryon de politique étrangère ; la politique migratoire ; le contrôle des frontières extérieures de l'UE.
Depuis l'entrée en vigueur des traités de Lisbonne, en raison de l'intégration de la Charte des droits fondamentaux de l'UE, celle-ci intervient aussi sur les droits fondamentaux.
La Cour de justice de l'Union européenne (CJCE), par ses jugements, construit dans tous les domaines de compétence de l'Union Européenne (UE) une jurisprudence qui s'impose à tous les États membres. Elle est en fait, dans ces domaines de compétence, la juridiction suprême pour tout le territoire de l'UE. Ses conclusions (jugements) sur une affaire issue d'un pays de l'UE font jurisprudence pour l'ensemble des pays de l'UE, un jugement portant sur une affaire en Allemagne, ou en Lituanie ou au Portugal ou sur n'importe quel autre pays de l'UE, concerne les 28 pays de l'UE.
Non seulement les affaires européennes sont des affaires intérieures pour les États membres, mais les affaires intérieures d'un État membre ont des répercussions sur les affaires intérieures des 27 autres États membres ; les affaires intérieures belges, tchèques, polonaises ou grecques, ont des répercussions en France, en Espagne, Portugal ou Roumanie...
Ces interdépendances compliquent considérablement les questions politiques de chaque pays de l'Union, car aucun, même le plus grand, ne peut à lui seul bouleverser les politiques communautaires, sans entraîner la plupart des autres. Pour modifier les rapports de force, il doit argumenter, convaincre, négocier, trouver des alliés. Le Conseil [Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement, et le Conseil des ministres] est bien évidemment un de ces lieux de négociation, mais le Parlement européen (PE) également. Comme co-législateur il doit se mettre d'accord avec le Conseil des ministres pour qu'un texte puisse être adopté, sa composition, qui résulte d'un mode d'élection à la proportionnelle intégrale, fait qu'aucun groupe politique n'est majoritaire. Par ailleurs les questions nationales viennent souvent se superposer aux positions partisanes, donc aucun groupe politique n'est homogène au sein du PE. La négociation y est donc permanente sur tous les sujets, et les majorités qui adoptent les textes se recomposent à chaque fois. Il n'y a pas au Parlement européen une majorité super-godillot comme actuellement à l'Assemblée nationale qui permet au gouvernement de faire adopter à peu près tout ce qu'il veut dans les conditions d'un système autoritaire, pour le moins (jupitérien).
Cela donne une importance non négligeable au Parlement européen. Il est co-législateur avec le conseil des ministres (article 14 du TUE), il « confirme » la Commission européenne et peut la « censurer » (article 17 TUE), il contrôle les politiques de l'UE, le budget de l'UE ne peut être exécutoire qu’après son accord. Au fil des traités (Rome, Acte Unique, Maastricht, Amsterdam, Nice puis Lisbonne), il a acquis des prérogatives de plus en plus larges. Son fonctionnement, avec des groupes politiques, des commissions spécialisées est comparable à celui de l'Assemblée nationale en France, un règlement intérieur en fixe les règles. Il siège en public, il est accessible aux citoyens européens sans trop de difficultés.
Ceci dit, ce n'est pas toujours évident, parce que l'Union européenne sert souvent de « bouc émissaire » pour les gouvernements qui ne souhaitent pas assumer leurs décisions quand ils les savent impopulaires, parce que l'Union européenne traverse une crise profonde qui est aussi une crise des États membres, parce que les rapports de force sont en faveur des oligarchies financières et des multinationales, qui imposent une politique tournée uniquement vers leurs intérêts qui est la cause des crises que traversent aussi bien l'UE que les États. Mais la propagande que nous subissons à chaque moment nous affirme que les politiques mises en œuvre sont les seules possibles (« There is no alternative » - le TINA de Madame Thatcher). Les politiques néolibérales, sont la cause première de la montée des partis et forces d’extrême droite en Europe. En cela, en France, les gouvernements successifs, de droite comme de gauche, ont fait le lit du Front national (aujourd'hui le Rassemblement national),
celui d' E. Macron poursuit cette voie en l'accentuant en prônant l'opposition entre « progressistes » et « nationalistes », en soutenant qu'entre lui et le Front national il n'y a plus rien et en accentuant les politiques néolibérales dans tous les domaines.
Les extrêmes droites sont au gouvernement dans plusieurs pays de l'UE, et aucun pays n’échappe à son emprise et à son développement. Afin de masquer les responsabilités politiques des gouvernements successifs dans cette montée, toute analyse est dévoyée en utilisant des concepts flous et fourre-tout, en amalgamant extrême droite et gauche contestataire dans le concept de « populiste » sans jamais le définir, en inventant le concept de « fatigue démocratique », ou de « déficit démocratique » assimilant ainsi la démocratie à un bilan d'entreprise. Mais la montée de l’extrême droite n'est qu'un des syndromes des crises que traverse l'UE, les oppositions entre États, le dumping fiscal (chaque État est un paradis fiscal sur certains créneaux vis à vis de ses voisins européens) et le dumping social, auxquels se livrent les États entre eux en est un autre. Le « brexit », avec la saga que nous racontent les gouvernements en est une bonne illustration. Hélas la presse mainstream, comme nombre
« d'intellectuels de gouvernement » participent à cet enfumage et à répandre la confusion. Si l'Union européenne est contestée, c'est en priorité en raison des politiques néolibérales, d'austérité exacerbant les inégalités, remettant en cause les libertés individuelles et collectives et bien entendu les libertés associatives, politiques conduites par et pour une oligarchie de plus en plus minoritaire qui prétend à la direction du monde, et entend bien menée la lutte de classe jusqu'à son terme pour conserver sa position sociale dominante afin d'assurer sa richesse et son mode de vie.
Ces politiques sont l’œuvre conjointe des institutions de l'UE (Conseil, Commission européenne, parlement, cour de justice de l'UE) et des gouvernements des États que forment le Conseil. Chacun a sa part de responsabilité car c'est cet ensemble qui formule et décide dans une interdépendance complète, des politiques de l'Union européenne. Certes une part revient également aux traités (qui ont tous été négociés entre les gouvernements des États) et à leur interprétation par les institutions de l'UE comme des gouvernements des États. Notamment la place qu'a prise la concurrence dans les politiques communautaires, véritable dogme toujours inébranlable dans la pensée des institutions, socle de toute politique sans examen critique des conséquences pour les populations.
A ce sujet, il convient de ne pas faire d'erreur, le tournant dans la construction européenne est l'Acte Unique (trois traités) entré en vigueur en 1987, dont l'objet était de passer d'un marché commun, un marché permettant la circulation des marchandises sans droits de douane entre les États membres, mais dont l'organisation économique était nationale, à un marché unique sur l'ensemble du territoire des Communautés européennes avec la même réglementation et normalisation. Le saut qualitatif s'est fait à cette occasion. Le traité de Maastricht n'est que la suite logique de ce marché unique qui appelait « naturellement » une monnaie unique et une réglementation de plus en plus identique. Le principal « outil » dont disposait, de par les traités, les instances communautaires pour construire ce marché unique était et est toujours la concurrence, qui est donc devenue l'alfa et l’oméga de cette construction. Ce à quoi il faut ajouter dans cette période, l'hégémonie des thèses néolibérales acquise au plan
politique, au niveau mondiale avec l'élection en 1979 de Mme Thatcher au Royaume-Uni et de Ronald Reagan aux États-Unis d'Amérique en 1981, et des évolutions technologiques importantes notamment dans les domaines informatique et de la communication.
Dans ces conditions, les politiques néolibérales, la rapacité capitaliste ont été mise en œuvre avec d'autant plus de violence que le système politique formellement concurrent au capitalisme s'est écroulé dans ces année-là. Le mur de Berlin est tombé en décembre 1989, et deux ans après l'Union Soviétique n'existait plus. Le capitalisme mondialisé, financier et multinational a cru avoir définitivement triomphé, et a poussé l'exploitation des peuples et de la nature le plus loin possible. Dans cette période les crises monétaires n'ont pas cesser à travers le monde, celle de 2008 étant la plus importante, l'austérité dans l'UE (mais pas seulement) s'est accentuée, des pays dits émergents aspirent à prendre ou reprendre (la Chine) leur place dans le concert des nations au niveau mondial, et les dérèglements climatiques, la crise écologique nous rappellent la finitude du monde et les limites des ressources naturelles, sans toutefois que l’oligarchie financière ou industrielle s'en émeuve beaucoup.
L'Union européenne n'est pas un État, elle a des prérogatives fédérales (monnaie unique, un ordre juridique spécifique mais incomplet, une politique commerciale, une bureaucratie...) qui lui confère un caractère de « proto-État » dans lequel les États membres ont mutualisé (délégué) certaines prérogatives. Le niveau d'interdépendance, encore plus pour les pays qui ont adopté l'euro, rend toute tentative d'en sortir très difficile- l'exemple du « Brexit », pousse à réfléchir à deux fois avant de se lancer dans une telle aventure. D'ailleurs en France quasiment plus aucune force politique ne prône cette solution. Mais il n'y a aucun parti politique qui ait une politique européenne, tous sont ballottés au gré de l'actualité, et tous sont traversés de contradictions et de divisions sur la question européenne. Aucun n'a de stratégie réellement européenne sur le long terme, tous se réveillent à l'approche des élections au PE et constituent des « alliances » avec des partis d'autres pays de l'UE, « alliances » conjoncturelles sans contenu permettant une politique au niveau européen dans la durée, très vite les questions « nationales » reprennent le dessus.
De plus, le plus souvent, chacun projette sa conception nationale de la politique, de la démocratie, et des institutions sur l'Union européenne, alors que la mise en commun, l’interdépendance exigent des efforts d'acculturation, et conceptuels très importants pour comprendre l'autre (les autres). Les élargissement successifs, et surtout les derniers depuis 2004 portant l'UE à 28 États, ont beaucoup compliqué les possibilités d'accord, les différences culturelles, économiques, sociales, géographiques, climatiques s'en sont trouvées considérablement élargies. Dans ces conditions il n'est pas étonnant que les politiques néolibérales apparaissent comme les seules possibles compte tenu de l'idéologie dominante et des forces politiques réactionnaires majoritairement aux
gouvernements dans les États membres. Il n'est pas étonnant non plus que chaque pays réagisse différemment selon les circonstances et que toutes les démagogies soient possibles : Hongrie « illibérale », Pologne ultraconservatrice de droite extrême, Italie avec un gouvernement improbable, comprenant une composante d’extrême droite, le Royaume-Uni en sortant tout en essayant de rester, la France avec un gouvernement qui se présente comme « et de droite et de gauche » qui fait la politique la plus réactionnaire et la plus répressive depuis la seconde guerre mondiale... Pourtant tous ces gouvernements sont issus du suffrage universel. C'est donc au niveau des peuples, des sociétés civiles qu'il faut travailler le projet européen.
La question du projet européen et des politiques qui le traduisent sont bien essentiels, car les européens souhaitent très majoritairement (y compris en France), les enquêtes d'opinion de l'eurobaromètre le montrent poursuivre la construction européenne ayant bien conscience que dans ce monde globalisé, l’union fait la force, mais ils veulent des politiques plus solidaires, plus sociales, plus écologiques, plus de démocratie.
Les questions européennes sont des questions éminemment politiques.
Depuis l'entrée en vigueur des traités de Lisbonne, en raison de l'intégration de la Charte des droits fondamentaux de l'UE, celle-ci intervient aussi sur les droits fondamentaux.
La Cour de justice de l'Union européenne (CJCE), par ses jugements, construit dans tous les domaines de compétence de l'Union Européenne (UE) une jurisprudence qui s'impose à tous les États membres. Elle est en fait, dans ces domaines de compétence, la juridiction suprême pour tout le territoire de l'UE. Ses conclusions (jugements) sur une affaire issue d'un pays de l'UE font jurisprudence pour l'ensemble des pays de l'UE, un jugement portant sur une affaire en Allemagne, ou en Lituanie ou au Portugal ou sur n'importe quel autre pays de l'UE, concerne les 28 pays de l'UE.
Non seulement les affaires européennes sont des affaires intérieures pour les États membres, mais les affaires intérieures d'un État membre ont des répercussions sur les affaires intérieures des 27 autres États membres ; les affaires intérieures belges, tchèques, polonaises ou grecques, ont des répercussions en France, en Espagne, Portugal ou Roumanie...
Ces interdépendances compliquent considérablement les questions politiques de chaque pays de l'Union, car aucun, même le plus grand, ne peut à lui seul bouleverser les politiques communautaires, sans entraîner la plupart des autres. Pour modifier les rapports de force, il doit argumenter, convaincre, négocier, trouver des alliés. Le Conseil [Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement, et le Conseil des ministres] est bien évidemment un de ces lieux de négociation, mais le Parlement européen (PE) également. Comme co-législateur il doit se mettre d'accord avec le Conseil des ministres pour qu'un texte puisse être adopté, sa composition, qui résulte d'un mode d'élection à la proportionnelle intégrale, fait qu'aucun groupe politique n'est majoritaire. Par ailleurs les questions nationales viennent souvent se superposer aux positions partisanes, donc aucun groupe politique n'est homogène au sein du PE. La négociation y est donc permanente sur tous les sujets, et les majorités qui adoptent les textes se recomposent à chaque fois. Il n'y a pas au Parlement européen une majorité super-godillot comme actuellement à l'Assemblée nationale qui permet au gouvernement de faire adopter à peu près tout ce qu'il veut dans les conditions d'un système autoritaire, pour le moins (jupitérien).
Cela donne une importance non négligeable au Parlement européen. Il est co-législateur avec le conseil des ministres (article 14 du TUE), il « confirme » la Commission européenne et peut la « censurer » (article 17 TUE), il contrôle les politiques de l'UE, le budget de l'UE ne peut être exécutoire qu’après son accord. Au fil des traités (Rome, Acte Unique, Maastricht, Amsterdam, Nice puis Lisbonne), il a acquis des prérogatives de plus en plus larges. Son fonctionnement, avec des groupes politiques, des commissions spécialisées est comparable à celui de l'Assemblée nationale en France, un règlement intérieur en fixe les règles. Il siège en public, il est accessible aux citoyens européens sans trop de difficultés.
Nous voyons bien l’importance dans ces conditions de participer au débat pour les élections au Parlement européen du 26 mai 2019, et au-delà au débat sur l'Europe, sur les politiques européennes, sur l'avenir de cette construction, le sens que nous souhaitons lui donner, les conditions d'intervention des citoyens sur toutes ces questions.
Ceci dit, ce n'est pas toujours évident, parce que l'Union européenne sert souvent de « bouc émissaire » pour les gouvernements qui ne souhaitent pas assumer leurs décisions quand ils les savent impopulaires, parce que l'Union européenne traverse une crise profonde qui est aussi une crise des États membres, parce que les rapports de force sont en faveur des oligarchies financières et des multinationales, qui imposent une politique tournée uniquement vers leurs intérêts qui est la cause des crises que traversent aussi bien l'UE que les États. Mais la propagande que nous subissons à chaque moment nous affirme que les politiques mises en œuvre sont les seules possibles (« There is no alternative » - le TINA de Madame Thatcher). Les politiques néolibérales, sont la cause première de la montée des partis et forces d’extrême droite en Europe. En cela, en France, les gouvernements successifs, de droite comme de gauche, ont fait le lit du Front national (aujourd'hui le Rassemblement national),
celui d' E. Macron poursuit cette voie en l'accentuant en prônant l'opposition entre « progressistes » et « nationalistes », en soutenant qu'entre lui et le Front national il n'y a plus rien et en accentuant les politiques néolibérales dans tous les domaines.
Les extrêmes droites sont au gouvernement dans plusieurs pays de l'UE, et aucun pays n’échappe à son emprise et à son développement. Afin de masquer les responsabilités politiques des gouvernements successifs dans cette montée, toute analyse est dévoyée en utilisant des concepts flous et fourre-tout, en amalgamant extrême droite et gauche contestataire dans le concept de « populiste » sans jamais le définir, en inventant le concept de « fatigue démocratique », ou de « déficit démocratique » assimilant ainsi la démocratie à un bilan d'entreprise. Mais la montée de l’extrême droite n'est qu'un des syndromes des crises que traverse l'UE, les oppositions entre États, le dumping fiscal (chaque État est un paradis fiscal sur certains créneaux vis à vis de ses voisins européens) et le dumping social, auxquels se livrent les États entre eux en est un autre. Le « brexit », avec la saga que nous racontent les gouvernements en est une bonne illustration. Hélas la presse mainstream, comme nombre
« d'intellectuels de gouvernement » participent à cet enfumage et à répandre la confusion. Si l'Union européenne est contestée, c'est en priorité en raison des politiques néolibérales, d'austérité exacerbant les inégalités, remettant en cause les libertés individuelles et collectives et bien entendu les libertés associatives, politiques conduites par et pour une oligarchie de plus en plus minoritaire qui prétend à la direction du monde, et entend bien menée la lutte de classe jusqu'à son terme pour conserver sa position sociale dominante afin d'assurer sa richesse et son mode de vie.
Ces politiques sont l’œuvre conjointe des institutions de l'UE (Conseil, Commission européenne, parlement, cour de justice de l'UE) et des gouvernements des États que forment le Conseil. Chacun a sa part de responsabilité car c'est cet ensemble qui formule et décide dans une interdépendance complète, des politiques de l'Union européenne. Certes une part revient également aux traités (qui ont tous été négociés entre les gouvernements des États) et à leur interprétation par les institutions de l'UE comme des gouvernements des États. Notamment la place qu'a prise la concurrence dans les politiques communautaires, véritable dogme toujours inébranlable dans la pensée des institutions, socle de toute politique sans examen critique des conséquences pour les populations.
A ce sujet, il convient de ne pas faire d'erreur, le tournant dans la construction européenne est l'Acte Unique (trois traités) entré en vigueur en 1987, dont l'objet était de passer d'un marché commun, un marché permettant la circulation des marchandises sans droits de douane entre les États membres, mais dont l'organisation économique était nationale, à un marché unique sur l'ensemble du territoire des Communautés européennes avec la même réglementation et normalisation. Le saut qualitatif s'est fait à cette occasion. Le traité de Maastricht n'est que la suite logique de ce marché unique qui appelait « naturellement » une monnaie unique et une réglementation de plus en plus identique. Le principal « outil » dont disposait, de par les traités, les instances communautaires pour construire ce marché unique était et est toujours la concurrence, qui est donc devenue l'alfa et l’oméga de cette construction. Ce à quoi il faut ajouter dans cette période, l'hégémonie des thèses néolibérales acquise au plan
politique, au niveau mondiale avec l'élection en 1979 de Mme Thatcher au Royaume-Uni et de Ronald Reagan aux États-Unis d'Amérique en 1981, et des évolutions technologiques importantes notamment dans les domaines informatique et de la communication.
Dans ces conditions, les politiques néolibérales, la rapacité capitaliste ont été mise en œuvre avec d'autant plus de violence que le système politique formellement concurrent au capitalisme s'est écroulé dans ces année-là. Le mur de Berlin est tombé en décembre 1989, et deux ans après l'Union Soviétique n'existait plus. Le capitalisme mondialisé, financier et multinational a cru avoir définitivement triomphé, et a poussé l'exploitation des peuples et de la nature le plus loin possible. Dans cette période les crises monétaires n'ont pas cesser à travers le monde, celle de 2008 étant la plus importante, l'austérité dans l'UE (mais pas seulement) s'est accentuée, des pays dits émergents aspirent à prendre ou reprendre (la Chine) leur place dans le concert des nations au niveau mondial, et les dérèglements climatiques, la crise écologique nous rappellent la finitude du monde et les limites des ressources naturelles, sans toutefois que l’oligarchie financière ou industrielle s'en émeuve beaucoup.
L'Union européenne pourrait être un bon outil pour affronter la complexité de la situation, c'est ce que sentent confusément les peuples quand ils répondent qu’ils souhaitent que la construction européenne se poursuive, mais
sur d'autres bases.
sur d'autres bases.
L'Union européenne n'est pas un État, elle a des prérogatives fédérales (monnaie unique, un ordre juridique spécifique mais incomplet, une politique commerciale, une bureaucratie...) qui lui confère un caractère de « proto-État » dans lequel les États membres ont mutualisé (délégué) certaines prérogatives. Le niveau d'interdépendance, encore plus pour les pays qui ont adopté l'euro, rend toute tentative d'en sortir très difficile- l'exemple du « Brexit », pousse à réfléchir à deux fois avant de se lancer dans une telle aventure. D'ailleurs en France quasiment plus aucune force politique ne prône cette solution. Mais il n'y a aucun parti politique qui ait une politique européenne, tous sont ballottés au gré de l'actualité, et tous sont traversés de contradictions et de divisions sur la question européenne. Aucun n'a de stratégie réellement européenne sur le long terme, tous se réveillent à l'approche des élections au PE et constituent des « alliances » avec des partis d'autres pays de l'UE, « alliances » conjoncturelles sans contenu permettant une politique au niveau européen dans la durée, très vite les questions « nationales » reprennent le dessus.
De plus, le plus souvent, chacun projette sa conception nationale de la politique, de la démocratie, et des institutions sur l'Union européenne, alors que la mise en commun, l’interdépendance exigent des efforts d'acculturation, et conceptuels très importants pour comprendre l'autre (les autres). Les élargissement successifs, et surtout les derniers depuis 2004 portant l'UE à 28 États, ont beaucoup compliqué les possibilités d'accord, les différences culturelles, économiques, sociales, géographiques, climatiques s'en sont trouvées considérablement élargies. Dans ces conditions il n'est pas étonnant que les politiques néolibérales apparaissent comme les seules possibles compte tenu de l'idéologie dominante et des forces politiques réactionnaires majoritairement aux
gouvernements dans les États membres. Il n'est pas étonnant non plus que chaque pays réagisse différemment selon les circonstances et que toutes les démagogies soient possibles : Hongrie « illibérale », Pologne ultraconservatrice de droite extrême, Italie avec un gouvernement improbable, comprenant une composante d’extrême droite, le Royaume-Uni en sortant tout en essayant de rester, la France avec un gouvernement qui se présente comme « et de droite et de gauche » qui fait la politique la plus réactionnaire et la plus répressive depuis la seconde guerre mondiale... Pourtant tous ces gouvernements sont issus du suffrage universel. C'est donc au niveau des peuples, des sociétés civiles qu'il faut travailler le projet européen.
La question du projet européen et des politiques qui le traduisent sont bien essentiels, car les européens souhaitent très majoritairement (y compris en France), les enquêtes d'opinion de l'eurobaromètre le montrent poursuivre la construction européenne ayant bien conscience que dans ce monde globalisé, l’union fait la force, mais ils veulent des politiques plus solidaires, plus sociales, plus écologiques, plus de démocratie.
Que peuvent faire les associations citoyennes ?
1) S'organiser pour agir à tous ces niveaux en mutualisant les moyens, en travaillant ensemble les questions européennes, car le sujet est monstrueux, pour y acquérir une connaissance qui fait encore trop défaut ;
2) Informer et former les militants associatifs, bénévoles, mais aussi les salariés des associations ;
3) Travailler sur le projet européen, son sens, son objet, ne pas rester dans des slogans et dans l'approximation ;
4) Travailler sur les politiques communautaires et dans l'immédiat sur les marges qu'offrent les textes actuels (traités, législation et jurisprudence) pour faire différemment, remettre la concurrence à sa place, développer les services publics, les solidarités...
1) S'organiser pour agir à tous ces niveaux en mutualisant les moyens, en travaillant ensemble les questions européennes, car le sujet est monstrueux, pour y acquérir une connaissance qui fait encore trop défaut ;
2) Informer et former les militants associatifs, bénévoles, mais aussi les salariés des associations ;
3) Travailler sur le projet européen, son sens, son objet, ne pas rester dans des slogans et dans l'approximation ;
4) Travailler sur les politiques communautaires et dans l'immédiat sur les marges qu'offrent les textes actuels (traités, législation et jurisprudence) pour faire différemment, remettre la concurrence à sa place, développer les services publics, les solidarités...
Les questions européennes sont des questions éminemment politiques.
RESSOURCES
MOBILISATION
- 25 mai 2019 : STOP Dublin – Sauvons le droit d’asile - Mobilisation européenne : http://www.stopdublin.eu/
- • Les Etats Généraux des Migrations (collectif d'associations) interpellent les candidats aux élections européennes (pour faire connaître les situations des migrants et surtout proposer des solutions), avec ces 12 propositions :https://eg-migrations.org/Mobilisations-elections-europeennes
- • Le nouveau livre d’Attac et de la fondation Copernic « Cette Europe malade du néolibéralisme l’urgence de désobéir »
- • Dossier du Mouvement associatif : Elections européennes et enjeux associatifs
- • Élections au Parlement européen 26 mai 2019, quelle place pour les associations ? Texte (5p) de JC Boual à la plénière du CAC 23/2/19
- • Petit guide de résistance à l’Europe austéritaire - Attac 2014
- • Lors de campagne européenne 2014 le CAC a produit plusieurs documents :
- ◦ Interpellons les candidats aux élections européennes ! afin de permettre aux assos de questionner les candidats pour agir au niveau européen, en apportant des éclairages sur « pourquoi les associations sont concernées par la construction européenne »
- ◦ Un bref texte précisant le rôle et fonctionnement du parlement et son élection puis proposant 3 niveaux de questions pouvant être soumis aux candidats :texte CAC et Parlement européen
- ◦ Un fascicule/guide pour questionner les candidats au parlement européen : plus complet (version A5) permettant de préciser en quoi les associations sont concernées par la construction européenne et quelles sont les capacités d’agir des députés européens en distinguant trois niveaux d’intervention.
- • Livre L’Europe, un rêve dénaturé – Jean-Claude Boual, Daniel Spoel et Bernard Van Asbrouck
- • FSE et associations -Interpellation aux candidat.e.s aux élections européennes pour simplifier les procédures de financements européens et notamment du Fonds Social Européen
MOBILISATION
- 25 mai 2019 : STOP Dublin – Sauvons le droit d’asile - Mobilisation européenne : http://www.stopdublin.eu/
#3 // AVENIR DE LA PLANETE, ENVIRONNEMENT, CLIMAT // Prendre en compte la voix des associations agissant pour le climat, notamment pour une transition rapide et juste, et l'arrêt des aides aux énergies fossiles.
THEME DE LA SEMAINE
Avenir de la planète, environnement et climat
DATE
13.05.2019
RESEAUX SOCIAUX
Plan d'urgence pour une réelle #transition énergétique Pour le vivant et contre la destruction de la planète, faisons de la #transition, l’ #environnement et de l’ #ecologie de réelles priorités dans la #LoiEnergieClimat ! #alternativescitoyennes @AssosC
AFFICHETTES A TELECHARGER
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à venir
ARGUMENTAIRE COURT POUR AFFICHETTE
L'accélération des catastrophes liées au réchauffement climatique a conduit un grand nombre de personnes, dans notre pays comme à l'échelle mondiale, à prendre conscience de la nécessité de changer rapidement nos modes de production et de consommation, nos modes de vie et nos comportements, et d'agir sur ces questions pour ouvrir dès maintenant la voie vers une transition pour un monde vivable, responsable et solidaire.
Si les combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz) et les centrales nucléaires ont fourni jusqu'ici l'énergie nécessaire au développement de notre économie et de notre société, ils doivent être repensés en termes d'énergies renouvelables. Or, le projet de loi "Energie et climat" présenté le 30 avril 2019 par le gouvernement au Conseil des ministres n'est pas à la hauteur des enjeux !
Si les combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz) et les centrales nucléaires ont fourni jusqu'ici l'énergie nécessaire au développement de notre économie et de notre société, ils doivent être repensés en termes d'énergies renouvelables. Or, le projet de loi "Energie et climat" présenté le 30 avril 2019 par le gouvernement au Conseil des ministres n'est pas à la hauteur des enjeux !
ARGUMENTAIRE LONG
L'accélération des catastrophes liées au réchauffement climatique (incendies, sécheresses, inondations, ouragans, séismes...) a conduit un grand nombre de personnes, dans notre pays comme à l'échelle mondiale, à prendre conscience de la nécessité de changer rapidement nos modes de production et de consommation, nos modes de vie et nos comportements, et d'agir sur ces questions pour ouvrir dès maintenant la voie vers une transition pour un monde vivable, responsable et solidaire.
L'effondrement des biodiversités, qui comprend toutes les espèces végétales et animales vivant sur la terre, incluant l'Homme, pose nombre de questions quant à la santé de tous, à l'avenir de la production alimentaire, au maintien d'une eau pure et potable. La santé humaine est tributaire de la santé de nos environnements, des écosystèmes, de l'ensemble de la biosphère. Elle est altérée par l'usage des pesticides, les pollutions des industries chimiques, les projets d'urbanisation à outrance et de bétonnage des terres agricoles.
Il s'agit là d'un défi majeur pour l'humanité qui impose de réduire de façon drastique les émissions de gaz à effet de serre, particulièrement le dioxyde de carbone libéré dans l'atmosphère, et de remettre en cause les activités qui en sont responsables. Si les combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz) et les centrales nucléaires ont fourni jusqu'ici l'énergie nécessaire au développement de notre économie et de notre société, ils doivent être repensés en termes d'énergies renouvelables.
Or, le projet de loi "Energie et climat" présenté le 30 avril 2019 par le gouvernement au Conseil des ministres n'est pas à la hauteur des enjeux. Ce projet, qui vient modifier la loi de "Transition énergétique pour la croissance verte" de 2015, les codes de l'environnement et de l'énergie, n'apporte pas les réponses nécessaires. Les annonces faites comme arriver à la neutralité carbone en 2050, baisser la consommation d'énergies fossiles de 40% d'ici à 2030, fermer les centrales à charbon au-delà de 2022, ne sont assorties d'aucune mesure transitoire et d'accompagnement, d'aucun objectif en matière de faisabilité et de coût. La réduction de 50% de l'indépendance au nucléaire, avec la fermeture de 14 centrales, est quant à elle prévue pour 2035, soit un recul de dix années par rapport à l'estimation précédente qualifiée aujourd'hui "d'irréaliste".
Le système actuel - capitaliste ou ultralibéral - est incapable de prendre en compte la nécessaire amélioration des conditions de vie, parce qu'il se base sur la propriété privée, la défense d'intérêts particuliers, la loi du profit et de la concurrence, qui sont source d'énormes inégalités sociales, d'injustices, d'oppression, de violences, de guerres, de restriction des libertés individuelles ou collectives. Aucun changement durable ne pourra avoir lieu sans une compréhension des logiques de croissance et d'accumulation, d'exploitation à outrance des ressources naturelles, de destruction des écosystèmes mais aussi des services publics ou de notre système de sécurité sociale.
Pour avancer sur ce chemin de la transition, nous devons intervenir sur tout ce qui est un obstacle au développement humain, à ses relations harmonieuses avec la nature, le vivant, et mettre en place des formes alternatives de société qui intègrent à la fois les dimensions écologiques, économiques, sociales, culturelles, démocratiques.
C'est en s'appuyant sur l'expérience et les analyses réalisées par les structures et les réseaux associatifs qui agissent sur le terrain de l'écologie, de la biodiversité, de la santé, de l'alimentation, de la solidarité internationale, du soutien aux migrants, ou la défense des libertés, que le Collectif des Associations Citoyennes a construit sa conception de la transition, qui est celle de la défense d'une vision transversale de la société basée sur l'intérêt commun, les droits humains, la réduction des injustices et des inégalités, la construction de nouvelles formes de démocratie permettant la participation de tous.
C'est pourquoi il est nécessaire de prendre en compte les associations citoyennes qui luttent contre le dérèglement climatique et pour une transition écologique, solidaire et équitable, et que nous nous associons au Réseau Action Climat, France Nature environnement et aux autres ONG environnementales pour proposer les mesures suivantes :
L'effondrement des biodiversités, qui comprend toutes les espèces végétales et animales vivant sur la terre, incluant l'Homme, pose nombre de questions quant à la santé de tous, à l'avenir de la production alimentaire, au maintien d'une eau pure et potable. La santé humaine est tributaire de la santé de nos environnements, des écosystèmes, de l'ensemble de la biosphère. Elle est altérée par l'usage des pesticides, les pollutions des industries chimiques, les projets d'urbanisation à outrance et de bétonnage des terres agricoles.
Il s'agit là d'un défi majeur pour l'humanité qui impose de réduire de façon drastique les émissions de gaz à effet de serre, particulièrement le dioxyde de carbone libéré dans l'atmosphère, et de remettre en cause les activités qui en sont responsables. Si les combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz) et les centrales nucléaires ont fourni jusqu'ici l'énergie nécessaire au développement de notre économie et de notre société, ils doivent être repensés en termes d'énergies renouvelables.
Or, le projet de loi "Energie et climat" présenté le 30 avril 2019 par le gouvernement au Conseil des ministres n'est pas à la hauteur des enjeux. Ce projet, qui vient modifier la loi de "Transition énergétique pour la croissance verte" de 2015, les codes de l'environnement et de l'énergie, n'apporte pas les réponses nécessaires. Les annonces faites comme arriver à la neutralité carbone en 2050, baisser la consommation d'énergies fossiles de 40% d'ici à 2030, fermer les centrales à charbon au-delà de 2022, ne sont assorties d'aucune mesure transitoire et d'accompagnement, d'aucun objectif en matière de faisabilité et de coût. La réduction de 50% de l'indépendance au nucléaire, avec la fermeture de 14 centrales, est quant à elle prévue pour 2035, soit un recul de dix années par rapport à l'estimation précédente qualifiée aujourd'hui "d'irréaliste".
Le système actuel - capitaliste ou ultralibéral - est incapable de prendre en compte la nécessaire amélioration des conditions de vie, parce qu'il se base sur la propriété privée, la défense d'intérêts particuliers, la loi du profit et de la concurrence, qui sont source d'énormes inégalités sociales, d'injustices, d'oppression, de violences, de guerres, de restriction des libertés individuelles ou collectives. Aucun changement durable ne pourra avoir lieu sans une compréhension des logiques de croissance et d'accumulation, d'exploitation à outrance des ressources naturelles, de destruction des écosystèmes mais aussi des services publics ou de notre système de sécurité sociale.
Pour avancer sur ce chemin de la transition, nous devons intervenir sur tout ce qui est un obstacle au développement humain, à ses relations harmonieuses avec la nature, le vivant, et mettre en place des formes alternatives de société qui intègrent à la fois les dimensions écologiques, économiques, sociales, culturelles, démocratiques.
C'est en s'appuyant sur l'expérience et les analyses réalisées par les structures et les réseaux associatifs qui agissent sur le terrain de l'écologie, de la biodiversité, de la santé, de l'alimentation, de la solidarité internationale, du soutien aux migrants, ou la défense des libertés, que le Collectif des Associations Citoyennes a construit sa conception de la transition, qui est celle de la défense d'une vision transversale de la société basée sur l'intérêt commun, les droits humains, la réduction des injustices et des inégalités, la construction de nouvelles formes de démocratie permettant la participation de tous.
C'est pourquoi il est nécessaire de prendre en compte les associations citoyennes qui luttent contre le dérèglement climatique et pour une transition écologique, solidaire et équitable, et que nous nous associons au Réseau Action Climat, France Nature environnement et aux autres ONG environnementales pour proposer les mesures suivantes :
- Le droit pour tous à un logement à la facture énergétique abordable avec, en particulier, la mise en place progressive d une interdiction à la location des passoires énergétiques.
- Le renforcement des dispositifs d accompagnement des salariés et des collectivités dans les territoires où un site industriel doit fermer du fait de la transition énergétique, par exemple une centrale au charbon ou un réacteur nucléaire.
- Plutôt que de reculer à 2035 l objectif de baisse de la part du nucléaire à 50 % de la production d électricité, assortir l horizon 2025 d une limite portée au plus tard à 2030 et de dispositifs pour renforcer la sûreté, la sécurité et la transparence en matière de nucléaire.
- Une disposition assurant la fermeture des centrales à charbon en 2022 comme le Président de la République s y est engagé.
- Des dispositions en faveurs des énergies renouvelables portées par des acteurs des territoires (collectivités, citoyens, agriculteurs, PME).
- Un dispositif de gouvernance et de pilotage des objectifs sur le climat et la transition énergétique, garant d un respect des budgets carbone.
RESSOURCES
- • Le Projet de Loi relatif à l’énergie et au climat présenté à l’Assemblée Nationale (30/04/2019)
- • Energie-climat : L’avis du CESE sur les projets de SNBC (stratégie nationale bas-carbone) et de PPE (programmation annuelle d’énergie) (09/04/2019)
- • France Nature Environnement : Loi énergie-climat : tout reste à faire (29/04/2019)
- • Dossier Energie du Réseau Action Climat (RAC)
- • Article de Reporterre : La neutralité carbone (de la Loi Energie-Climat) en 2050, un objectif ambigu (11/02/2019)
- • Le RAC lance l'Observatoire climat de nos élus européens, pour apporter de la transparence sur l’action des députés et du Gouvernement avant les élections Européennes 2019 (+ vidéo de présentation de l’observatoire)
- • Lettre ouverte des associations au Président de la République« Entendez l’alerte climatique ! » (18 avril 2019)
Manifestations à ne pas manquer :
- • Samedi 18 et dimanche 19 mai - 24H DU TRIANGLE (Non Europacity): manifestation sur le site du triangle de Gonesse
- • Samedi 18 mai - Marche mondiale contre Monsanto / Bayer
- • Vendredi 24 mai - Journée mondiale/grève mondiale pour le climat
#4 // POUR UNE SOCIETE DE LA SOLIDARITE, JUSTICE SOCIALE // Les associations, agissant pour l’intérêt général, doivent être reconnues comme les piliers d’un pacte social garanti par l’Etat (cultures, communs, solidarités).
THEME DE LA SEMAINE
Pour une société de la solidarité, justice sociale
DATE
20.05.2019
RESEAUX SOCIAUX
#MobilisationAssociations Le droit à la dignité est la base de toute politique de solidarité. Une vraie politique sociale n’est pas un empilement de dispositifs, mais d’abord la reconnaissance des @AssosCitoyennes et du #TravailSocial pour #CombattreLes
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ARGUMENTAIRE COURT POUR AFFICHETTE
La catastrophe humaine, sociale, écologique est la conséquence directe des politiques soumises à la recherche du profit. Répondre à l’urgence sociale qui se reflète dans le mouvement des « gilets jaunes » passe d'abord par un relèvement immédiat des salaires et des minimas sociaux, l’extension du RSA aux plus jeunes, des garanties sur le versement des APL… et une application réelle des droits individuels des personnes (déjà acquis/conquis).
A la baisse des prestations, à la généralisation de la précarité, aux difficultés de logement ou d’accès aux soins, s’ajoute l’isolement qui détruit les êtres dans leur humanité et leur dignité. Des milliers d’associations agissent quotidiennement auprès des personnes les plus fragiles. Elles participent à la création du lien social, s’engagent dans les territoires et agissent pour permettre l’accès aux droits, à la culture et aux loisirs.
A la baisse des prestations, à la généralisation de la précarité, aux difficultés de logement ou d’accès aux soins, s’ajoute l’isolement qui détruit les êtres dans leur humanité et leur dignité. Des milliers d’associations agissent quotidiennement auprès des personnes les plus fragiles. Elles participent à la création du lien social, s’engagent dans les territoires et agissent pour permettre l’accès aux droits, à la culture et aux loisirs.
ARGUMENTAIRE LONG
Depuis le 17 novembre 2018 des citoyens vêtus de « gilets jaunes » manifestent dans toute la France. Ce fort mouvement contre la politique globale d’Emmanuel Macron secoue la France. Ce mouvement est original par ses formes, les manifestants vêtus de « gilets jaunes » bloquent les routes, des points de circulation stratégiques et refusent tout encadrement et porte-parole. Ce mouvement « horizontal» dans lequel les réseaux sociaux jouent un rôle important pour la mobilisation désoriente la classe politique, les syndicats comme les commentateurs politologues, journalistes, sociologues… Le gouvernement, tout en déclarant comprendre les « gilets jaunes », les écouter, répète aussi ne pas changer le cap des politiques contestées, donc ne rien modifier des injustices sociales, environnementales, culturelles, territoriales qu’elles induisent, renforçant le sentiment de mépris des manifestants, leur colère et leurs légitimes revendications. La légitimité gouvernementale s’en trouve fortement contestée. Mais le mouvement des « gilets jaunes » pose bien plus de questions encore pour la démocratie, la société civile, les institutions.
Le CAC en a fait une analyse par la voix de Jean-Claude Boual, à travers dix thèses à propos des « gilets jaunes », dix thèses pour les associations et dix contre-thèses à propos du macronisme (Lire ici).
Ce mouvement rejoint les préoccupations des acteurs du secteur associatif, qui demande une vraie reconnaissance de son utilité sociale par la création d’un plan pérenne de 1 Milliard d’euros nécessaire pour maintenir le soutien de l’État et construire avec les associations une véritable politique d’accompagnement des personnes les plus en difficulté.
Sur cette question, le CAC soutient et appelle à la mobilisation pour la défense des services publics porté par le Collectif National Convergence-SP
Quatre grandes thématiques fondamentales sont explorées :
La financiarisation vs action citoyenne
La richesse et la valeur, indicateurs et utilité sociale, Biens Communs et gouvernance partagée.
Les droits culturels
Les droits culturels comme composante des droits fondamentaux, diversité culturelle et développement des initiatives citoyennes.
La protection sociale
Les enjeux de solidarité professionnelle, les droits sociaux et évolution du pacte social.
Les processus de coopération
Organiser le dialogue entre acteurs du territoire, la co-construction, les pratiques entre acteurs pour faire ensemble, questionner les processus de coopération, affirmer leur reconnaissance.
Le CAC en a fait une analyse par la voix de Jean-Claude Boual, à travers dix thèses à propos des « gilets jaunes », dix thèses pour les associations et dix contre-thèses à propos du macronisme (Lire ici).
Ce mouvement rejoint les préoccupations des acteurs du secteur associatif, qui demande une vraie reconnaissance de son utilité sociale par la création d’un plan pérenne de 1 Milliard d’euros nécessaire pour maintenir le soutien de l’État et construire avec les associations une véritable politique d’accompagnement des personnes les plus en difficulté.
TRAVAIL SOCIAL
Issus du mouvement « Nuit Debout », une dizaine de personnes, travailleur·euse·s sociaux·ales, « décide d’écrire un texte pour expliquer la situation actuelle du travail social, pour la penser et envisager son avenir. Le manifeste du travail social est le résultat de ces échanges et des rencontres initiées par cet écrit collectif. Ce manifeste tente de montrer à quel point le néo-libéralisme s’attaque avec méthode et continuité à l’État social né de la seconde guerre mondiale et du Conseil National de la Résistance. Ce mouvement s’accélère. Les attaques se font plus massives et plus déterminées que jamais. Dans le même temps, et par contraste, nous cernons avec acuité en quoi le travail social est plus que jamais utile à une société juste et humaine. Plus que de le sauver, tellement dénaturé qu’il est par endroit, cet ouvrage (nous invite) à le refonder. »PROTECTION SOCIALE
La nécessité de mieux connaitre et préserver les conquis sociaux comme la sécurité sociale a poussé le CAC à produire un livret sur son historique car le système de protection sociale que nous connaissons aujourd’hui n’est ni condamné, ni obsolète. Vous pouvez télécharger le BREF HISTORIQUE DE LA PROTECTION SOCIALE rédigé par Jean-Claude Boual. Vous y trouverez une analyse des évolutions des politiques sociales sous l’effet du néolibéralisme. « La protection sociale est aujourd’hui un des principaux piliers de notre démocratie, de notre mode de vie et de notre civilisation. La triturer demande donc beaucoup de prudence et de précautions... et certainement pas des affirmations péremptoires basées le plus souvent sur des «études» idéologiques défendant les intérêts corporatistes et les intérêts des classes dirigeantes. »Sur cette question, le CAC soutient et appelle à la mobilisation pour la défense des services publics porté par le Collectif National Convergence-SP
CONTRAT A IMPACT SOCIAL (CIS)
La financiarisation de l’action associative, notamment dans le travail social, se retrouve dans la construction d'un modèle de "partenariat public-Privé" à travers le French Impact et les Contrats à Impact Social (selon le modèle anglo-saxon des Social Impact Bond) livrant au lucratif, aux banques, aux fondations, les politiques sociales de solidarité. Vous trouverez notre analyse dans ledossier complet publié par le CACUFISC
Le projet « Culture, Biens Communs et Économie Solidaire : animation des solidarités locales », proposé par l'UFISC et ses organisations membres, est né de la volonté de réunir les acteurs culturels et au delà, pour construire, ensemble, un référentiel de valeurs autour des notions de Culture, de Communs, de Solidarités.Quatre grandes thématiques fondamentales sont explorées :
La financiarisation vs action citoyenne
La richesse et la valeur, indicateurs et utilité sociale, Biens Communs et gouvernance partagée.
Les droits culturels
Les droits culturels comme composante des droits fondamentaux, diversité culturelle et développement des initiatives citoyennes.
La protection sociale
Les enjeux de solidarité professionnelle, les droits sociaux et évolution du pacte social.
Les processus de coopération
Organiser le dialogue entre acteurs du territoire, la co-construction, les pratiques entre acteurs pour faire ensemble, questionner les processus de coopération, affirmer leur reconnaissance.
RESSOURCES
- Communiqué du CAC (septembre 2018) : Le « Plan Pauvreté » de M. Macron : un pauvre plan
- Article de Libération le 15/01/2018
- Livret du CAC "Bref historique de la protection sociale en France"(2017)
- Les contrats à impact social, ou comment faire financer l’action social par des fonds privés
- Pour un plan de 1Md€ pour la vie associative – lettre ouverte–
- Le RAC (Réseau Action Climat) : propose6 réformes fondamentales "POUR UNE SOCIÉTÉ PLUS ÉCOLOGIQUE ET PLUS JUSTE »
- Vidéo résultant d’une recherche collective de 3 ans entre chercheur.ses et associations pointant le décalage entre le « droit de tous » (représenté par le droit de l’Etat) et le droit de chacun, et suit les associations qui se battent pour rendre efficient et démocratique ce droit surtout pour les minorités non « prévues » dans les applications.
- Article de Libération le 15/01/2018
- Livret du CAC "Bref historique de la protection sociale en France"(2017)
- Les contrats à impact social, ou comment faire financer l’action social par des fonds privés
- Pour un plan de 1Md€ pour la vie associative – lettre ouverte–
- Le RAC (Réseau Action Climat) : propose6 réformes fondamentales "POUR UNE SOCIÉTÉ PLUS ÉCOLOGIQUE ET PLUS JUSTE »
- Vidéo résultant d’une recherche collective de 3 ans entre chercheur.ses et associations pointant le décalage entre le « droit de tous » (représenté par le droit de l’Etat) et le droit de chacun, et suit les associations qui se battent pour rendre efficient et démocratique ce droit surtout pour les minorités non « prévues » dans les applications.
#5 // LES ASSOCIATIONS, UN RÔLE INDISPENSABLE DANS LA SOCIETE // Vive la subvention : Les associations citoyennes innovent, créent, agissent. Nous demandons le non recours aux dispositifs de mise en concurrence, et le droit à des subventions de fonctionnement pérennes, pluriannuels, reconnaissant l’initiative des projets associatifs.
THEME DE LA SEMAINE
Les associations, un rôle indispensable dans la société
DATE
27.05.2019
RESEAUX SOCIAUX
Les @AssosCitoyennes innovent, créent, agissent. Cela nécessite des #subventions de fonctionnement pérennes, pluriannuels, reconnaissant l’initiative des projets associatifs. Refusons la mise en concurrence #MobilisationAssociations http://cedsdac.associa
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Lien affichette de la semaine couleur
[[http://cedsdac.associations-citoyennes.net/?PageCoord/download&file=Aff_sem5.pdf Affichette semaine 5 couleur]]
Lien affichette de la semaine noir et blanc
[[http://cedsdac.associations-citoyennes.net/?PageCoord/download&file=Aff_sem5_nb.pdf Affichette semaine 5 noir&blanc]]
ARGUMENTAIRE COURT POUR AFFICHETTE
La subvention est le mode normal de financement des associations qui œuvrent pour l'intérêt général et le bien commun. Cependant sa part dans les budgets associatifs est passée de 34 % en 2005, à 20 % en 2017 ! A la place, ce sont les usagers eux-mêmes qui compensent : leur participation est passée de 32 % à 42 % sur la même période.
Ni la philanthropie (4% du financement associatif, dont 95% captés par les 150 plus grosses structures), ni les appels d’offre (même déguisés en appels à projet), qui poussent les associations dans une logique concurrentielle, ne remplaceront la puissance publique.
L'argent public est celui des citoyens, les élus n'en étant que des gestionnaires temporaires. Il est donc normal qu'une partie revienne à la société civile sous forme de subventions de fonctionnement, pour des projets d'utilité sociale portés localement par les petites et moyennes associations.
Ni la philanthropie (4% du financement associatif, dont 95% captés par les 150 plus grosses structures), ni les appels d’offre (même déguisés en appels à projet), qui poussent les associations dans une logique concurrentielle, ne remplaceront la puissance publique.
L'argent public est celui des citoyens, les élus n'en étant que des gestionnaires temporaires. Il est donc normal qu'une partie revienne à la société civile sous forme de subventions de fonctionnement, pour des projets d'utilité sociale portés localement par les petites et moyennes associations.
ARGUMENTAIRE LONG
Face à l’indignation suscitée par la suppression brutale des emplois aidés, le Premier Ministre a annoncé à l'hiver 2017 une concertation avec le secteur associatif afin de fonder « une politique ambitieuse de la vie associative ». Le CAC était invité pour la première fois depuis plusieurs années à faire part de ses analyses et de ses propositions. Voir ici les propositions phares qu’a défendues le CAC lors de cette concertation.
Un contexte de profonde remise en cause de l’action associative :
Ces propositions se situent dans un contexte qui n’est pas neutre. Depuis plusieurs années, les associations citoyennes alertent les gouvernements successifs sur les conséquences de la diminution structurelle des subventions publiques, leur instrumentalisation à travers les appels d’offres, la précarisation de l’emploi associatif. Les subventions publiques aux associations ont diminué de 16 milliards d’euros depuis 2005. Les appels d’offres qui les ont remplacés ne représentent en regard que 10 milliards d’euros, et seules les structures les plus importantes y ont accès. Les pouvoirs publics « se déchargent progressivement sur les associations d’un nombre toujours plus important de missions d’utilité sociale, sans que les financements soient proportionnels aux transferts de charges », comme le souligne un récent rapport d’information du Sénat. Le même rapport souligne les « conséquences désastreuses » de la suppression des emplois aidés, décidée brutalement et sans concertation à l’été 2017.
À travers de telles mesures, le gouvernement montre chaque jour sa méconnaissance de réalité sociale et sa volonté de ne conserver de l’action associative que les segments les plus rentables, pour les confier à des entreprises privées ou à des associations banalisées. Il rêve de start-up et de « French impact », en dehors de toute réalité.
Dans la concertation engagée depuis novembre 2017 par le gouvernement, ces questions ont été posées, et bien d’autres. Seront-elles entendues ? À ce stade, rien ne le prouve. Le gouvernement a reconnu qu’il existe un malaise, mais prétend apporter des solutions à travers un supplément de crédits de 25 M€, ce qui est bien évidemment sans commune mesure avec l’ampleur de la question, et par des exonérations sociales et fiscales qui n’intéressent que les 10.000 plus grosses associations. Il préfère choisir parmi les dizaines de propositions des associations celles sur lesquelles il pourra communiquer à peu de frais.
Une réflexion d’ensemble sur le rôle et le devenir des associations est indispensable, afin de déterminer les conditions de leur financement public stable et dans la durée. Cette discussion, ne peut pas faire l’économie d’une évaluation et d’un bilan des politiques menées depuis 15 ans. On s’apercevra que celles-ci constituent un recul phénoménal en termes de lien social, de démocratie d’éducation citoyenne et de coopération, et coûtent beaucoup plus cher à la collectivité que des actions associatives désintéressées, alors que les associations citoyennes, par leur maillage de terrain, remplissent des fonctions indispensables.
Un contexte de profonde remise en cause de l’action associative :
Ces propositions se situent dans un contexte qui n’est pas neutre. Depuis plusieurs années, les associations citoyennes alertent les gouvernements successifs sur les conséquences de la diminution structurelle des subventions publiques, leur instrumentalisation à travers les appels d’offres, la précarisation de l’emploi associatif. Les subventions publiques aux associations ont diminué de 16 milliards d’euros depuis 2005. Les appels d’offres qui les ont remplacés ne représentent en regard que 10 milliards d’euros, et seules les structures les plus importantes y ont accès. Les pouvoirs publics « se déchargent progressivement sur les associations d’un nombre toujours plus important de missions d’utilité sociale, sans que les financements soient proportionnels aux transferts de charges », comme le souligne un récent rapport d’information du Sénat. Le même rapport souligne les « conséquences désastreuses » de la suppression des emplois aidés, décidée brutalement et sans concertation à l’été 2017.
À travers de telles mesures, le gouvernement montre chaque jour sa méconnaissance de réalité sociale et sa volonté de ne conserver de l’action associative que les segments les plus rentables, pour les confier à des entreprises privées ou à des associations banalisées. Il rêve de start-up et de « French impact », en dehors de toute réalité.
Dans la concertation engagée depuis novembre 2017 par le gouvernement, ces questions ont été posées, et bien d’autres. Seront-elles entendues ? À ce stade, rien ne le prouve. Le gouvernement a reconnu qu’il existe un malaise, mais prétend apporter des solutions à travers un supplément de crédits de 25 M€, ce qui est bien évidemment sans commune mesure avec l’ampleur de la question, et par des exonérations sociales et fiscales qui n’intéressent que les 10.000 plus grosses associations. Il préfère choisir parmi les dizaines de propositions des associations celles sur lesquelles il pourra communiquer à peu de frais.
Une réflexion d’ensemble sur le rôle et le devenir des associations est indispensable, afin de déterminer les conditions de leur financement public stable et dans la durée. Cette discussion, ne peut pas faire l’économie d’une évaluation et d’un bilan des politiques menées depuis 15 ans. On s’apercevra que celles-ci constituent un recul phénoménal en termes de lien social, de démocratie d’éducation citoyenne et de coopération, et coûtent beaucoup plus cher à la collectivité que des actions associatives désintéressées, alors que les associations citoyennes, par leur maillage de terrain, remplissent des fonctions indispensables.
RESSOURCES
- Communiqué du CAC : Quel Grand Plan pour les associations ? (fév 2019)
- Communiqué commun CAC - Mouvement Pour l'Economie Sociale (déc 2018)
- Article Médiapart : un plan pour la vie associative ridicule au regard des enjeux de société (déc 2018)
- On nous demande toujours de diversifier nos ressources, mais ce n’est pas si simple ! - Fiche ressource sur les difficultés associatives 2015
- La concurrence inter-associative (l’effet pervers des appels d’offres et appels à projets) - Fiche ressource sur les difficultés associatives 2015
- Résumé visuel sur les "contrats à impact social" (version française des SIB)
- Tribune Dénoncer la mise en place des « SIB » et appeler à de nouvelles formes de relations entre associations et autorités publiques
- Livret A5 Quand le social finance les banques et les multinationales -Les Contrats à Impact Social : des Social Impact Bonds à la française!
- L’instrumentalisation des collectivités (le flou lié aux changements politiques) - Fiche ressource sur les difficultés associatives 2015
- La mairie a encore diminué notre subvention (les conséquences des restrictions budgétaires) - Fiche ressource sur les difficultés associatives 2015
#6 // POLITIQUES PUBLIQUES,DEMOCRATIE, INTERVENTION CITOYENNE // Pour des services publics partout pour exercer tous nos droits.
THEME DE LA SEMAINE
Politiques publiques, Démocratie et Intervention citoyenne
DATE
03.06.2019
RESEAUX SOCIAUX
Pour des #servicespublics partout pour exercer tous nos #droits, ils sont notre #BienCommun ; refusons le programme #ActionPublique2022 (#AP22) ; arrêt des privatisations et des fermetures des #servicespublics - #MobilisationAssociations http://cedsdac.a
AFFICHETTES A TELECHARGER
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ARGUMENTAIRE COURT POUR AFFICHETTE
Les services publics (bureaux de poste, hôpitaux, maternités, perception et services de l’État, ligne de chemin de fer, logement…) ferment sur tout le territoire sur injonction du gouvernement, pour « faire des économies », mais aussi pour livrer notre société aux intérêts des grands groupes multinationaux (banques, GAFAM, entreprises du CAC 40). Ces fermetures détruisent les conditions de vie des habitants, elles sont aussi à l'origine de la mobilisation des « gilets jaunes » et de la population qui les soutiens. Les services publics sont le moyen le plus efficace pour que les citoyens, les résidents, les associations puissent exercer leur droits les plus élémentaires. Ils sont indispensables à la vie en commun et facteur de lien social. Leur destruction délite notre société. Il est urgent d’arrêter cette politique et reconstruire sur tout le territoire des services publics adaptés aux besoins des populations.
ARGUMENTAIRE LONG
Les services publics et la Fonction publique sont notre bien commun !
Extraits du texte d’Appel à la mobilisation de la Convergence nationale des collectifs de défense et de développement des services publics adopté le 8 mai 2019
De trop nombreux services publics disparaissent sur le territoire national : maternités et hôpitaux, gares, postes, tribunaux, écoles, crèches, EPHAD, mairies, collèges et lycées, agences EDF, perceptions et centres des impôts, CIO, commissariats, gendarmeries, agences de Pôle emploi, caisses de la CPAM, services de l’État, …. La Caisse des Dépôts et Consignations est soumise aux règles bancaires du privé, Aéroport De Paris est en voie d’être privatisé, EDF est démembré pour mieux vendre sa partie rentable… C’est une spoliation des citoyennes et des citoyens qui les ont financés par leurs impôts.
Les services publics sont essentiels au développement et à l’aménagement du territoire.
Leur accès pour toutes et tous, sans discrimination, est facteur de vivre ensemble et vecteurs d’égalité. Leur présence sur tout le territoire permet l’accès aux mêmes droits.
Ils sont aussi la première raison d’implantation des entreprises et des investissements réalisés.
La disparition des services publics rend la vie plus compliquée et même extrêmement difficile aux populations aussi bien dans les zones rurales que dans les quartiers populaires et même en ville aujourd’hui. Elle est une des causes fondamentales, avec l’injustice fiscale, de la mobilisation des gilets jaunes et suscite des ripostes citoyennes locales d’importance alliant usagers, personnels et élus.
Au nom du progrès et d’une accessibilité permanente, le gouvernement rend la numérisation via Internet obligatoire. Désormais l’informatique au lieu d’aider à l’adaptabilité du service public aux besoins des usagers oblige ceux-ci à se plier aux impératifs économiques d’austérité en limitant ses choix et possibilités de contacts et de recours. C’est non seulement une source d’exclusion mais aussi un report du coût et de la responsabilité sur chaque usager.
Le gouvernement, par une série de mesures et de lois (dans la droite ligne des exigences libérales de la commission européenne), toujours présentées avec un vocabulaire trompeur et au nom des usagers, modifie l’architecture complète de notre société et nous engage dans un système où tout doit être « marchandise » : notre santé, notre école, toutes les prestations sociales. L’administration elle-même devrait selon lui être assurées par des entreprises privées (banques, GAFA, …).
L’administration du pays n’est pas l’affaire que des fonctionnaires, mais de la société toute entière !
Une fonction publique laïque et neutre est une des conditions de la démocratie et des libertés pour toutes et tous.
De façon plus générale le statut des fonctionnaires permet d’exercer le droit en dehors des pressions hiérarchiques et gouvernementales : il permet par exemple à un agent des finances publiques d’exercer sa mission de contrôle fiscal à l’abri de toutes pressions économiques, politiques ou hiérarchique. De même le statut des cheminots permet au conducteur de refuser le départ du train si la sécurité des passagers est en cause. C’est une garantie que le travail se fait pour l’intérêt général et non pas pour des intérêts particuliers. Il oblige également le fonctionnaire à accepter d’être nommé là où on a besoin de lui : c’est ce qui permet la présence de la fonction publique sur l’ensemble de notre territoire.
Les services publics sont un bien commun à tous les citoyennes et citoyens, il convient de les reconquérir.
Faire le choix des services publics c’est faire le choix collectif d’une société solidaire qui refuse le « chacun pour soi ».
Extraits du texte d’Appel à la mobilisation de la Convergence nationale des collectifs de défense et de développement des services publics adopté le 8 mai 2019
De trop nombreux services publics disparaissent sur le territoire national : maternités et hôpitaux, gares, postes, tribunaux, écoles, crèches, EPHAD, mairies, collèges et lycées, agences EDF, perceptions et centres des impôts, CIO, commissariats, gendarmeries, agences de Pôle emploi, caisses de la CPAM, services de l’État, …. La Caisse des Dépôts et Consignations est soumise aux règles bancaires du privé, Aéroport De Paris est en voie d’être privatisé, EDF est démembré pour mieux vendre sa partie rentable… C’est une spoliation des citoyennes et des citoyens qui les ont financés par leurs impôts.
Les services publics sont essentiels au développement et à l’aménagement du territoire.
Leur accès pour toutes et tous, sans discrimination, est facteur de vivre ensemble et vecteurs d’égalité. Leur présence sur tout le territoire permet l’accès aux mêmes droits.
Ils sont aussi la première raison d’implantation des entreprises et des investissements réalisés.
La disparition des services publics rend la vie plus compliquée et même extrêmement difficile aux populations aussi bien dans les zones rurales que dans les quartiers populaires et même en ville aujourd’hui. Elle est une des causes fondamentales, avec l’injustice fiscale, de la mobilisation des gilets jaunes et suscite des ripostes citoyennes locales d’importance alliant usagers, personnels et élus.
Au nom du progrès et d’une accessibilité permanente, le gouvernement rend la numérisation via Internet obligatoire. Désormais l’informatique au lieu d’aider à l’adaptabilité du service public aux besoins des usagers oblige ceux-ci à se plier aux impératifs économiques d’austérité en limitant ses choix et possibilités de contacts et de recours. C’est non seulement une source d’exclusion mais aussi un report du coût et de la responsabilité sur chaque usager.
Le gouvernement, par une série de mesures et de lois (dans la droite ligne des exigences libérales de la commission européenne), toujours présentées avec un vocabulaire trompeur et au nom des usagers, modifie l’architecture complète de notre société et nous engage dans un système où tout doit être « marchandise » : notre santé, notre école, toutes les prestations sociales. L’administration elle-même devrait selon lui être assurées par des entreprises privées (banques, GAFA, …).
L’administration du pays n’est pas l’affaire que des fonctionnaires, mais de la société toute entière !
- Le statut général de la Fonction publique n’est pas un privilège. Il garantit à tous les usagers l’égalité de traitement. Il est indispensable pour assurer l’indépendance du fonctionnaire afin qu’il puisse exercer ses missions dans le respect de la légalité, sans discrimination, à l’abri le plus possible des pressions. Il s’agit bien de service à la population sans privilèges pour quelques-uns.
Une fonction publique laïque et neutre est une des conditions de la démocratie et des libertés pour toutes et tous.
De façon plus générale le statut des fonctionnaires permet d’exercer le droit en dehors des pressions hiérarchiques et gouvernementales : il permet par exemple à un agent des finances publiques d’exercer sa mission de contrôle fiscal à l’abri de toutes pressions économiques, politiques ou hiérarchique. De même le statut des cheminots permet au conducteur de refuser le départ du train si la sécurité des passagers est en cause. C’est une garantie que le travail se fait pour l’intérêt général et non pas pour des intérêts particuliers. Il oblige également le fonctionnaire à accepter d’être nommé là où on a besoin de lui : c’est ce qui permet la présence de la fonction publique sur l’ensemble de notre territoire.
Les services publics sont un bien commun à tous les citoyennes et citoyens, il convient de les reconquérir.
Faire le choix des services publics c’est faire le choix collectif d’une société solidaire qui refuse le « chacun pour soi ».
RESSOURCES
- [Livret du CAC] - Cap 2022 : Les multinationales à l’assaut du gouvernement
- [Webinaire du CAC en 3 parties] - Comité Action Publique 2022
- LE RAPPORT CAP 22 en PDF
- Le 1er ministre a présenté fin 2017, le rapport « action publique 22 » : une méthode « radicalement différente » dans le plus grand secret mais devenu public grâce à l’intervention du syndicat Solidaire qui l’a publié en juillet 2018
- Les services publics et la Fonction publique sont notre bien commun ! Appel à la mobilisation de la Convergence nationale des collectifs de défense et de développement des services publics
- Conférence de presse de la Convergence Nationale le mercredi 5 juin à 11h – Mairie du 2ème Paris
#7 // POUR UNE SOCIETE DE LA SOLIDARITE, JUSTICE SOCIALE // Contre la privatisation et la marchandisation de l’action sociale, une politique sociale concertée et ambitieuse pour une solidarité de proximité passe par de nouveaux moyens au bénéfice des petites et moyennes associations.
THEME DE LA SEMAINE
Pour une société de la solidarité, justice sociale
DATE
10.06.2019
RESEAUX SOCIAUX
@AssosCitoyennes pour la campagne #MobilisationAssos
AFFICHETTES A TELECHARGER
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ARGUMENTAIRE COURT POUR AFFICHETTE
Le CAC s’interroge sur la nécessité qu’il y aurait d’affecter le principal effort de la puissance publique dans le secteur social à quelques acteurs de la solidarité, à travers des appels d’offre d’un nouveau type. Le gouvernement ne semble plus posséder qu’un seul modèle économique, incertain, pour le secteur social, entre les partenariats-privé-public des « contrats à impact social » et le changement d’échelle de la « French Impact ».
La solidarité n’est pas un marché ouvert à la concurrence ! L’action sociale repose sur un vaste ensemble d’acteurs. Les petites et moyennes associations, ont vu fondre les moyens dont elles disposent comme la baisse drastique des subventions et la perte des emplois aidés. Nous demandons la création d’un fonds d’urgence de 1Md€ indispensable à la solidarité de proximité et au maintien d’un lien social fort entre tous les citoyens.
La solidarité n’est pas un marché ouvert à la concurrence ! L’action sociale repose sur un vaste ensemble d’acteurs. Les petites et moyennes associations, ont vu fondre les moyens dont elles disposent comme la baisse drastique des subventions et la perte des emplois aidés. Nous demandons la création d’un fonds d’urgence de 1Md€ indispensable à la solidarité de proximité et au maintien d’un lien social fort entre tous les citoyens.
ARGUMENTAIRE LONG
Les bénéfices pas nets des Contrats à Impact Social
Ce nouveau dispositif introduit depuis peu dans le secteur de l’Action Social offre la possibilité à des investisseurs de spéculer sur des actions destinées aux plus fragiles au sein de la société, ce qui ne manque pas d’interroger à maints niveaux :
Le 7 mars dernier, Christophe Itier, Haut-Commissaire à l’Économie Sociale et Solidaire, a annoncé vouloir redonner un second souffle aux Contrats à Impact Social (CIS), un dispositif ouvert en 2016. Sa particularité consiste à créer des Partenariats Privé Public (PPP) dans le secteur de l’Action Sociale, c’est-à-dire que des investisseurs institutionnels ou privés financeraient une action de solidarité et en contrepartie pourraient en tirer des bénéfices.
Comment peut-on se faire de l’argent sur le dos des plus démunis ? Les promoteurs des CIS se défendent de tout amoralisme car, mettent-ils en avant, les bénéfices retirés de l’action financée ne le seraient qu’en fonction des résultats observés sur le terrain. Les CIS ne viendraient pas concurrencer les dispositifs classiques de l’Action Sociale, mais concerneraient des actions particulièrement innovantes avec un système de mesure particulier de leur impact social. Cela justifierait donc la culbute par deux du coût d’un CIS par rapport à des dispositifs financés de manière traditionnelle par des subventions publiques. En effet, au prix de l’action en elle-même d’un CIS se rajouteraient les intérêts versés aux investisseurs, mais aussi le coût des intermédiaires entre les financeurs, l’association support de l’action et les pouvoirs publics (payeurs in fine), ainsi que le coût de l’évaluation du groupe cible, comme du groupe témoin d’ailleurs, puisqu’il faut bien constituer un groupe ne bénéficiant pas du dispositif pour pouvoir mesurer l’écart avec celui en bénéficiant et calculer le versement des intérêt « au mérite » en fonction de cet écart.
Une absence de caractère innovant
Depuis janvier 2017, et un premier colloque sur ce thème, le Collectif des Associations Citoyennes s’élève contre la pertinence de la création de tels PPP dans le secteur de la Solidarité. Il rappelle tout d’abord le rapport du sénat concernant les PPP dans le secteur des Travaux Publics et que la Haute Chambre avait qualifiés de véritables « bombes à retardement ». Au-delà même de la multiplication par 2 du financement de ces actions pour la Puissance Publique, le CAC tient à examiner le plus objectivement possible les arguments des thuriféraires des CIS. Du propre discours de ces derniers, 3 conditions apparaissent comme indispensables à leur justification : tout d’abord que l’action soit limitée dans le temps car, s’il serait moral de se faire de l’argent en montant une action sociale, c’est parce que cette action est ciblée et ponctuelle et donc bien moins chère que des dispositifs pérennes et moins innovants ; ensuite il faut que l’étude comparative entre le groupe cible et le groupe témoin puisse se faire sur des bases suffisamment scientifiques, c’est-à-dire avec des critères objectivables ; enfin, et pour le moins, il faut que l’action innovante, au-delà d’une phraséologie très nov’ langue issue du « nouveau monde », se distingue réellement des actions classiques que le Travail Social avait déjà expérimentées et qu’il finance à moitié coût.
Le Monde du 8 mars décrivait, dans un article intitulé « les débuts laborieux des Contrats à Impact social », les 3 nouveaux CIS validés récemment par le Haut-Commissariat à l’ESS pour un coût global de 9,7 millions d’euros. L’action de la Cravate Solidaire consiste à prêter un ensemble costume-cravate aux demandeurs d’emploi avant un entretien d’embauche, mais aussi à les coacher. On retiendra que la mesure n’est pas particulièrement innovante : la préparation aux entretiens d’embauche fait toujours parti des stages que propose Pôle Emploi. L’association Wimoov s’adresse aux bénéficiaires du RSA pour les conseiller sur leur stratégie de déplacement pour rejoindre un emploi ou une formation. Le caractère innovant du CIS dont bénéficierait dorénavant Wimoov consisterait à financer un outil numérique pour créer un diagnostic par Internet de la situation du bénéficiaire. C’est sans doute oublier que les bénéficiaires du RSA sont souvent des personnes isolées pour lesquelles la remobilisation dépend surtout d’une présence humaine à leur côté et non d’un logiciel aussi intelligemment soit-il programmé. Enfin, l’association Article Un a pour vocation d’encourager les jeunes ruraux boursiers à « oser choisir » des études longues et difficiles. A bien connaître ces publics on se demande si les freins à leur ambition reposent réellement sur une dimension psychologique - parce qu’ils n’oseraient pas choisir - ou si ce qui les contraint ne consiste pas plutôt en la limitation en montant et en durée des bourses de l’enseignement supérieur, qui n’ont pas ou si peu été revalorisées depuis des années.
On le voit bien, les actions proposées ne possèdent intrinsèquement aucun caractère innovant. Elles ne peuvent être cependant espérées comme innovantes que parce qu’il existe un véritable recul dans le subventionnement des actions classiques. Faute de moyens financiers conventionnels suffisant, des décideurs politiques et des acteurs de l’action sociale en viennent à souhaiter l’émergence de ces CIS. La seule véritable innovation ne tient pas dans les actions promues par les CIS, mais dans le montage financier en lui-même des CIS. L’innovation est ce mythe sur lequel s’est construit le capitalisme lui-même : par le jeu de la concurrence le capitalisme détruit violemment des emplois et des entreprises pour permettre l’émergence d’autres, mais cette « destruction créatrice » (Joseph Schumpeter, que n’hésite pas à citer Emmanuel Macron) se révèlerait finalement positive, puisque les emplois et les entreprises nouvelles seraient plus innovant que ceux laminés. On a bien là dans le cas des CIS une figure du mythe qui consiste à vouloir substituer le financement par subvention par celui par l’investissement, en parant ce dernier par principe et non par démonstration d’attributs innovants.
Le véritable enjeu
Il faut comprendre le changement de paradigme actuel dans le Contrat Social pour mieux saisir les facteurs d’émergence des CIS. Antérieurement, tout au long du 20° siècle dans les pays industrialisés en mesure de fabriquer les produits de consommation de masse dont avaient besoin les populations, il convenait de payer suffisamment les salariés pour qu’ils puissent acquérir ces produits. C’est ce qu’on appelle le compromis fordien (Henry Ford souhaitant que ses employés puissent acheter eux-mêmes les voitures qu’ils produisaient). Bien sûr, ce Contrat Social, qui ne permettait pas la maximalisation des sommes investies par le Capitalisme, reposait aussi sur un système de concurrence idéologique avec le Socialisme, dont il fallait se démarquer des promesses de lendemains radieux en offrant l’accès dès aujourd’hui au consumérisme. De manière corollaire, le compromis fordien s’interdit à l’époque de se faire de l’argent sur les actions envers les miséreux et les invalides et sanctuarisa alors le secteur de la Solidarité de toute marchandisation.
A la chute du mur de Berlin (1989) et des régimes communistes qui s’ensuivirent, le Capitalisme n’avait plus d’adversaire idéologique. Il pouvait alors revenir à l’une de ses tendances les plus profondes, la maximalisation immédiate de ses profits. Fin alors du compromis fordien (abrogation par exemple de l’indexation des salaires sur l’inflation) et glissement de plus en plus fort du capitalisme industriel vers le capitalisme financier et spéculatif. Ce dernier, dopé en plus par la faiblesse des taux d’emprunt, dispose désormais d’une force d’investissement énorme. Face à la faiblesse progressive du pouvoir d’achat des salariés, ce nouveau capitalisme se lance à la recherche effrénée de nouveaux marchés. Pour en trouver, il lorgne désormais sur les domaines auparavant préservés du social, de la culture et de l’humanitaire.
Il reste cependant à trouver la martingale, l’outil financier, qui permettrait de pénétrer ces nouveaux marchés. C’est ainsi qu’émergea bientôt toute une réflexion sur les « titres à impact » (social, culturel, humanitaire) et que quelques expériences furent tentées dans les pays anglo-saxons. Dans le secteur de l’action sociale, ces titres prirent dans ces pays le nom de « Social Impact Bonds » (SIB). La démarche s’institutionnalisa en 2013 quand le G8, alors présidé par David Cameron, décida de promouvoir ces titres dans les pays les plus riches, comme nouveau moyen de financement des secteurs non-marchand. Une taskforce fut réunie sous l’autorité de Sir Ronald Cohen pour coordonner l’application et la généralisation de ces titres dans les pays du G7 et, en France, ce fut Hugues Sibille (alors vice-président du Crédit Coopératif et qui en préside désormais la fondation) qui chapeauta son comité national.
L’argumentation principale d’Hugues Sibille pour justifier l’introduction en France des CIS, c’est que ceux-ci comporteraient plus de garde-fous que les SIB anglo-saxons : un moindre taux d’intérêt (autour de 6 % et non pas de 13 % comme ailleurs) et un refus de la titrisation de ces investissements. Sur ce dernier point, qu’on puisse en douter, car comment des fonds spéculatifs présents dans le tour de table des investisseurs pourront résister longtemps avant de monnayer leurs investissements sous forme de titres échangeables ?
Le diable s’habille en PRAHDA
Fin 2016, le ministère de l’Intérieur lance le premier CIS français sous forme d’un appel d’offre pour la création de 5000 places d’accueil d’urgence pour les demandeurs d’asile. Il s’agit du Programme d’Accueil et d’Hébergement des Demandeurs d’Asile (PRAHDA). Un fonds va être créé pour la circonstance : appelé Hémisphère, il est doté de 200 millions d’euros, apporté pour une moitié par la Banque de développement du Conseil de l’Europe et pour l’autre par 6 investisseurs institutionnels : Aviva France, BNP Paribas Cardif, la CDC, CNP Assurance, la MAIF et Pro BTP.
Hémisphère achète au groupe Accor 62 vieux hôtels Formule 1 qui vont devenir les nouveaux centres d’accueil des demandeurs d’asile. Il en confie la gestion à l’Adoma (ancienne Sonacotra, qui gérait les foyers de travailleurs immigrés), une société mixte. Hémisphère promet un taux de rémunération fixe de 3,5 % à ses investisseurs, soit à peu près le double de ce que rapporte un prêt immobilier à des particuliers. Mais ce taux augmentera encore, en fonction d’objectifs sociaux suffisamment basiques pour être facilement atteignables.
Pour permettre cette rentabilité, Hémisphère et l’Adoma vont rogner au maximum sur le coût des nuitées qui sont payées par l’Etat : c’est ainsi que des familles de 4 personnes vont être entassées à 4 dans 7 m2 ou que les « encadrants sociaux » sont souvent non-diplômés du secteur social et peuvent ne se retrouver qu’à deux pour mettre en place l’accompagnement social et l’accès au droit de plus de 80 hébergés…
Au total, guère de travail d’insertion possible dans les Prahda, tant il ne s’agit que de parer à l’urgence avec des moyens ridiculement faibles. Mais les financeurs auront réussi avec ce premier CIS une belle opération spéculative.
Un manque de rigueur évaluable
Grand sujet aussi d’étonnement pour les observateurs de l’introduction des CIS en France, le caractère précipité de leur introduction et le manque d’évaluation de leur pertinence. Pourtant, c’est sur cet aspect méthodologique et scientifique de l’évaluation que les promoteurs des CIS veulent se démarquer des pratiques de financement antérieures de l’Action Sociale par subventions publiques. Selon ces « modernes », le modèle par subvention antérieur aurait été globalement incapable de justifier de l’impact social de ses actions. Or les laudateurs des CIS semblent manquer eux aussi cruellement d’évaluation de leurs actions. Pourquoi ne disent-ils pas que l’expérience de Peterborough, la prison anglaise qui fit l’objet d’une des premières actions financées sous forme de SIB et centrée sur les questions de récidives des détenus sortant, ne fut jamais conduite jusqu’à son terme et s’avéra donc non évaluable ? Pourtant c’est bien ce mythe fondateur qui est souvent évoqué par les partisans des SIB/CIS. Pourquoi avant la phase de généralisation des CIS en France, il fallut une astuce sémantique pour dire que la phase de tests avait été évaluée, non pas parce que les premiers CIS signés en France l’eussent été à la fin de leur action, mais parce que c’est le processus de leur sélection qui l’a été ?
Actuellement, alors que le Haut-Commissariat à l’ESS pousse à la roue pour passer à la phase de massification des CIS, aucune expérience préalable n’a encore été conduite jusqu’à son terme et n’a donc pu être évaluée.
Pourquoi également opposer aux mouvements citoyens désireux d’observer les CIS l’introduction d’un « secret des affaires » dans le champ de la Solidarité pour refuser de communiquer sur les conditions du montage de l’action entre les différents acteurs concernés ?
Ces CIS, coûteux pour la puissance publique, guère innovant par rapport aux pratiques antérieures du secteur de l’Action Sociale, non encore testés, dissimulés par le secret des affaires et conduit au pas de course, n’ont convaincu en France ni l’institut Godin, un think tank de l’ESS, ni le Haut Conseil à la Vie Associative. Et à l’extérieur de l’hexagone ils n’ont pas obtenu davantage la validation de l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques. En France, il ne séduit qu’un segment étroit de l’Économie Sociale et Solidaire, celui des Entrepreneurs sociaux, qui rêve d’hybridation entre l’ESS et l’économie marchande. Ils sont réunis notamment au sein du Mouvement des Entrepreneurs Sociaux (Mouves, dont Christophe Itier fut président). Le Mouves compte également dans ses actuels administrateur son ancien président, Jean-Marc Borello, président de SOS, le tentaculaire groupe d’entrepreneuriat social avec ses 14 000 salariés et ses 350 établissements, et acteur de 2 des 3 projets nouvellement élus présentés par Christophe Itier, puisque l’association Wimoov appartient au groupe SOS et que le fonds Inco présent dans le financement de la Cravate Solidaire, a été fondé au sein du groupe SOS et s’appelait alors Comptoir de l’innovation.
Nous avons donc d’un côté une tendance lourde du capitalisme mondial actuel à promouvoir les SIB par l’intermédiaire des pays les plus riches du monde, afin de pénétrer de nouveaux marchés et de trouver les nouveaux outils pour en tirer des profits. De l’autre, nous avons en France une petite coterie, liée par l’entre-soi et le sens des affaires, qui tente de se placer sur le marché émergent des CIS.
Ils ne sont pour l’instant que 6 de ces contrats à avoir bénéficié de l’imprimatur de Haut-Commissariat. Mais ces CIS pourraient aussi séduire des collectivités territoriales, dont les moyens pour subventionner l’Action Sociale ont drastiquement diminué. En faisant l’impasse sur le futur et le moment où la note finale leur sera présentée, ces collectivités pourraient accroître le nombre des CIS. Souhaitons que ces Contrats, coûteux pour la collectivité et n’ayant en rien prouvé leur caractère innovant, passent à la trappe de l’Histoire, juste retenus par Celle-ci à titre anecdotique comme un de ces tâtonnements que le Capitaliste du 21° siècle aura effectué dans sa quête de nouveaux marchés solvables.
Ce nouveau dispositif introduit depuis peu dans le secteur de l’Action Social offre la possibilité à des investisseurs de spéculer sur des actions destinées aux plus fragiles au sein de la société, ce qui ne manque pas d’interroger à maints niveaux :
Le 7 mars dernier, Christophe Itier, Haut-Commissaire à l’Économie Sociale et Solidaire, a annoncé vouloir redonner un second souffle aux Contrats à Impact Social (CIS), un dispositif ouvert en 2016. Sa particularité consiste à créer des Partenariats Privé Public (PPP) dans le secteur de l’Action Sociale, c’est-à-dire que des investisseurs institutionnels ou privés financeraient une action de solidarité et en contrepartie pourraient en tirer des bénéfices.
Comment peut-on se faire de l’argent sur le dos des plus démunis ? Les promoteurs des CIS se défendent de tout amoralisme car, mettent-ils en avant, les bénéfices retirés de l’action financée ne le seraient qu’en fonction des résultats observés sur le terrain. Les CIS ne viendraient pas concurrencer les dispositifs classiques de l’Action Sociale, mais concerneraient des actions particulièrement innovantes avec un système de mesure particulier de leur impact social. Cela justifierait donc la culbute par deux du coût d’un CIS par rapport à des dispositifs financés de manière traditionnelle par des subventions publiques. En effet, au prix de l’action en elle-même d’un CIS se rajouteraient les intérêts versés aux investisseurs, mais aussi le coût des intermédiaires entre les financeurs, l’association support de l’action et les pouvoirs publics (payeurs in fine), ainsi que le coût de l’évaluation du groupe cible, comme du groupe témoin d’ailleurs, puisqu’il faut bien constituer un groupe ne bénéficiant pas du dispositif pour pouvoir mesurer l’écart avec celui en bénéficiant et calculer le versement des intérêt « au mérite » en fonction de cet écart.
Une absence de caractère innovant
Depuis janvier 2017, et un premier colloque sur ce thème, le Collectif des Associations Citoyennes s’élève contre la pertinence de la création de tels PPP dans le secteur de la Solidarité. Il rappelle tout d’abord le rapport du sénat concernant les PPP dans le secteur des Travaux Publics et que la Haute Chambre avait qualifiés de véritables « bombes à retardement ». Au-delà même de la multiplication par 2 du financement de ces actions pour la Puissance Publique, le CAC tient à examiner le plus objectivement possible les arguments des thuriféraires des CIS. Du propre discours de ces derniers, 3 conditions apparaissent comme indispensables à leur justification : tout d’abord que l’action soit limitée dans le temps car, s’il serait moral de se faire de l’argent en montant une action sociale, c’est parce que cette action est ciblée et ponctuelle et donc bien moins chère que des dispositifs pérennes et moins innovants ; ensuite il faut que l’étude comparative entre le groupe cible et le groupe témoin puisse se faire sur des bases suffisamment scientifiques, c’est-à-dire avec des critères objectivables ; enfin, et pour le moins, il faut que l’action innovante, au-delà d’une phraséologie très nov’ langue issue du « nouveau monde », se distingue réellement des actions classiques que le Travail Social avait déjà expérimentées et qu’il finance à moitié coût.
Le Monde du 8 mars décrivait, dans un article intitulé « les débuts laborieux des Contrats à Impact social », les 3 nouveaux CIS validés récemment par le Haut-Commissariat à l’ESS pour un coût global de 9,7 millions d’euros. L’action de la Cravate Solidaire consiste à prêter un ensemble costume-cravate aux demandeurs d’emploi avant un entretien d’embauche, mais aussi à les coacher. On retiendra que la mesure n’est pas particulièrement innovante : la préparation aux entretiens d’embauche fait toujours parti des stages que propose Pôle Emploi. L’association Wimoov s’adresse aux bénéficiaires du RSA pour les conseiller sur leur stratégie de déplacement pour rejoindre un emploi ou une formation. Le caractère innovant du CIS dont bénéficierait dorénavant Wimoov consisterait à financer un outil numérique pour créer un diagnostic par Internet de la situation du bénéficiaire. C’est sans doute oublier que les bénéficiaires du RSA sont souvent des personnes isolées pour lesquelles la remobilisation dépend surtout d’une présence humaine à leur côté et non d’un logiciel aussi intelligemment soit-il programmé. Enfin, l’association Article Un a pour vocation d’encourager les jeunes ruraux boursiers à « oser choisir » des études longues et difficiles. A bien connaître ces publics on se demande si les freins à leur ambition reposent réellement sur une dimension psychologique - parce qu’ils n’oseraient pas choisir - ou si ce qui les contraint ne consiste pas plutôt en la limitation en montant et en durée des bourses de l’enseignement supérieur, qui n’ont pas ou si peu été revalorisées depuis des années.
On le voit bien, les actions proposées ne possèdent intrinsèquement aucun caractère innovant. Elles ne peuvent être cependant espérées comme innovantes que parce qu’il existe un véritable recul dans le subventionnement des actions classiques. Faute de moyens financiers conventionnels suffisant, des décideurs politiques et des acteurs de l’action sociale en viennent à souhaiter l’émergence de ces CIS. La seule véritable innovation ne tient pas dans les actions promues par les CIS, mais dans le montage financier en lui-même des CIS. L’innovation est ce mythe sur lequel s’est construit le capitalisme lui-même : par le jeu de la concurrence le capitalisme détruit violemment des emplois et des entreprises pour permettre l’émergence d’autres, mais cette « destruction créatrice » (Joseph Schumpeter, que n’hésite pas à citer Emmanuel Macron) se révèlerait finalement positive, puisque les emplois et les entreprises nouvelles seraient plus innovant que ceux laminés. On a bien là dans le cas des CIS une figure du mythe qui consiste à vouloir substituer le financement par subvention par celui par l’investissement, en parant ce dernier par principe et non par démonstration d’attributs innovants.
Le véritable enjeu
Il faut comprendre le changement de paradigme actuel dans le Contrat Social pour mieux saisir les facteurs d’émergence des CIS. Antérieurement, tout au long du 20° siècle dans les pays industrialisés en mesure de fabriquer les produits de consommation de masse dont avaient besoin les populations, il convenait de payer suffisamment les salariés pour qu’ils puissent acquérir ces produits. C’est ce qu’on appelle le compromis fordien (Henry Ford souhaitant que ses employés puissent acheter eux-mêmes les voitures qu’ils produisaient). Bien sûr, ce Contrat Social, qui ne permettait pas la maximalisation des sommes investies par le Capitalisme, reposait aussi sur un système de concurrence idéologique avec le Socialisme, dont il fallait se démarquer des promesses de lendemains radieux en offrant l’accès dès aujourd’hui au consumérisme. De manière corollaire, le compromis fordien s’interdit à l’époque de se faire de l’argent sur les actions envers les miséreux et les invalides et sanctuarisa alors le secteur de la Solidarité de toute marchandisation.
A la chute du mur de Berlin (1989) et des régimes communistes qui s’ensuivirent, le Capitalisme n’avait plus d’adversaire idéologique. Il pouvait alors revenir à l’une de ses tendances les plus profondes, la maximalisation immédiate de ses profits. Fin alors du compromis fordien (abrogation par exemple de l’indexation des salaires sur l’inflation) et glissement de plus en plus fort du capitalisme industriel vers le capitalisme financier et spéculatif. Ce dernier, dopé en plus par la faiblesse des taux d’emprunt, dispose désormais d’une force d’investissement énorme. Face à la faiblesse progressive du pouvoir d’achat des salariés, ce nouveau capitalisme se lance à la recherche effrénée de nouveaux marchés. Pour en trouver, il lorgne désormais sur les domaines auparavant préservés du social, de la culture et de l’humanitaire.
Il reste cependant à trouver la martingale, l’outil financier, qui permettrait de pénétrer ces nouveaux marchés. C’est ainsi qu’émergea bientôt toute une réflexion sur les « titres à impact » (social, culturel, humanitaire) et que quelques expériences furent tentées dans les pays anglo-saxons. Dans le secteur de l’action sociale, ces titres prirent dans ces pays le nom de « Social Impact Bonds » (SIB). La démarche s’institutionnalisa en 2013 quand le G8, alors présidé par David Cameron, décida de promouvoir ces titres dans les pays les plus riches, comme nouveau moyen de financement des secteurs non-marchand. Une taskforce fut réunie sous l’autorité de Sir Ronald Cohen pour coordonner l’application et la généralisation de ces titres dans les pays du G7 et, en France, ce fut Hugues Sibille (alors vice-président du Crédit Coopératif et qui en préside désormais la fondation) qui chapeauta son comité national.
L’argumentation principale d’Hugues Sibille pour justifier l’introduction en France des CIS, c’est que ceux-ci comporteraient plus de garde-fous que les SIB anglo-saxons : un moindre taux d’intérêt (autour de 6 % et non pas de 13 % comme ailleurs) et un refus de la titrisation de ces investissements. Sur ce dernier point, qu’on puisse en douter, car comment des fonds spéculatifs présents dans le tour de table des investisseurs pourront résister longtemps avant de monnayer leurs investissements sous forme de titres échangeables ?
Le diable s’habille en PRAHDA
Fin 2016, le ministère de l’Intérieur lance le premier CIS français sous forme d’un appel d’offre pour la création de 5000 places d’accueil d’urgence pour les demandeurs d’asile. Il s’agit du Programme d’Accueil et d’Hébergement des Demandeurs d’Asile (PRAHDA). Un fonds va être créé pour la circonstance : appelé Hémisphère, il est doté de 200 millions d’euros, apporté pour une moitié par la Banque de développement du Conseil de l’Europe et pour l’autre par 6 investisseurs institutionnels : Aviva France, BNP Paribas Cardif, la CDC, CNP Assurance, la MAIF et Pro BTP.
Hémisphère achète au groupe Accor 62 vieux hôtels Formule 1 qui vont devenir les nouveaux centres d’accueil des demandeurs d’asile. Il en confie la gestion à l’Adoma (ancienne Sonacotra, qui gérait les foyers de travailleurs immigrés), une société mixte. Hémisphère promet un taux de rémunération fixe de 3,5 % à ses investisseurs, soit à peu près le double de ce que rapporte un prêt immobilier à des particuliers. Mais ce taux augmentera encore, en fonction d’objectifs sociaux suffisamment basiques pour être facilement atteignables.
Pour permettre cette rentabilité, Hémisphère et l’Adoma vont rogner au maximum sur le coût des nuitées qui sont payées par l’Etat : c’est ainsi que des familles de 4 personnes vont être entassées à 4 dans 7 m2 ou que les « encadrants sociaux » sont souvent non-diplômés du secteur social et peuvent ne se retrouver qu’à deux pour mettre en place l’accompagnement social et l’accès au droit de plus de 80 hébergés…
Au total, guère de travail d’insertion possible dans les Prahda, tant il ne s’agit que de parer à l’urgence avec des moyens ridiculement faibles. Mais les financeurs auront réussi avec ce premier CIS une belle opération spéculative.
Un manque de rigueur évaluable
Grand sujet aussi d’étonnement pour les observateurs de l’introduction des CIS en France, le caractère précipité de leur introduction et le manque d’évaluation de leur pertinence. Pourtant, c’est sur cet aspect méthodologique et scientifique de l’évaluation que les promoteurs des CIS veulent se démarquer des pratiques de financement antérieures de l’Action Sociale par subventions publiques. Selon ces « modernes », le modèle par subvention antérieur aurait été globalement incapable de justifier de l’impact social de ses actions. Or les laudateurs des CIS semblent manquer eux aussi cruellement d’évaluation de leurs actions. Pourquoi ne disent-ils pas que l’expérience de Peterborough, la prison anglaise qui fit l’objet d’une des premières actions financées sous forme de SIB et centrée sur les questions de récidives des détenus sortant, ne fut jamais conduite jusqu’à son terme et s’avéra donc non évaluable ? Pourtant c’est bien ce mythe fondateur qui est souvent évoqué par les partisans des SIB/CIS. Pourquoi avant la phase de généralisation des CIS en France, il fallut une astuce sémantique pour dire que la phase de tests avait été évaluée, non pas parce que les premiers CIS signés en France l’eussent été à la fin de leur action, mais parce que c’est le processus de leur sélection qui l’a été ?
Actuellement, alors que le Haut-Commissariat à l’ESS pousse à la roue pour passer à la phase de massification des CIS, aucune expérience préalable n’a encore été conduite jusqu’à son terme et n’a donc pu être évaluée.
Pourquoi également opposer aux mouvements citoyens désireux d’observer les CIS l’introduction d’un « secret des affaires » dans le champ de la Solidarité pour refuser de communiquer sur les conditions du montage de l’action entre les différents acteurs concernés ?
Ces CIS, coûteux pour la puissance publique, guère innovant par rapport aux pratiques antérieures du secteur de l’Action Sociale, non encore testés, dissimulés par le secret des affaires et conduit au pas de course, n’ont convaincu en France ni l’institut Godin, un think tank de l’ESS, ni le Haut Conseil à la Vie Associative. Et à l’extérieur de l’hexagone ils n’ont pas obtenu davantage la validation de l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques. En France, il ne séduit qu’un segment étroit de l’Économie Sociale et Solidaire, celui des Entrepreneurs sociaux, qui rêve d’hybridation entre l’ESS et l’économie marchande. Ils sont réunis notamment au sein du Mouvement des Entrepreneurs Sociaux (Mouves, dont Christophe Itier fut président). Le Mouves compte également dans ses actuels administrateur son ancien président, Jean-Marc Borello, président de SOS, le tentaculaire groupe d’entrepreneuriat social avec ses 14 000 salariés et ses 350 établissements, et acteur de 2 des 3 projets nouvellement élus présentés par Christophe Itier, puisque l’association Wimoov appartient au groupe SOS et que le fonds Inco présent dans le financement de la Cravate Solidaire, a été fondé au sein du groupe SOS et s’appelait alors Comptoir de l’innovation.
Nous avons donc d’un côté une tendance lourde du capitalisme mondial actuel à promouvoir les SIB par l’intermédiaire des pays les plus riches du monde, afin de pénétrer de nouveaux marchés et de trouver les nouveaux outils pour en tirer des profits. De l’autre, nous avons en France une petite coterie, liée par l’entre-soi et le sens des affaires, qui tente de se placer sur le marché émergent des CIS.
Ils ne sont pour l’instant que 6 de ces contrats à avoir bénéficié de l’imprimatur de Haut-Commissariat. Mais ces CIS pourraient aussi séduire des collectivités territoriales, dont les moyens pour subventionner l’Action Sociale ont drastiquement diminué. En faisant l’impasse sur le futur et le moment où la note finale leur sera présentée, ces collectivités pourraient accroître le nombre des CIS. Souhaitons que ces Contrats, coûteux pour la collectivité et n’ayant en rien prouvé leur caractère innovant, passent à la trappe de l’Histoire, juste retenus par Celle-ci à titre anecdotique comme un de ces tâtonnements que le Capitaliste du 21° siècle aura effectué dans sa quête de nouveaux marchés solvables.
RESSOURCES
- Quand le social finance les banques et les multinationales - Les Contrats à Impact Social : des SIB à la française ! - [Livret CAC A5]
- French Impact, la solidarité laissée au Privé - [communiqué du CAC juin 2018]
- Les bénéfices (toujours pas) net des Contrats à Impact Social - [article du CAC proposé au Monde.fr - avril 2019]
- Quand les investisseurs privés inventent la « finance sociale » pour remplacer les services publics - [Article mars 2018 Bastamag!]
- Les contrats à impact social : une menace pour la solidarité ? - [Article jan 2018 La vie des idées.fr]
CONTACTS
à venir
#8 // LES ASSOCIATIONS, UN ROLE INDISPENSABLE DANS LA SOCIETE // Pour un emploi associatif qualifié et de qualité, garanti par des conventions pérennes, pluriannuelles, permettant aux salarié.e.s de sortir de la précarité sans déroger au droit du travail. Pour un plan d’urgence de 100.000 emplois aidés.
THEME DE LA SEMAINE
Les associations, un rôle indispensable dans la société
DATE
17.06.2019
RESEAUX SOCIAUX
Pour un #EmploiAssociatif de qualité permettant aux @AssosCitoyennes d’agir pour #coopération #solidarité #environnement… ; des moyens stables et pluriannuels garantis par l’Etat ; 1 nouveau plan de 100.000 emplois aidés #MobilisationAssociations
AFFICHETTES A TELECHARGER
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Lien affichette de la semaine noir et blanc
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ARGUMENTAIRE COURT POUR AFFICHETTE
Le CAC revendique un financement pérenne des activités associatives ayant une dimension de service public, non lucratives, reconnues d’intérêt général, en particulier portées par les petites et moyennes associations au service de la société toute entière.
La politique actuelle de remise en cause des associations est de même nature que la remise en cause des services publics, de l’éducation, de la santé publique, de la qualité de l’accompagnement dans les EHPAD, de la Justice, etc. Cette politique menée depuis 15 ans, loin de favoriser la compétitivité, accroît de façon abyssale les inégalités, au seul bénéfice des 0,1 % les plus riches.
Nous demandons une évaluation partagée pour définir un véritable plan de soutien à l’emploi associatif, incluant la création de 100.000 nouveaux emplois aidés durables qui ne dérogent pas au droit du travail.
La politique actuelle de remise en cause des associations est de même nature que la remise en cause des services publics, de l’éducation, de la santé publique, de la qualité de l’accompagnement dans les EHPAD, de la Justice, etc. Cette politique menée depuis 15 ans, loin de favoriser la compétitivité, accroît de façon abyssale les inégalités, au seul bénéfice des 0,1 % les plus riches.
Nous demandons une évaluation partagée pour définir un véritable plan de soutien à l’emploi associatif, incluant la création de 100.000 nouveaux emplois aidés durables qui ne dérogent pas au droit du travail.
ARGUMENTAIRE LONG
Bénévole, stagiaire, salarié, emploi aidé, volontaire, qui intervient dans une association ? Sous quel statut ? Pour y faire quoi ? 2 questions sont sous-jacentes et ne doivent pas être confondues : celle du projet associatif, sa définition, sa mise en œuvre, et celle du travail mis en œuvre pour y parvenir. Travail, emploi, salaire sont autant d’aspects distincts d’une même réalité appelée objet social. Depuis sa création le Collectif des Associations Citoyennes rappelle que si 1,5 millions d’associations agissent sur le territoire, l’immense majorité (près de 9 sur 10) fonctionnent sans salarié, et 55 % des associations employeuses n’en comptent que 1 ou 2. (https://www.associations.gouv.fr/IMG/pdf/insee_premiere_1587_associations.pdf).
Le secteur associatif est un acteur clé de l’emploi en France. Il représente 7 % de l’emploi en passant de 600 000 postes en 1980 à environ 1,8 millions actuellement, soit 1,3 million ramené en ETP (Équivalent Temps Plein). Mais il est fortement marqué par une grande précarité, 53 % des salariés associatifs seulement sont en CDI, contre 88 % dans le privé lucratif et 83 % dans la fonction publique.
Selon la récente étude menée par Viviane Tchernonog (le paysage associatif français) 200.000 associations ont été crées en 6 ans, ce qui porte à 1,5 millions le nombre d’associations en 2017. Une forte vitalité donc toutefois caractérisée par 2 faits inédits : - des conditions d’activités et de financement en dégradation – l’emploi et les budgets des associations en stagnation.
En fait le monde associatif subit une profonde transformation de son modèle historique. Du côté politique le « plan pour la vie associative » du Ministre Attal encourage les regroupements associatifs, les (re)groupements d’employeur, les « fusion-absorption »… selon une logique comparable à celle du secteur privé lucratif (bas salaires, précarisation de l’emploi, détérioration des conditions de travail). Du côté économique il met en place des mécanismes de plus en plus sophistiqués, comme les « Contrat à Impact Social » au sein de ce que le gouvernement nomme le « French Impact ». L’objectif est clair : créer des « méga-associations » bénéficiant de tous les financements publics comme privés, et menant les projets décidés ailleurs dans des appels d’offre.
D’un autre côté une multitude de petites associations se voient retirer petit à petit l’appui de l’État, et les collectivités locales ne peuvent plus compenser ces manquements. Ces associations qui créent un maillage territorial quotidien, au plus près des gens, et assurant des fonctions indispensable à la vie en société (action culturelle, maintien du lien social, vitalisation des territoires ruraux ou urbains, éducation à l’environnement…) perdent leur capacité à agir dans le long terme, demandant une implication de plus en plus forte de bénévoles eux-mêmes en difficulté face aux lourdeurs des dossiers administratifs.
La conjugaison de ce double aspect d’une même politique amène directement à un recul du modèle associatif :
1- L’initiative des projets associatifs échappe aux associations elles-mêmes, sous la contrainte des politiques d’appel d’offre généralisées. Cette instrumentalisation du secteur associatif est ainsi amplifiée par des logiques de mise en concurrence des associations entre elles, mais aussi avec le secteur privé.
2- La forme et la durée de ces nouveaux modes de financement agissent en creux sur l’emploi au sein des petites et moyennes associations ne pouvant plus se projeter dans la durée. Il devient plus difficile de proposer un emploi qualifié, stable, alors que de plus en plus d’animateurs et/ou éducateurs se trouvent disponibles sur le marché de l’emploi. Les responsables associatifs ont bien conscience que les salaires proposés, comme les conditions de travail, ou la garantie d’un emploi en CDI ne sont plus supportables pour ces associations qui ne sont plus soutenues à la hauteur de leur engagement.
A l’autre bout de la chaîne, des méga-structures utilisant la forme associative voient le jour. Elles bénéficient de toutes les aides publiques, au nom des concepts libéraux d’efficience et d’efficacité. A titre d’exemple, le groupe SOS créé par Jean-Marc Borello, actuel membre de l’exécutif de LREM, revendique 15 000 salariés. Ces grands groupes se développant sur le modèle privé, bien loin du projet associatif d’intérêt général. En s’appuyant sur le recours aux financements privés, ils en utilisent les mêmes ficelles (pression sur les salaires, précarité, emploi sous-qualifié) pour parvenir aux mêmes fins, la recherche d’un retour sur investissement bonifié sous l’égide su secteur bancaire.
Un emploi associatif moins cher, moins stable, moins qualifié reste tout de même un emploi associatif. Et beaucoup d’associations n’en n’ont plus les moyens. Le dernier ressort de la politique gouvernementale est donc d’y substituer d’autres formes d’acteurs associatifs dont le coût est encore moindre. Jeunes en service civique, stagiaires, volontaires, ou recours à l’apprentissage, en sont les nouvelles formes de « l’emploi déguisé » au sein des associations, en attendant demain la main d’œuvre du Service National Universel. Les propositions « d’emploi » sous ces formes se multiplient au sein même de l’agence nationale du service civique. Et ce qui était hier des « parcours de découverte » permettant aux jeunes de découvrir un univers professionnel devient de plus en plus de véritables missions confiées temporairement à des jeunes, dans un total abus de volontariat.
La suppression brutale des emplois aidés (fin 2017) a relevé de cette même logique, car même aidé, il s’agissait tout de même d’emploi que les acteurs associatifs cherchaient à consolider, investissant ainsi une part de financement public. Et si leur utilité, leur fonction dans la société a fait l’objet de plusieurs rapports parlementaires montrant leur utilité sociale (pour la personne en emploi, pour l’association et le public), c’est la logique même de l’’emploi associatif à laquelle le gouvernement s’est attaqué à travers la suppression de fait de ces emplois aidants. Et la pâle copie des Parcours Emploi Compétence (PEC) en est une bonne démonstration. A travers les PEC, le gouvernement a tenté de placer ce financement d’État sous l’angle de la formation et de l’insertion, ce qui conduit inévitablement à un échec puisque dans le même temps les capacités associatives à encadrer, accompagner, former ont été détruites. Les PEC sont aussi une négation de la richesse et de l’exigence du travail associatif pour le réduire à une simple tâche localisée au rendement insuffisant et couteux (efficience / efficacité). Il s’agit bien d’une volonté délibérée de nier l’apport des associations à un projet de société, travail articulant compétences des bénévoles et des salariés pour y substituer une recherche de rentabilité immédiate en livrant totalement le secteur social, culturel, environnemental, comme la défense des droits, ou la solidarité au secteur privé, lui ouvrant de nouveaux horizons dans sa recherche de profits.
Le secteur associatif est un acteur clé de l’emploi en France. Il représente 7 % de l’emploi en passant de 600 000 postes en 1980 à environ 1,8 millions actuellement, soit 1,3 million ramené en ETP (Équivalent Temps Plein). Mais il est fortement marqué par une grande précarité, 53 % des salariés associatifs seulement sont en CDI, contre 88 % dans le privé lucratif et 83 % dans la fonction publique.
Selon la récente étude menée par Viviane Tchernonog (le paysage associatif français) 200.000 associations ont été crées en 6 ans, ce qui porte à 1,5 millions le nombre d’associations en 2017. Une forte vitalité donc toutefois caractérisée par 2 faits inédits : - des conditions d’activités et de financement en dégradation – l’emploi et les budgets des associations en stagnation.
En fait le monde associatif subit une profonde transformation de son modèle historique. Du côté politique le « plan pour la vie associative » du Ministre Attal encourage les regroupements associatifs, les (re)groupements d’employeur, les « fusion-absorption »… selon une logique comparable à celle du secteur privé lucratif (bas salaires, précarisation de l’emploi, détérioration des conditions de travail). Du côté économique il met en place des mécanismes de plus en plus sophistiqués, comme les « Contrat à Impact Social » au sein de ce que le gouvernement nomme le « French Impact ». L’objectif est clair : créer des « méga-associations » bénéficiant de tous les financements publics comme privés, et menant les projets décidés ailleurs dans des appels d’offre.
D’un autre côté une multitude de petites associations se voient retirer petit à petit l’appui de l’État, et les collectivités locales ne peuvent plus compenser ces manquements. Ces associations qui créent un maillage territorial quotidien, au plus près des gens, et assurant des fonctions indispensable à la vie en société (action culturelle, maintien du lien social, vitalisation des territoires ruraux ou urbains, éducation à l’environnement…) perdent leur capacité à agir dans le long terme, demandant une implication de plus en plus forte de bénévoles eux-mêmes en difficulté face aux lourdeurs des dossiers administratifs.
La conjugaison de ce double aspect d’une même politique amène directement à un recul du modèle associatif :
1- L’initiative des projets associatifs échappe aux associations elles-mêmes, sous la contrainte des politiques d’appel d’offre généralisées. Cette instrumentalisation du secteur associatif est ainsi amplifiée par des logiques de mise en concurrence des associations entre elles, mais aussi avec le secteur privé.
2- La forme et la durée de ces nouveaux modes de financement agissent en creux sur l’emploi au sein des petites et moyennes associations ne pouvant plus se projeter dans la durée. Il devient plus difficile de proposer un emploi qualifié, stable, alors que de plus en plus d’animateurs et/ou éducateurs se trouvent disponibles sur le marché de l’emploi. Les responsables associatifs ont bien conscience que les salaires proposés, comme les conditions de travail, ou la garantie d’un emploi en CDI ne sont plus supportables pour ces associations qui ne sont plus soutenues à la hauteur de leur engagement.
A l’autre bout de la chaîne, des méga-structures utilisant la forme associative voient le jour. Elles bénéficient de toutes les aides publiques, au nom des concepts libéraux d’efficience et d’efficacité. A titre d’exemple, le groupe SOS créé par Jean-Marc Borello, actuel membre de l’exécutif de LREM, revendique 15 000 salariés. Ces grands groupes se développant sur le modèle privé, bien loin du projet associatif d’intérêt général. En s’appuyant sur le recours aux financements privés, ils en utilisent les mêmes ficelles (pression sur les salaires, précarité, emploi sous-qualifié) pour parvenir aux mêmes fins, la recherche d’un retour sur investissement bonifié sous l’égide su secteur bancaire.
Un emploi associatif moins cher, moins stable, moins qualifié reste tout de même un emploi associatif. Et beaucoup d’associations n’en n’ont plus les moyens. Le dernier ressort de la politique gouvernementale est donc d’y substituer d’autres formes d’acteurs associatifs dont le coût est encore moindre. Jeunes en service civique, stagiaires, volontaires, ou recours à l’apprentissage, en sont les nouvelles formes de « l’emploi déguisé » au sein des associations, en attendant demain la main d’œuvre du Service National Universel. Les propositions « d’emploi » sous ces formes se multiplient au sein même de l’agence nationale du service civique. Et ce qui était hier des « parcours de découverte » permettant aux jeunes de découvrir un univers professionnel devient de plus en plus de véritables missions confiées temporairement à des jeunes, dans un total abus de volontariat.
La suppression brutale des emplois aidés (fin 2017) a relevé de cette même logique, car même aidé, il s’agissait tout de même d’emploi que les acteurs associatifs cherchaient à consolider, investissant ainsi une part de financement public. Et si leur utilité, leur fonction dans la société a fait l’objet de plusieurs rapports parlementaires montrant leur utilité sociale (pour la personne en emploi, pour l’association et le public), c’est la logique même de l’’emploi associatif à laquelle le gouvernement s’est attaqué à travers la suppression de fait de ces emplois aidants. Et la pâle copie des Parcours Emploi Compétence (PEC) en est une bonne démonstration. A travers les PEC, le gouvernement a tenté de placer ce financement d’État sous l’angle de la formation et de l’insertion, ce qui conduit inévitablement à un échec puisque dans le même temps les capacités associatives à encadrer, accompagner, former ont été détruites. Les PEC sont aussi une négation de la richesse et de l’exigence du travail associatif pour le réduire à une simple tâche localisée au rendement insuffisant et couteux (efficience / efficacité). Il s’agit bien d’une volonté délibérée de nier l’apport des associations à un projet de société, travail articulant compétences des bénévoles et des salariés pour y substituer une recherche de rentabilité immédiate en livrant totalement le secteur social, culturel, environnemental, comme la défense des droits, ou la solidarité au secteur privé, lui ouvrant de nouveaux horizons dans sa recherche de profits.
RESSOURCES
• L’AVENIR DE L’EMPLOI ASSOCIATIF – intervention du CAC lors d’un forum associatif (07/09/18)
• Le « come-back » des contrats aidés ? Article Associations mode d’emploi (01/04/19)
• Étude de la DARES (09/04/19) : Le devenir des personnes sorties de contrat aidé : Une forte augmentation du taux de retour à l’emploi en 2017
• Évolution de l’emploi associatif de 2014 au 1er trim 2018 une baisse de 1,3% en 1 an dans les associations - Source : Acoss-Urssaf – Recherches & Solidarités
• La note du Mouvement associatif Un soutien à l'emploi associatif indispensable (sept 18) : Contrats aidés : 1 an après, quel impact pour les associations ? A l’occasion du budget 2019, un bilan de l’impact du gel des contrats aidés sur les associations.
• Rapport de la mission « flash » de l’Assemblée Nationale (03/04/18) sur la réduction des emplois aidés dans les associations culturelles et sportives
• Rapport d’information du Sénat (21/02/18) : Réduction des contrats aidés : offrir une alternative crédible au secteur associatif
• Le paysage associatif français - Premières analyses de l’étude (mai 2019)
• Communiqué du CAC « 100 000 emplois aidés de plus sont nécessaires selon le Sénat » (22/02/18)
• La carto-crise des contrats aidés proposée par le syndicat ASSO (mise en place dès sept 2017)
• Mobilisations -journées noires- contre la destruction des contrats aidés et du monde associatif (de sept 17 à fév18)
• Le « come-back » des contrats aidés ? Article Associations mode d’emploi (01/04/19)
• Étude de la DARES (09/04/19) : Le devenir des personnes sorties de contrat aidé : Une forte augmentation du taux de retour à l’emploi en 2017
• Évolution de l’emploi associatif de 2014 au 1er trim 2018 une baisse de 1,3% en 1 an dans les associations - Source : Acoss-Urssaf – Recherches & Solidarités
• La note du Mouvement associatif Un soutien à l'emploi associatif indispensable (sept 18) : Contrats aidés : 1 an après, quel impact pour les associations ? A l’occasion du budget 2019, un bilan de l’impact du gel des contrats aidés sur les associations.
• Rapport de la mission « flash » de l’Assemblée Nationale (03/04/18) sur la réduction des emplois aidés dans les associations culturelles et sportives
• Rapport d’information du Sénat (21/02/18) : Réduction des contrats aidés : offrir une alternative crédible au secteur associatif
• Le paysage associatif français - Premières analyses de l’étude (mai 2019)
• Communiqué du CAC « 100 000 emplois aidés de plus sont nécessaires selon le Sénat » (22/02/18)
• La carto-crise des contrats aidés proposée par le syndicat ASSO (mise en place dès sept 2017)
• Mobilisations -journées noires- contre la destruction des contrats aidés et du monde associatif (de sept 17 à fév18)
(F)Estives de la décroissance - 16 au 21/7
(F)Estives de la décroissance - 16 au 21/7
Description
Cette année, les (F)estives de la décroissance ont lieu du 16 au 21 juillet dans les Vosges (MFR de Saint-Dié-des-Vosges à Saales) sur le thème "La décroissance et la question du travail" : rejoignez-nous pour un moment de réflexion, de discussion, de partage et de jeu !
La semaine se divise en 2 moments → les rencontres (2j) et les réflexives (4j) :
Cette année, les (F)estives de la décroissance ont lieu du 16 au 21 juillet dans les Vosges (MFR de Saint-Dié-des-Vosges à Saales) sur le thème "La décroissance et la question du travail" : rejoignez-nous pour un moment de réflexion, de discussion, de partage et de jeu !
La semaine se divise en 2 moments → les rencontres (2j) et les réflexives (4j) :
- Les « rencontres », le mardi 16 et le mercredi 17 au jeudi 10 (arrivée possible dès le lundi 15 dans la journée) : la décroissance en est le thème général → cette année, nous consacrerons une première journée à partager des interrogations sur la question des limites. Si la décroissance est une opposition politique à l’illimitisme, alors il peut être fécond de a) présenter la notion d’espace écologique (plancher-plafond) et b) de s’interroger sur nos rapports sociaux et politiques aux limites écologiques
- Les « réflexives », du jeudi 18 au dimanche 21 (vers midi) : là, il y a un thème choisi qui, cette année, est celui de «la décroissance et la question du travail ».
Date de l'événement
16.07.2024
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
Saint-Dié-des-Vosges à Saales
(F)Estives de la décroissance - 8 au 13/8
(F)Estives de la décroissance - 8 au 13/8
Description
Les (f)estives de la décroissance, 8-13 août 2023, à Cologne (Gers)
La semaine se divise en 2 moments :
La semaine se divise en 2 moments :
- Les « rencontres », du mardi 8 au jeudi 10 (arrivée possible dès le lundi 7) : la décroissance en est le thème général
- Les (f)estives, du vendredi 11 au dimanche 13 (vers midi) : là, il y a un thème particulier qui, cette année, est celui de « la décroissance comme solution politique »
Date de l'événement
08.08.2023
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1 JUILLET AG du MES
1 JUILLET AG du MES
Description
Assemblée générale du MES à Bordeaux
Date de l'événement
01.07.2022
Référence
https://www.le-mes.org/spip.php
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12e Édition «La Petite Istanbul en fête » Paris - 3juin/3juillet + débat Libertés avec le CAC
12e Édition «La Petite Istanbul en fête » Paris - 3juin/3juillet + débat Libertés avec le CAC
Description
La 12e édition de « La Petite Istanbul en Fête » se déroulera du 3 juin au 3 juillet 2021 et se clôtura avec un concert interculturel qui aura le samedi 3 juillet 2021.
Cette fête du quartier qui est devenue « une tradition citoyenne » pour les habitant-e-s du quartier de la porte Saint-Denis, appelée aussi « La Petite Istanbul », est un espace interculturel rassemblant les citoyen-ne-s d’origines diverses.
Elle se veut être lieu de solidarité pour une résistance et une vigilance citoyenne contre toutes les formes de racismes, de discriminations, de nationalismes et fondamentalisme religieux. Elle promut les valeurs de justice sociale, d’égalité pour tout.e.s , de fraternité et de paix.
Date : lundi 28 juin à18h Lieu : Scène du Canal au116 quai de Jemmapes 75010 Paris
Thème : Lutte contre les discriminations et contre les atteintes à la liberté d'association et d'expression
Où le CAC intervient en la personne de François Bernard
Cette fête du quartier qui est devenue « une tradition citoyenne » pour les habitant-e-s du quartier de la porte Saint-Denis, appelée aussi « La Petite Istanbul », est un espace interculturel rassemblant les citoyen-ne-s d’origines diverses.
Elle se veut être lieu de solidarité pour une résistance et une vigilance citoyenne contre toutes les formes de racismes, de discriminations, de nationalismes et fondamentalisme religieux. Elle promut les valeurs de justice sociale, d’égalité pour tout.e.s , de fraternité et de paix.
Date : lundi 28 juin à18h Lieu : Scène du Canal au116 quai de Jemmapes 75010 Paris
Thème : Lutte contre les discriminations et contre les atteintes à la liberté d'association et d'expression
Où le CAC intervient en la personne de François Bernard
Date de l'événement
28.06.2021
Référence
https://www.acort.org/?p=3234&fbclid=IwAR2t6DhlLPx0tdoSEN70gaKEYC9rHWyz-gDLQqKV2XWpK_E9gXzhENoqMWE
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
12e Édition «La Petite Istanbul en fête » Paris - 3juin/3juillet + débat Libertés avec le CAC
12e Édition «La Petite Istanbul en fête » Paris - 3juin/3juillet + débat Libertés avec le CAC
Description
La 12e édition de « La Petite Istanbul en Fête » se déroulera du 3 juin au 3 juillet 2021 et se clôtura avec un concert interculturel qui aura le samedi 3 juillet 2021.
Cette fête du quartier qui est devenue « une tradition citoyenne » pour les habitant-e-s du quartier de la porte Saint-Denis, appelée aussi « La Petite Istanbul », est un espace interculturel rassemblant les citoyen-ne-s d’origines diverses.
Elle se veut être lieu de solidarité pour une résistance et une vigilance citoyenne contre toutes les formes de racismes, de discriminations, de nationalismes et fondamentalisme religieux. Elle promut les valeurs de justice sociale, d’égalité pour tout.e.s , de fraternité et de paix.
Date : lundi 28 juin à18h Lieu : Scène du Canal au116 quai de Jemmapes 75010 Paris
**Thème : Lutte contre les discriminations et contre les atteintes à la liberté d'association et d'expression**
Où le CAC intervient en la personne de François Bernard
Date de l'événement
28.06.2021
12e Édition «La Petite Istanbul en fête » Paris - 3juin/3juillet + débat Libertés avec le CAC
12e Édition «La Petite Istanbul en fête » Paris - 3juin/3juillet + débat Libertés avec le CAC
Description
La 12e édition de « La Petite Istanbul en Fête » se déroulera du 3 juin au 3 juillet 2021 et se clôtura avec un concert interculturel qui aura le samedi 3 juillet 2021.
Cette fête du quartier qui est devenue « une tradition citoyenne » pour les habitant-e-s du quartier de la porte Saint-Denis, appelée aussi « La Petite Istanbul », est un espace interculturel rassemblant les citoyen-ne-s d’origines diverses.
Elle se veut être lieu de solidarité pour une résistance et une vigilance citoyenne contre toutes les formes de racismes, de discriminations, de nationalismes et fondamentalisme religieux. Elle promut les valeurs de justice sociale, d’égalité pour tout.e.s , de fraternité et de paix.
Date : lundi 28 juin à18h Lieu : Scène du Canal au116 quai de Jemmapes 75010 Paris
**Thème : Lutte contre les discriminations et contre les atteintes à la liberté d'association et d'expression**
Où le CAC intervient en la personne de François Bernard
Date de l'événement
28.06.2021
12e Édition «La Petite Istanbul en fête » Paris - 3juin/3juillet + débat Libertés avec le CAC
12e Édition «La Petite Istanbul en fête » Paris - 3juin/3juillet + débat Libertés avec le CAC
Description
La 12e édition de « La Petite Istanbul en Fête » se déroulera du 3 juin au 3 juillet 2021 et se clôtura avec un concert interculturel qui aura le samedi 3 juillet 2021.
Cette fête du quartier qui est devenue « une tradition citoyenne » pour les habitant-e-s du quartier de la porte Saint-Denis, appelée aussi « La Petite Istanbul », est un espace interculturel rassemblant les citoyen-ne-s d’origines diverses.
Elle se veut être lieu de solidarité pour une résistance et une vigilance citoyenne contre toutes les formes de racismes, de discriminations, de nationalismes et fondamentalisme religieux. Elle promut les valeurs de justice sociale, d’égalité pour tout.e.s , de fraternité et de paix.
Date : lundi 28 juin à18h Lieu : Scène du Canal au116 quai de Jemmapes 75010 Paris
**Thème : Lutte contre les discriminations et contre les atteintes à la liberté d'association et d'expression**
Où le CAC intervient en la personne de François Bernard
Date de l'événement
28.06.2021
12e Édition «La Petite Istanbul en fête » Paris - 3juin/3juillet + débat Libertés avec le CAC
12e Édition «La Petite Istanbul en fête » Paris - 3juin/3juillet + débat Libertés avec le CAC
Description
La 12e édition de « La Petite Istanbul en Fête » se déroulera du 3 juin au 3 juillet 2021 et se clôtura avec un concert interculturel qui aura le samedi 3 juillet 2021.
Cette fête du quartier qui est devenue « une tradition citoyenne » pour les habitant-e-s du quartier de la porte Saint-Denis, appelée aussi « La Petite Istanbul », est un espace interculturel rassemblant les citoyen-ne-s d’origines diverses.
Elle se veut être lieu de solidarité pour une résistance et une vigilance citoyenne contre toutes les formes de racismes, de discriminations, de nationalismes et fondamentalisme religieux. Elle promut les valeurs de justice sociale, d’égalité pour tout.e.s , de fraternité et de paix.
Date : lundi 28 juin à18h Lieu : Scène du Canal au116 quai de Jemmapes 75010 Paris
**Thème : Lutte contre les discriminations et contre les atteintes à la liberté d'association et d'expression**
Où le CAC intervient en la personne de François Bernard
Date de l'événement
28.06.2021
17 février 2022 - L'Europe et les contrats à impact social
17 février 2022 - L'Europe et les contrats à impact social
Début de l'événement
17.02.2022
Description
Le 17 février, une conférence réunissait Nicolas Schmit, commissaire européen responsable de l’emploi et des droits sociaux, et la secrétaire d’Etat chargée de l’économie sociale, solidaire et responsable, Olivia Grégoire.
Ils ouvraient une table ronde entre 23 ministres de l’UE réunit pour « une première historique », selon eux : discuter ensemble de l’économie sociale et « amplifier la dynamique » du plan d’action, construit par Nicolas Schmit, pour l’économie sociale.
Dix ans après l’initiative du business social ( « Social Business Initiative ») premier plan d’action de la commission européenne pour soutenir les entreprises sociales en Europe, la commission a publié le 9 décembre 2021 un nouveau plan d’action.
Entendre derrière l’économie sociale, l’économie sociale et solidaire mais le solidaire a sauté… et surtout l’accent est porté sur l’entrepreneuriat social. Olivia Grégoire a ouvert la séquence avec un : « Bienvenue à tous les entrepreneurs sociaux qui se connectent ! »
Leur plan d’action couvre les 8 prochaines années et à trois priorités :
1 - il veut « créer un cadre propice à l’essor de l’économie sociale », mieux la prendre en compte les besoins de l’économie sociale dans les politiques publiques : marchés publics, aides d’Etat, fiscalité mais aussi les politiques de santé, éducation, d’emploi, de protection de l’environnement. La commission prépare en ce sens une recommandation pour 2023 pour une politique de soutien à l’économie sociale.
2- « Développer des outils pour renforcer les capacités des acteurs de terrain », notamment en proposant de « nouveaux produits financiers » en 2022 via Invest UE (le programme de financement face à la crise Covid) pour mobiliser davantage de financement, y compris des financements privés. Il veut promouvoir, enfin, la mesure de l’impact social mais pour cela il faut élaborer des « méthodes simples » et Nicolas Schmit ajoute qu’il sait que c’est une des priorités d’Olivia Grégoire.
3 – Aider à une meilleure reconnaissance de l’économie sociale en aidant les activités de recherches, la collecte de données, de communication…
Enfin, le plan d’action pose des critères clairs pour définir l’économie sociale au niveau européen parce que « la confusion autour des différents concepts freinent la reconnaissance institutionnelle mais aussi les possibilités d’actions dans le marché intérieur ».
Le dispositif de présentation prévoyait ensuite que le commissaire et la ministre soient interpellés par 11 entrepreneurs sociaux partout en Europe. Celui de Grèce a demandé de déverrouiller les freins qui empêchaient les entreprises sociales d’être perçues comme des start-up… Représentant la France, il y avait Jeanne Brétécher, entrepreneuse sociale et fondatrice de l’association Social good Accelerator qui promeut le développement des Social Tech. Autre entrepreneur social : la Croix rouge…
Pour la Belgique, l’association Duo for a Job, qui est un des défenseurs farouches des contrats à impact et qui porte un contrat en Belgique et vient d’en signer un en France. Il a demandé a lever les « barrières » pour les contrats à impact : les contraintes juridiques, les coûts de mises en œuvre, des problématiques d’accès aux données… « Comment faire en sorte que ces nouveaux mécanismes de financement soient plus accessibles ? »
A la question, Olivia Grégoire répond : « Nicolas Schmit connaît ma passion pour les contrats à impact », elle souligne leur « efficacité pour engendrer de nouveau modèle » et dit que ces 18 derniers mois, 50 millions d’euros de CIS ont été signé en France. « Il faut les rependre aux quatre coins de l’Europe ».
Nicolas Schmit semble d’accord et veut les développer dans le cadre du fonds pour l’investissement stratégique européen avec semble-t-il (quand même) un bémol : la question de la mesure de l’impact : « il faut développer une méthodologie normalisé très simple, nous avons besoin d’une méthode ».
Il y a eu quand même une entrepreneuse sociale venue d’Espagne qui a demandé au commissaire comment éviter les fonds privés qui cherchent un intérêt spéculatif ? La question a été ignorée et est restée sans réponse…
Collectif des associations citoyennes
17 mars 2022 - Deux nouveaux contrats et Cinq lauréats
17 mars 2022 - Deux nouveaux contrats et Cinq lauréats
Début de l'événement
17.03.2022
Description
Le 17 mars, deux nouveaux contrats d’impact social étaient signés. Pour être plus précise, deux protocoles d’engagement étaient signés, car il est une autre spécificité des ces CIS rarement souligné : il ne s’agit pas d’un seul contrat signé mais de multiples contrats à signer au cours de plusieurs étapes, le protocole d’engagement de l’Etat en est un.
La secrétaire d’Etat Olivia Grégoire a, une nouvelle fois, rappelé que ces contrats ont failli, //« faute d’impulsion politique »//, rester comme //« une belle parenthèse expérimentale »// avant son arrivée. De cette manière, elle indique que sans un fort portage politique, il est possible que ces contrats qui sont quand même de belles usines à gaz, retombent dans l’oubli et que d’autres outils prennent le relais pour tenter appliquer le principe de l’investissement à impact social.
Depuis lors, en un an et demi, 18 projets ont été sélectionnés pour un total qui dépasse les 60 millions d’euros. Au delà des deux nouvelles signatures, la secrétaire d’Etat a également annoncé les cinq nouveaux lauréats du dernier appel à manifestation d’intérêt : //« innover pour l’accès à l’emploi »// lancé en mars 2021, cette fois pour un total de 13 millions d’euros.
Les lauréats sont : Article 1, déjà bénéficiaire du premier appel à projet de 2016, ClubHouse, accompagne des personnes avec un trouble psy dans leur parcours professionnel, Moovjee Talents, accompagne des jeunes à trouver un emploi durable et à le garder dans les premiers mois… Les Eaux Vives Emmaüs, insertion durable dans l’emploi des personnes en souffrance psy et enfin Gojob, lutte contre les discriminations à l’embauche des jeunes. Une fois encore, toutes ces associations (à part peut-être Emmaüs, à voir) se présentent comme de l’entrepreneuriat social.
Ces lauréats doivent maintenant travailler avec leurs investisseurs et leurs structurateurs pour arriver au stade de la signature du protocole d’engagement qui avait donc lieu ce 17 mars pour Envie autonomie et Comme les autres. Le premier réemploie des dispositifs médicaux (type fauteuils roulants récupérés) dans une logique d’économie circulaire, le CIS doit lui permettre de « passer à l’échelle » nationale. Pour l’instant, il développe cette activité dans 12 départements. Pour cela, il obtient 5,5 millions d’euros pour 5 ans. Nous n’avons pour l’instant pas les infos sur les objectifs fixés, ni, bien sûr, sur les taux d’intérêts des investisseurs.
Le deuxième, Comme les autres, est une association (son fondateur, Jonathan Jérémiasz est un ancien président du Mouves) veut « lever les freins à l’emploi » des personnes handicapées par le sport, les sensations fortes et le mentorat. Ils souligne lors de cette signature n'avoir //"jamais été autant challengé que par les hauts fonctionnaires de Bercy qui depuis des mois nous interroge sur notre utilité sociale et nos mesures d'impact"//. Il a beaucoup aimé qu'on lui demande : //"à quoi vous servez vraiment ?"// pour //"négocier les mesures de paiement aux résultats"//. D'ailleurs, il a déjà //"prévenu ses troupes"// et //"modifier ses pratiques"// pour mieux coller aux mesures. Objectif du CIS : accompagner 500 personnes sur 3 ans dans deux régions, Grand Ouest et Haut de France, avec un budget de 4,5 millions d’euros. Là encore pas plus d’infos pour l’instant sur les objectifs ni sur le taux d’intérêt.
Dans ces deux CIS, BNP Paribas est à la fois structurateur et investisseur (comme pour la plupart des CIS), mais il y a beaucoup d’autres investisseurs : la Banque des Territoires, BNP Paribas Asset Management, le Fonds Européen d’Investissement, AG2R La Mondiale, Malakoff Humanis, INCO Invest (fondé par Nicolas Hazard, longtemps vice-président du groupe sos voir notre débat à la clef), Generali Investissement à Impact, SYCOMORE Impact Emploi, Sham (groupe Relyens), Esfin Gestion ou encore Abeille Impact Investing France. Un nombre impressionnant, rarement atteint dans les précédents CIS.
Collectif des associations citoyennes
1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" - 21 juin + pétition
1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" - 21 juin + pétition
Description
SIGNER la pétition : https://www.leslignesbougent.org/petitions/jeunesse-et-sports-debout-748/
Après deux décennies d’attaques, de contre-réformes et de réductions drastiques de ses effectifs, le service public « Jeunesse et Sports » est littéralement à terre. Il est urgent de rappeler le rôle qu’il exerce dans notre société du 21e siècle. Mais aussi de le réinventer ensemble.
- Lundi 21 Juin entre 12h et 16h à Paris (lieu surprise) 1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" à l’occasion du lancement des séjours SNU, : « Le service public JS n’entre pas dans votre SNU et vice-versa ». Agora Générale, musiques, actions revendicatives + à la rentrée de septembre 2021, un acte fort de transformation (assises, rencontres…) construit ensemble et ouvert à tou.te.s sera proposé.
SIGNER la pétition : https://www.leslignesbougent.org/petitions/jeunesse-et-sports-debout-748/
Après deux décennies d’attaques, de contre-réformes et de réductions drastiques de ses effectifs, le service public « Jeunesse et Sports » est littéralement à terre. Il est urgent de rappeler le rôle qu’il exerce dans notre société du 21e siècle. Mais aussi de le réinventer ensemble.
Date de l'événement
21.06.2021
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" - 21 juin + pétition
1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" - 21 juin + pétition
Description
Lundi 21 Juin entre 12h et 16h à Paris (lieu surprise) 1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" à l’occasion du lancement des séjours SNU, : « Le service public JS n’entre pas dans votre SNU et vice-versa ». Agora Générale, musiques, actions revendicatives + à la rentrée de septembre 2021, un acte fort de transformation (assises, rencontres…) construit ensemble et ouvert à tou.te.s sera proposé.
SIGNER la pétition : https://www.leslignesbougent.org/petitions/jeunesse-et-sports-debout-748/
Après deux décennies d’attaques, de contre-réformes et de réductions drastiques de ses effectifs, le service public « Jeunesse et Sports » est littéralement à terre. Il est urgent de rappeler le rôle qu’il exerce dans notre société du 21e siècle. Mais aussi de le réinventer ensemble.
Date de l'événement
21.06.2021
1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" - 21 juin + pétition
1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" - 21 juin + pétition
Description
Lundi 21 Juin entre 12h et 16h à Paris (lieu surprise) 1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" à l’occasion du lancement des séjours SNU, : « Le service public JS n’entre pas dans votre SNU et vice-versa ». Agora Générale, musiques, actions revendicatives + à la rentrée de septembre 2021, un acte fort de transformation (assises, rencontres…) construit ensemble et ouvert à tou.te.s sera proposé.
SIGNER la pétition : https://www.leslignesbougent.org/petitions/jeunesse-et-sports-debout-748/
Après deux décennies d’attaques, de contre-réformes et de réductions drastiques de ses effectifs, le service public « Jeunesse et Sports » est littéralement à terre. Il est urgent de rappeler le rôle qu’il exerce dans notre société du 21e siècle. Mais aussi de le réinventer ensemble.
Date de l'événement
21.06.2021
1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" - 21 juin + pétition
1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" - 21 juin + pétition
Description
Lundi 21 Juin entre 12h et 16h à Paris (lieu surprise) 1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" à l’occasion du lancement des séjours SNU, : « Le service public JS n’entre pas dans votre SNU et vice-versa ». Agora Générale, musiques, actions revendicatives + à la rentrée de septembre 2021, un acte fort de transformation (assises, rencontres…) construit ensemble et ouvert à tou.te.s sera proposé.
SIGNER la pétition : https://www.leslignesbougent.org/petitions/jeunesse-et-sports-debout-748/
Après deux décennies d’attaques, de contre-réformes et de réductions drastiques de ses effectifs, le service public « Jeunesse et Sports » est littéralement à terre. Il est urgent de rappeler le rôle qu’il exerce dans notre société du 21e siècle. Mais aussi de le réinventer ensemble.
Date de l'événement
21.06.2021
1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" - 21 juin + pétition
1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" - 21 juin + pétition
Description
Lundi 21 Juin entre 12h et 16h à Paris (lieu surprise) 1ère action "Jeunesse et Sports Debout !" à l’occasion du lancement des séjours SNU, : « Le service public JS n’entre pas dans votre SNU et vice-versa ». Agora Générale, musiques, actions revendicatives + à la rentrée de septembre 2021, un acte fort de transformation (assises, rencontres…) construit ensemble et ouvert à tou.te.s sera proposé.
SIGNER la pétition : https://www.leslignesbougent.org/petitions/jeunesse-et-sports-debout-748/
Après deux décennies d’attaques, de contre-réformes et de réductions drastiques de ses effectifs, le service public « Jeunesse et Sports » est littéralement à terre. Il est urgent de rappeler le rôle qu’il exerce dans notre société du 21e siècle. Mais aussi de le réinventer ensemble.
Date de l'événement
21.06.2021
1ère séance DLA CAC gouv collective - 23/10
2 mars 2022 - Rapport Cazenave - "massifier" les contrats à impact
20e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d'Arras
20e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d'Arras
Description
Après une version 2020 revisitée virtuellement, 2021 devrait pouvoir accueillir de nouveau !!
Le thème de cette année : "nos mondes sauvages"
Organisé par l'association "Colère du présent" à Arras
Le thème de cette année : "nos mondes sauvages"
Organisé par l'association "Colère du présent" à Arras
Date de l'événement
01.05.2021
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
20e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d'Arras
20e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d'Arras
Description
Après une version 2020 revisitée virtuellement, 2021 devrait pouvoir accueillir de nouveau !!
Le thème de cette année : "nos mondes sauvages"
Organisé par l'association "Colère du présent" à Arras
Date de l'événement
01.05.2021
20e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d'Arras
20e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d'Arras
Description
Après une version 2020 revisitée virtuellement, 2021 devrait pouvoir accueillir de nouveau !!
Le thème de cette année : "nos mondes sauvages"
Organisé par l'association "Colère du présent" à Arras
Date de l'événement
01.05.2021
20e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d'Arras
20e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d'Arras
Description
Après une version 2020 revisitée virtuellement, 2021 devrait pouvoir accueillir de nouveau !!
Le thème de cette année : "nos mondes sauvages"
Organisé par l'association "Colère du présent" à Arras
Date de l'événement
01.05.2021
20e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d'Arras
20e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale d'Arras
Description
Après une version 2020 revisitée virtuellement, 2021 devrait pouvoir accueillir de nouveau !!
Le thème de cette année : "nos mondes sauvages"
Organisé par l'association "Colère du présent" à Arras
Date de l'événement
01.05.2021
22 mai 2022 - Contre la marchandisation … l’alerte de l’Uniopss
22 mai 2022 - Contre la marchandisation … l’alerte de l’Uniopss
Début de l'événement
22.05.2022
Description
//
« La recherche maximale de profits est incompatible avec l’accompagnement de personnes vulnérables //», dénonce enfin l’Uniopss dans un [[https://www.uriopss-idf.fr/sites/default/files/fichiers/uniopss/cpuniopss_regulation_secteur_lucratif_grand_age_22-05-2022.pdf communiqué du 22 mai]] suite à « l’affaire Orpéa ». Il était temps qu’une grande tête de réseau se positionne fortement contre la marchandisation à l’œuvre depuis bien trop longtemps dans le secteur social et médico-social. Il demande au nouveau gouvernement un //« arrêt de toute nouvelle habilitation ou tout nouvel agrément de structures lucratives »// et le renforcement des contrôles existants sur l’utilisation de dotations publiques dans ce type de structures. Enfin, l’Uniopss souligne que //« les agissement de quelques-uns ne doivent pas entrainer un sentiment de défiance généralisée alors que 80% de l’accueil en Ehpad est réalisé par des établissements publics ou privés non lucratifs »//.
26 avril 2022 - Apprendre aux associations la « culture de l’évaluation »
26 avril 2022 - Apprendre aux associations la « culture de l’évaluation »
Début de l'événement
26.04.2022
Description
Sarah El Haïry, encore secrétaire d’Etat chargée de la jeunesse et de l’engagement, avait commandé un [[https://ideas.asso.fr/wp-content/uploads/2022/04/Rapport-final-évaluation-actions-associatives-Avril-2022-SCH-BBA-PDC-et-PBO.pdf rapport]] à Suzanne Chami, déléguée générale de l’Institut de développement de l’éthique et de l’action pour la solidarité (Idéas), Philippe Bolo, député de Maine-et-Loire, Bernard Bazillon du cabinet KPMG et Philippe Da Costa de la Croix rouge. Leur mission ? Installer une //« culture de l’évaluation »// au sein du monde associatif et harmoniser les méthodes notamment en s’appuyant sur la mesure de l’impact social. Le rapport intitulé « Evaluation des actions associatives » est sorti ce mois d’avril 2022.
L’idéologie portée par les auteurs du rapport apparaît clairement dès les premières pages. Les associations sont //« en retard »// sur cette question d’évaluation par rapport aux méthodes du privé bien plus //« efficaces »//. Si les grandes associations //« ont pris conscience de la nécessité de se doter de processus de reporting extra-financier. Malheureusement, elles n’ont pas atteint le même niveau de maturité// (NDLR : que les entreprises ayant mis en place leur politique de RSE) //en matière de mise en œuvre et d’efficacité opérationnelle// ».
On l’avait compris, les associations sont définitivement has been, d’autant plus que //« les entreprises, et en particulier celles du domaine de l’économie sociale et solidaire (ESS), s’insinuent désormais dans le périmètre d’activité des associations. En étant mieux armées en termes de pratiques évaluatives, le risque qu’elles distancent les associations devient un point de vigilance »//. On leur rappelle que 80% du secteur de l’ESS sont des associations ? Mieux armées, c’est à dire ? //« Le secteur associatif doit d’avantage s’investir dans le reporting et la qualification de ses actions »//. Pourtant, curieusement, dans l’enquête envoyée dans le cadre de la réalisation de ce rapport aux associations, 84% des répondants disaient réaliser des évaluations de leurs actions… Peut-être n’est-ce pas les « bonnes » méthodes d’évaluation qu’elles utilisent ?
Le rapport met en effet particulièrement en avant la notion de mesure d’impact social qui impose //« d’effectuer le diagnostic des besoins sociaux ; de démontrer la pertinence des actions en réponse à ces besoins ; de considérer les coûts évités – ce qui suppose l’accès à des données de nature sociétale, pas toujours aisé »//. En somme, le modèle type des contrats à impact social… L’idée d’un référentiel unique pour l’évaluation du monde associatif est même avancée. Toutefois l’exercice est jugé trop difficile et le rapport préconise des référentiels sectoriels et un corpus de bonnes pratiques. Parmi elles, la méthode développée par Social Value France, centre de ressources et de plaidoyer pour l’évaluation de l’impact social, il réunit tous les acteurs qui depuis le départ défendent l’implantation et le développement des contrats à impact social en France. Surtout, ils diffusent cette financiarisation du social dans les discours, infusent cette notion de mesure d’impact social au point qu’elle semble désormais incontournable. Ce réseau national s’est affilié au réseau international, Social value International qui regroupent les réseaux de 45 pays et visent //« à créer un mouvement commun pour le changement »//.
Social Value France identifie donc « trois briques » dans cette évaluation présentée comme modèle : la formalisation de l’évaluation et des effets qu’elle se fixe ; la collecte des données régulières dans le temps long ; le travail d’étude et de recherche sur les coûts évités.
Le second exemple de bonnes pratiques est celui développé par l’ESSEC qui propose un MOOC gratuit pour se former sur la mesure de l’impact social. Ce MOOC pose le sujet sans contrepoint possible : //« Dans le contexte économique actuel de restriction des ressources publiques, la mesure de l’impact social est devenue un pré-requis pour les associations et entreprises sociales »//. Il avance plusieurs questions : //« Pourquoi et comment mesurer son impact social ? Quels outils choisir, comment la mettre en œuvre et comment l’exploiter? Comment valoriser voire monétariser l’impact social ? Ces questions sont désormais cruciales pour toutes les structures œuvrant pour l’intérêt général »//.
La mesure de l’impact semble donc incontournable et pourtant elle interroge en profondeur les relations entre les associations et leurs financeurs qu’ils soient publics ou privés. D’ailleurs le terme association tend à disparaître de ce paysage pour devenir un //« porteur de projet »//, //« une entreprise de l’ESS »//, un //« opérateur social »//, un //« entrepreneuriat social »//. Le terme association paraît moins commode. Il renvoie à la notion de liberté associative, de transformation sociale, d’émancipation qui, sans doute, ne colle pas parfaitement à la mesure de l’impact social. Cette dernière exige en effet un //« langage commun »// entre //« porteur de projet »// et financeurs pour se mettre d’accord sur la mesure d’impact admise, sur les résultats attendus. Dès lors, elle place les associations en opérateur contrôlé par un référentiel d’indicateurs préétablis, à remplir, vérifier, comparer pour faire preuve de son impact. Un carcan rigide qui annihile toute velléité de revendications politiques et encore moins de désobéissance civile. Présentées comme neutres et utiles pour prouver l’efficacité des actions, ces méthodes de mesures d’impact sont en réalité une manière de brider les mouvements sociaux qui inquiètent le modèle économique dominant. //« Mettre au pas les associations passe d’abord par l’imposition, indolore, progressive, d’une multiplicité de normes comme autant de camisoles qui resserrent l’étau du privé autour du milieu associatif »//, écrivait le CAC en 2017 dans sa [[http://www.associations-citoyennes.net/?p=10469 lecture critique du rapport KPMG]] qui visait à faire « évoluer les modèles socio-économiques des associations ».
Par ailleurs, la mesure de l’impact impose aux associations des procédures extrêmement lourdes et couteuses. Dans un webinaire consacré à la mesure de l’impact social proposé par l’Avise le 7 juin dernier, deux associations racontaient leur expérience de ces évaluations. Elles expliquaient toutes les deux que c’était désormais un attendu des financeurs et que cela permettait de //« faire la preuve de son utilité »//, //« de rendre plus lisibles nos actions »//. L ‘association Rev’elles qui accompagne depuis 2010 des jeunes filles de quartiers populaires pour qu’elles gagnent confiance en elles dans leurs démarches professionnelles annonçait qu’elle avait engagé 50 000 euros pour être suivie par le cabinet spécialisé Eexiste afin de mesurer son impact social. Ils avaient construit ensemble 25 indicateurs autour de trois axes, l’évaluation du rapport à soi, du rapport aux autres et de la projection dans l’avenir des jeunes filles accompagnées. L’Avise qui portait ce webinaire estimait à 15% du budget des projets la part qui devait être dédié à l’évaluation de l’impact social. L’association qui fait appel à un cabinet de conseil spécialisé doit compter a minima 15 000 euros pour financer ce travail.
La nécessité de ce passage présenté comme obligé n’est à aucun moment remis en question. Dans sa lecture critique du rapport KPMG de 2017, le Collectif des associations citoyennes analysait le glissement sémantique et politique entre la subvention publique et la commande, l’appel à projet qui tendait à faire des financeurs publics //« des commerçants, acheteurs de prestations de services au mieux disant et au moins coûtant »// comme l’écrivait Michel Chauvière dans //Trop de gestion tue le social//. Ce glissement pousse les associations à des logiques de concurrences et de regroupement. Désormais, ce nouveau rapport les entraine dans des méthodes de reporting, indicateurs de résultats, mesures d’impact calquées sur le modèle privé néolibéral toujours présenté comme bien plus « efficace ». Ne serait-il pas temps, à l’heure des retournements écologiques et sociaux, de s’interroger sur cette efficacité ?
26 avril 2022 - Croix rouge à vendre
26 avril 2022 - Croix rouge à vendre
Début de l'événement
26.04.2022
Description
Six centres franciliens de la Croix-Rouge sont sur le point d’être rachetés par le groupe Ramsay Santé, anciennement Générale de santé, devenue filiale du géant australien Ramsay Health Care, nous informe le Monde du 26 avril. La direction de la Croix-Rouge justifie cette vente au secteur privé lucratif par un déficit depuis plusieurs années. Et assure que Ramsay gardera un « statut associatif » à ces centres. Il serait toutefois étonnant que ce géant boursier, dont la valeur du capital est estimé à 14 milliards de dollars, accepte de maintenir longtemps une activité déficitaire. Maintiendront-ils des tarifs de secteur 1 ? Recevront-il les patients relevant de la CMU, de l’AME ? Continueront-ils à accueillir 62 000 patients dont 30% en situation de précarité comme ces centres le faisaient ? Rien n’est moins sûr.
D’autant plus que, coup de théâtre, Ramsay est sur le point d’être avalé par « un des fonds d’investissement les plus sulfureux de la planète », le fonds d’investissement américain KKR, nous informe l’Humanité du 6 mai. Ce fonds traîne une réputation qui lui a donné le surnom de « barbarians », les « barbares » aux Etats-Unis… « Peu porté sur la question sociale, KKR n’a aucun scrupule à dépecer des entreprises entières, licenciant des salariés par dizaines », écrit l’Humanité qui rappelle que ce Fonds s’appuie sur la technique du LBO (leveraged buy-out ou rachat par endettement). Il s’agit de racheter une entreprise avec un emprunt auprès d’une banque, de faire une restructuration à la hache avant de la revendre quelques années après « dans le but de réaliser une coquette plus-value », note l’Humanité.
Dans une tribune au Monde du 9 février, François Crémieux, directeur général des l’assistance publique-hôpitaux de Marseille dénonce la reprise des centres Croix Rouge par Ramsay et alerte sur le passage de ces centres dans « un autre monde » : « celui du capital, des excédents de l’année, du marché de la santé et des perspectives de « business ». Après le bilan de l’année 2021, le patron de Ramsay a même dû rassurer ses investisseurs inquiets : il serait le garant de la totale indépendance de l’entreprise face aux tentations interventionnistes des gouvernements, notamment en Europe ». Et s’alarme : « On ne peut observer sans débattre que des centres de santé de la Croix-Rouge française quittent le secteur associatif pour être repris par un groupe de santé privé ». Il ne signale pas que la Croix-Rouge s’engageait depuis plusieurs années vers le modèle de l’entrepreneuriat social. La vente de ces centres au privé participe pleinement de cette politique. En 2019, l’association avait notamment lancé 21, à Montrouge, en lieu avec Nexem, le Medef du social, un lieu de coworking dédié aux entrepreneurs sociaux, sorte d’incubateur de start-up du social. Avec pour ligne de mire de dénicher les futures « licornes » de l’innovation sociale…
Cette logique risque demain de voir ces centres engloutis dans un fonds d’investissement surnommé « les barbares », tout un symbole pour la Croix Rouge. Et un bel exemple des effets de la marchandisation…
28ème Université dété du MNLE - 27/8 au 3/9
2de séance DLA CAC gouv collective - 20/11
2des Rencontres Écologies Rurales et Populaires - 5 au 7/4
2des Rencontres Écologies Rurales et Populaires - 5 au 7/4
Description
Deuxièmes Rencontres Écologies Rurales et Populaires (ERP) les 5-6-7 avril 2024 à la Maison de Courcelles (Haute-Marne)
Souvent présentées comme en déclin, nombre de ruralités devraient être redynamisées. Pourquoi ne pas penser les ruralités comme des espaces déjà riches de vie et de solidarité ? C’est l’objet des Rencontres pluriannuelles Ecologies rurales et populaires, co-organisées par le Mouvement pour une société écologique post-urbaine, la Maison de Courcelles, le Mouvement Rural de Jeunesse Chrétienne et le Réseau d’expérimentation et de liaison des initiatives en espace rural (RELIER).
Souvent présentées comme en déclin, nombre de ruralités devraient être redynamisées. Pourquoi ne pas penser les ruralités comme des espaces déjà riches de vie et de solidarité ? C’est l’objet des Rencontres pluriannuelles Ecologies rurales et populaires, co-organisées par le Mouvement pour une société écologique post-urbaine, la Maison de Courcelles, le Mouvement Rural de Jeunesse Chrétienne et le Réseau d’expérimentation et de liaison des initiatives en espace rural (RELIER).
Date de l'événement
05.04.2024
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
7 Rue Pierre Devignon 52210 Saint-Loup-sur-Aujon France
2èmes Rencontres Nationales de l'Éducation populaire - 30/5 au 1/6
2èmes Rencontres Nationales de l'Éducation populaire - 30/5 au 1/6
Description
- La ville de Poitiers et le cnajep organisent les 2des Rencontres Nationales de l'Éducation populaire
Date de l'événement
30.05.2024
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
86000 Poitiers
3e Forum des Plateformes Coopératives - 20/9
3ème séance DLA CAC gouv collective - 21/12
4 avril 2022 - L’Anas dépose plainte contre la plateforme : mes-allocs.fr
4 avril 2022 - L’Anas dépose plainte contre la plateforme : mes-allocs.fr
Début de l'événement
04.04.2022
Description
Le 4 avril, l’association des assistants de services sociaux (Anas) publiait une déclaration dans laquelle elle demande aux pouvoirs publics de se mobiliser pour faire cesser l’activité de l’entreprise « mes-allocs.fr » et de toutes celles similaires. L’association des assistants de services sociaux (ANAS) a déposé plainte contre cette plateforme qui existe depuis trois ans, fondée par un jeune commercial, Joseph Terzikhan, passé par des banques d’investissement, puis par la Tech en Asie. Il a notamment travaillé pour Lazada, l’équivalent asiatique d’Amazon, racheté par Ali-baba. Revenu d’Asie en France, il explique dans un entretien en ligne qu’il a voulu monter son projet en cherchant « un impact social » et suite à des expériences personnelles, il s’est aperçu qu’il était très difficile d’accéder à ses droits, donc il a voulu faire de « l’optimisation sociale ». Il a, explique-t-il, « scanné le marché de l’aide » pour créer un algorythme qui « permet en deux minutes d’avoir une estimation des aides ». « mes-allocs.fr » se présente comme un simulateur de droits sociaux mais aussi comme un « coach de vie ». « Il est proposé aux internautes de renseigner une multitude de données personnelles pour estimer un potentiel droit à une ou plusieurs prestations sociales. Dans un second temps, le site propose à l’utilisateur que ses « experts » réalisent le remplissage et l’envoi de formulaires d’accès à ces mêmes prestations en contrepartie de frais d’inscription et d’un abonnement de 29,90 euros par trimestre », dénonce l’Anas. L’association estime que l’accès au système de protection sociale doit rester gratuit. En s’appuyant sur tout un travail de recherche, elle a établi le caractère illégale de cette pratique et déposé plainte auprès de la procureure de la République à Evry.
4 eme FORUM des PLATEFORMES COOPÉRATIVES
4 eme FORUM des PLATEFORMES COOPÉRATIVES
Description
A cteur engagé dans l’ESS et les Communs, La Coop des Communs organise le 4e forum des plateformes coopératives le 5 décembre 2023 à Paris. Cette année, le thème choisi est « plateformes en communs et transition écologique » afin de questionner à la fois des thématiques sociales et environnementale.
Un programme avec et pour les acteurs des plateformes coopératives
Au programme, vous retrouverez le village des plateformes coopératives le matin avec notamment Commown et Coopcircuits. L’après-midi, vous pourrez assister à des ateliers sur le financement ou la place des acteurs public et une table-ronde sur le thème « Plateformes coopératives et transition écologique : outiller la transition ou verdir le numérique ? » avec Bérengère Batiot (CoopCircuits et Les Licoornes), Rémy Gerbet (Wikimédia France), Le Printemps écologique et CoopTech, et animée par Alexandre Bigot-Verdier (Plateformes en Communs et Pop Cafe).
Un programme avec et pour les acteurs des plateformes coopératives
Au programme, vous retrouverez le village des plateformes coopératives le matin avec notamment Commown et Coopcircuits. L’après-midi, vous pourrez assister à des ateliers sur le financement ou la place des acteurs public et une table-ronde sur le thème « Plateformes coopératives et transition écologique : outiller la transition ou verdir le numérique ? » avec Bérengère Batiot (CoopCircuits et Les Licoornes), Rémy Gerbet (Wikimédia France), Le Printemps écologique et CoopTech, et animée par Alexandre Bigot-Verdier (Plateformes en Communs et Pop Cafe).
Date de l'événement
05.12.2023
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
10, rue des Terres au Curé - PARIS 13e
40 ans de l’Acepp - 15 & 16 oct
40 ans de l’Acepp - 15 & 16 oct
40 ans de l’Acepp - 15 & 16 oct
40 ans de l’Acepp - 15 & 16 oct
40 ans de l’Acepp - 15 & 16 oct
4ème Forum National des Lieux Interméidiares et Indépendants - 2 au 4/12
4ème séance DLA CAC gouv collective - 18/01
5ème Rencontres des communes et collectifs participatifs - 2 au 5/11
5ème Rencontres des communes et collectifs participatifs - 2 au 5/11
Description
du jeudi 2 (soir) au dimanche 5 novembre (midi) Les cinquièmes Rencontres des communes et collectifs participatifs se dérouleront 2023 à Melle, dans les Deux-sèvres organisées par Fréquence Commune
Date de l'événement
02.11.2023
Référence
https://www.frequencecommune.fr/article/programme-rencontres-des-communes-participatives-5/
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
79500 Melle
8eRencontres Collectivités territoriales et monnaies locales
8eRencontres Collectivités territoriales et monnaies locales
Description
Le Mouvement Sol et le Réseau des collectivités Territoriales pour une Economie Solidaire (RTES) organisent la 8ème édition des rencontres "Monnaies locales complémentaires & collectivités territoriales", avec Montpellier Méditerranée Métropole et la Graine, monnaie locale complémentaire citoyenne de l'Hérault, vendredi 22 novembre 2024 au Siège de la Métropole de Montpellier autour de la thématique : "Construire des dynamiques territoriales et citoyennes pour une transition écologique juste : l'apport des monnaies locales"
Reconnues par la loi ESS de 2014 et par le Code monétaire et Financier, les Monnaies Locales Complémentaires (MLC) sont des outils au service du développement des territoires. Elles permettent notamment de renforcer l'identité locale et favorisent la relocalisation de l’activité économique et la résilience territoriale. Véritables moyens pour les citoyen.ne.s de se réapproprier la monnaie, les MLC jouent un rôle majeur dans la promotion d'une économie responsable, solidaire et juste.
Les projets de monnaies locales complémentaires sont souvent portés par des collectifs de citoyen.ne.s et acteurs associatifs, et les modalités de soutien des collectivités sont multiples. Concrètement, quels sont les leviers à disposition d'une collectivité pour soutenir les MLC ? Quels intérêts pour une collectivité d'accompagner le développement d'une monnaie locale sur son territoire ?
Reconnues par la loi ESS de 2014 et par le Code monétaire et Financier, les Monnaies Locales Complémentaires (MLC) sont des outils au service du développement des territoires. Elles permettent notamment de renforcer l'identité locale et favorisent la relocalisation de l’activité économique et la résilience territoriale. Véritables moyens pour les citoyen.ne.s de se réapproprier la monnaie, les MLC jouent un rôle majeur dans la promotion d'une économie responsable, solidaire et juste.
Les projets de monnaies locales complémentaires sont souvent portés par des collectifs de citoyen.ne.s et acteurs associatifs, et les modalités de soutien des collectivités sont multiples. Concrètement, quels sont les leviers à disposition d'une collectivité pour soutenir les MLC ? Quels intérêts pour une collectivité d'accompagner le développement d'une monnaie locale sur son territoire ?
Date de l'événement
22.11.2024
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
Métropole de montpellier, 50 place de zeus, 34000 Montpellier
9 février 2022 - Plaidoyer pour la finance et les contrats à impact
9 février 2022 - Plaidoyer pour la finance et les contrats à impact
Début de l'événement
09.02.2022
Description
Ce 9 février, le livre blanc pour promouvoir la finance à impact social est sorti, présenté par Fair (ex Finasol et IIlab fusionnés) en partenariat avec la Maif.
Le paysage est posé par la journaliste – aussi entrepreneuse sociale - qui anime le débat : « Aujourd’hui, la finance solidaire marque une hausse de 140% d’encours en 5 ans, représente plus d’un million de souscripteurs, la demande en finance verte, finance sociale doit être entendue ».
Constat confirmé par Frédéric Tiberghien, président de Fair : « Nous sommes sur un segment à extrêmement forte croissance ». La Banque de France rappelle que l’ESS est « le secteur qui croie le plus vite en terme d’octroi de crédit, plus de 7% par an depuis 2007 alors que la moyenne nationale est à 4,2 % et pour les PME à 5,4% ».
Ils présentent aujourd’hui un nouveau livre blanc pour peser sur les pouvoirs publics pour « pouvoir croitre encore plus dans les prochaines années ». Ils demandent un « coup de pouce » pour « aller plus vite » et répondre aux besoins sans plus tarder. Il assure vouloir faire de l’épargnant « quelqu’un qui à le souci de la performance de son épargne, c’est naturel, mais aussi qui a une préoccupation citoyenne : je veux que mon épargne serve le bien commun, je veux que mon épargne aille dans le sens de la finance à impact social ».
Ils avancent 10 propositions, notamment :
La demande de lever « des dispositions réglementaires qui empêchent les investisseurs institutionnels à financer les entreprises à forte utilité sociale ».
Créer de meilleures garanties publiques qui couvriraient les premières pertes pour garantir les risques tant au niveau français qu’européen. Eviter en clair tous risques pour les investisseurs.
Créer un fonds de conversion à l’économie sociale et solidaire pour que des entreprises privées lucratives puissent devenir des entreprises de l’ESS.
Mettre en place une nouvelle comptabilité sociale et environnementale
Déployer les contrats à impact (on ne dit plus contrats à impact social) « pour favoriser l’innovation sociale ».
Sur ce dernier point, ils reconnaissent avoir un problème sur le manque d’instruments de mesures, notamment sur le volet social, « ils ont du mal à aboutir », explique Hélène N’Diaye, DG de la Maif. Un travail est en train de se faire au niveau européen qui devrait aboutir en juin prochain dans la lignée de la taxonomie européenne déjà mise en place depuis 2020 sur le volet écologie pour les investissements « verts ». « Ce travail se heurte à des considérations politiques, par exemple, est-ce que le nucléaire est écologique ou pas ? », ajoute Hélène N’Diaye. La taxonomie verte a finalement décidé que oui…
Frédéric Tibergheim assure une nouvelle fois que ces CI ne sont pas là pour se substituer aux subventions classiques pour les associations mais pour « prendre des risques, tester de nouvelles méthodes pour régler un certains nombres de problématiques sociales ». Il souhaite impliquer d’avantage les collectivités territoriales mais se réjouit du fort appui du gouvernement actuel. « La France est désormais le troisième pays au monde qui utilise le plus ces contrats », en terme de volume d’investissement, selon le livre blanc, actuellement 21 millions sont investis dans les 11 contrats signés et 45 millions iront dans les 14 CIS en cours de structuration.
Son « rêve » : « C’est que cela devienne un jour une classe d’actifs pour des investisseurs institutionnels pour mieux financer l’innovation sociale ». Ensuite, une fois testée, il faut la diffuser, changer d’échelle, et donc « il faut créer un fonds de paiement aux résultats co-financé avec les collectivités territoriales pour pouvoir les diffuser l’innovation une fois qu’elle a fait ses preuves ».
Parce que l’un des souci, c’est la question du devenir des projets une fois le temps du contrat à impact écoulé. C’est ce qu’explique le responsable de l’Adie, porteur du premier CIS qui arrive à terme en 2022. Il assure que le projet a réussi à insérer durablement 300 personnes, fait la preuve qu’il marche mais maintenant il faut le pérenniser et le déployer donc trouver des subventions… retour à la case départ. Car le futur des CIS, une fois que les investisseurs ont récupéré leurs billes… et leurs intérêts, ce sont les subventions. Beau final !
Collectif des associations citoyennes
90 propositions pour améliorer la situation et les droits des mineur·e·s isolé·e·s - 6/2
90 propositions pour améliorer la situation et les droits des mineur·e·s isolé·e·s - 6/2
Description
La Cimade est co-rédactrice d’un rapport faisant 90 propositions pour améliorer la situation et les droits des mineur·e·s isolé·e·s
Date de l'événement
06.02.2023
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adéquations
Le formulaire numéro 4 indiqué dans la fiche n'existe pas (peut être a-t-il été supprimée entre temps ?)
AG de Peuple et Culture - 22 au 24/9
AG de Peuple et Culture - 22 au 24/9
Description
L'AG de Peuple et Culture à Clermont-Ferrand (63)
Le 22 septembre de 18h à 20h un débat autour du thème « Modèles socio-économiques et libertés associatives ».
Ce débat permettra à la fois de lier ces réflexions, de croiser avec les travaux sur la marchandisation, etc. Et enfin nous pourrons après cette AG lancer le travail de Peuple et Culture sur l’analyse de ses MSE.
Peuple et Culture participe depuis deux ans aux travaux du groupe autour de Jean-Louis et Marie-Catherine initié par le Fonjep autour des modèles socio-économiques. Ce groupe a travaillé autour de trois modèles permettant d’analyser le MSE et surtout d’agir. Il s’agit maintenant de mettre Peuple et Culture au travail sur ces trois modèles.
Peuple et Culture mène aussi un travail depuis quelques temps autour des libertés associatives, en lien notamment avec le CAC.
> Intervention du CAC et de Marie-Catherine Henry
Le 22 septembre de 18h à 20h un débat autour du thème « Modèles socio-économiques et libertés associatives ».
Ce débat permettra à la fois de lier ces réflexions, de croiser avec les travaux sur la marchandisation, etc. Et enfin nous pourrons après cette AG lancer le travail de Peuple et Culture sur l’analyse de ses MSE.
Peuple et Culture participe depuis deux ans aux travaux du groupe autour de Jean-Louis et Marie-Catherine initié par le Fonjep autour des modèles socio-économiques. Ce groupe a travaillé autour de trois modèles permettant d’analyser le MSE et surtout d’agir. Il s’agit maintenant de mettre Peuple et Culture au travail sur ces trois modèles.
Peuple et Culture mène aussi un travail depuis quelques temps autour des libertés associatives, en lien notamment avec le CAC.
> Intervention du CAC et de Marie-Catherine Henry
Date de l'événement
22.09.2023
Référence
https://www.peuple-et-culture.org/
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
AG du CAC - 12/05
AG du CAC - 12/05
Description
Prochaine Assemblée Générale le 12 mai 2023
Elle aura lieu en présentiel à Paris dans le 5ème (à la Césure, ex locaux du campus de Censier -voir leur site ici- ) à l'occasion d'une journée complète...
Elle aura lieu en présentiel à Paris dans le 5ème (à la Césure, ex locaux du campus de Censier -voir leur site ici- ) à l'occasion d'une journée complète...
Date de l'événement
12.05.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
AG du CAC - 20 mai
AG du CAC - 20 mai
Description
Assemblée générale du collectif des associations citoyennes : matin suite su séminaire de Villarceaux + Université des savoirs associatifs sur les droits culturels + AG formelle et enfin ciné spécial film du Collectif21 (belge)
Date de l'événement
20.05.2022
AG du CNLRQ - 9 & 10 juin
AG du CNLRQ - 9 & 10 juin
Description
L'Assemblée Générale du CNLRQ (comité national de liaison des régies de quartier) se déroulera du 9 au 11 juin 2022 sur le territoire de la Régie de Lunel (Hérault)
Date de l'événement
09.06.2022
Référence
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSe74R08yi0td4y8lUh2rfiitTP_cpCsxTLKhPZq2y_2TMS91A/viewform
Référence externe
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AG du CRID - 5 juillet
AG du CRID - 5 juillet
Description
Assemblée général du CRID
Date de l'événement
05.07.2022
Référence
https://crid.asso.fr/
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AG du Milliard en IDF - 26/9
AG du Milliard en IDF - 26/9
Description
Assemblée Générale de l’opération Milliard pour la transformation écologique juste!
📅 jeudi 26 septembre 2024
⏰ 15h-19h
La première Assemblée du Milliard se tiendra le jeudi 26 septembre au Pavillon, à Romainville (93).
📅 jeudi 26 septembre 2024
⏰ 15h-19h
La première Assemblée du Milliard se tiendra le jeudi 26 septembre au Pavillon, à Romainville (93).
Date de l'événement
26.09.2024
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Adresse
Le Pavillon, 28 avenue Paul Vaillant Couturier, 93230 Romainville
AG et sorti du livre des 10 ans !!
AG et sorti du livre des 10 ans !!
Description
Notre AG 2020 est un peu exceptionnelle : à la fois notre anniversaire des 10 ans, dans un contexte sanitaire insécure et juste avant le confinement : un mixte présentiel/distanciel qui s'est déroulé dans les locaux d'Opale (75013)
L'occasion aussi d'offrir aux présents le tout nouveau livre sortant des presses : 10 ANS de défense des LIBERTÉS ASSOCIATIVES - Communiquer, une histoire de communiqués
Après une année d’échanges, de relecture et sélection de nos nombreux communiqués sortis durant les 10 années passées du CAC, et d’un travail de remise en contexte, voilà le résultat enfin prêt à être partagé avec tous les compagnons et compagnes de route (la route passée et celle à venir !) :
La très suspecte liberté d’association, pourtant condition de la démocratie
L'occasion aussi d'offrir aux présents le tout nouveau livre sortant des presses : 10 ANS de défense des LIBERTÉS ASSOCIATIVES - Communiquer, une histoire de communiqués
Après une année d’échanges, de relecture et sélection de nos nombreux communiqués sortis durant les 10 années passées du CAC, et d’un travail de remise en contexte, voilà le résultat enfin prêt à être partagé avec tous les compagnons et compagnes de route (la route passée et celle à venir !) :
La très suspecte liberté d’association, pourtant condition de la démocratie
Date de l'événement
25.09.2020
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AG et sorti du livre des 10 ans !!
AG et sorti du livre des 10 ans !!
Description
Notre AG 2020 est un peu exceptionnelle : à la fois notre anniversaire des 10 ans, dans un contexte sanitaire insécure et juste avant le confinement : un mixte présentiel/distanciel qui s'est déroulé dans les locaux d'Opale (75013)
L'occasion aussi d'offrir aux présents le tout nouveau livre sortant des presses : **//10 ANS de défense des LIBERTÉS ASSOCIATIVES - Communiquer, une histoire de communiqués//**
Après une année d’échanges, de relecture et sélection de nos nombreux communiqués sortis durant les 10 années passées du CAC, et d’un travail de remise en contexte, voilà le résultat enfin prêt à être partagé avec tous les compagnons et compagnes de route (la route passée et celle à venir !) :
La très suspecte liberté d’association, pourtant condition de la démocratie
Date de l'événement
25.09.2020
AG et sorti du livre des 10 ans !!
AG et sorti du livre des 10 ans !!
Description
Notre AG 2020 est un peu exceptionnelle : à la fois notre anniversaire des 10 ans, dans un contexte sanitaire insécure et juste avant le confinement : un mixte présentiel/distanciel qui s'est déroulé dans les locaux d'Opale (75013)
L'occasion aussi d'offrir aux présents le tout nouveau livre sortant des presses : **//10 ANS de défense des LIBERTÉS ASSOCIATIVES - Communiquer, une histoire de communiqués//**
Après une année d’échanges, de relecture et sélection de nos nombreux communiqués sortis durant les 10 années passées du CAC, et d’un travail de remise en contexte, voilà le résultat enfin prêt à être partagé avec tous les compagnons et compagnes de route (la route passée et celle à venir !) :
La très suspecte liberté d’association, pourtant condition de la démocratie
Date de l'événement
25.09.2020
AG et sorti du livre des 10 ans !!
AG et sorti du livre des 10 ans !!
Description
Notre AG 2020 est un peu exceptionnelle : à la fois notre anniversaire des 10 ans, dans un contexte sanitaire insécure et juste avant le confinement : un mixte présentiel/distanciel qui s'est déroulé dans les locaux d'Opale (75013)
L'occasion aussi d'offrir aux présents le tout nouveau livre sortant des presses : **//10 ANS de défense des LIBERTÉS ASSOCIATIVES - Communiquer, une histoire de communiqués//**
Après une année d’échanges, de relecture et sélection de nos nombreux communiqués sortis durant les 10 années passées du CAC, et d’un travail de remise en contexte, voilà le résultat enfin prêt à être partagé avec tous les compagnons et compagnes de route (la route passée et celle à venir !) :
La très suspecte liberté d’association, pourtant condition de la démocratie
Date de l'événement
25.09.2020
AG et sorti du livre des 10 ans !!
AG et sorti du livre des 10 ans !!
Description
Notre AG 2020 est un peu exceptionnelle : à la fois notre anniversaire des 10 ans, dans un contexte sanitaire insécure et juste avant le confinement : un mixte présentiel/distanciel qui s'est déroulé dans les locaux d'Opale (75013)
L'occasion aussi d'offrir aux présents le tout nouveau livre sortant des presses : **//10 ANS de défense des LIBERTÉS ASSOCIATIVES - Communiquer, une histoire de communiqués//**
Après une année d’échanges, de relecture et sélection de nos nombreux communiqués sortis durant les 10 années passées du CAC, et d’un travail de remise en contexte, voilà le résultat enfin prêt à être partagé avec tous les compagnons et compagnes de route (la route passée et celle à venir !) :
La très suspecte liberté d’association, pourtant condition de la démocratie
Date de l'événement
25.09.2020
AG FRMJC Bretagne/ débat CER - 31/03
AG FRMJC Bretagne/ débat CER - 31/03
Description
Le 31 mars, à l'occasion de l'AG de la fédé régional MJ Bretagne Le CAC interviendra sur le sujet du CER :
Table ronde à 20h "le contrat d'engagement républicain, un danger pour la liberté associative et la démocratie ?"
Au Vauban à Brest
Table ronde à 20h "le contrat d'engagement républicain, un danger pour la liberté associative et la démocratie ?"
Au Vauban à Brest
Date de l'événement
31.03.2023
Référence
https://www.frmjcbretagne.org/
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Interne (dans le même onglet)
AG Syndicat CFDT Mouvements & Associations - 25/5
AG Syndicat CFDT Mouvements & Associations - 25/5
Description
Le jeudi 25 mai le CAC interviendra à l'AG du Syndicat CFDT Mouvements & Associations (de 12h à 14h30 pour 2h de plateau - 75019) : autour des libertés associatives et du rapport OCMA : occasion de proposer aux militants des éclairages sur des problématiques propres à leur secteur.
Date de l'événement
25.05.2023
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AGE de la CMJCF - 30 avril
AGE de la CMJCF - 30 avril
Description
Une nouvelle tête de réseau nationale pour les 1000 MJC de France et leurs fédérations !
Le samedi 30 avril prochain se tiendra à Nancy l’assemblée générale extraordinaire (AGE) de la CMJCF avec comme objectif, rien de moins que transformer les statuts actuels de la CMJCF pour qu’elle devienne la nouvelle tête de réseau nationale des 1000 MJC de France et qu’elle puisse intégrer dans une gouvernance renouvelée les réseaux régionaux issus de AIR MJC. Cette AGE sera l’occasion d’affirmer dans une déclaration solennelle les valeurs et les ambitions du réseau MJC pour répondre aux enjeux du 21e siècle.
Le samedi 30 avril prochain se tiendra à Nancy l’assemblée générale extraordinaire (AGE) de la CMJCF avec comme objectif, rien de moins que transformer les statuts actuels de la CMJCF pour qu’elle devienne la nouvelle tête de réseau nationale des 1000 MJC de France et qu’elle puisse intégrer dans une gouvernance renouvelée les réseaux régionaux issus de AIR MJC. Cette AGE sera l’occasion d’affirmer dans une déclaration solennelle les valeurs et les ambitions du réseau MJC pour répondre aux enjeux du 21e siècle.
Date de l'événement
30.04.2022
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Agora de la république de l'ESS - MES - 10 juin
Agora de la république de l'ESS - MES - 10 juin
Description
Dans le cadre de son AG le Mouvement pour l'économie solidaire organise une agora de la République de l'ESS le 10 juin 2021 à Dijon.
La république de l'ESS est une action de plaidoyer porté par ESS France qui propose une plateforme participative ouverte à toutes celles et ceux qui aujourd’hui font vivre l’ESS et qui veulent en faire la norme de l’économie de demain. L’objectif est de construire et partager, au-delà de nos déclarations de principes et définitions juridiques, le projet politique collectif porté et incarné par l’ESS au regard des enjeux économiques, sociaux, environnementaux, démocratiques en faisant entendre collectivement sa voix et la possibilité d’une autre façon de concevoir l’économie et l’entreprise.
Dans le cadre de la cadre de la Plateforme la partie événements regroupe les agoras nationales et régionales proposées par les utilisateurs de la République de l’ESS.
L'agora que nous nous proposons d'organiser porte sur la thématique la démocratie économique au niveau régional et national
Notre fil conducteur : Favoriser pour les citoyens la citoyenneté et la réappropriation de la démocratie économique. L’acteur central est le citoyen. Une réflexion sur une économie transformatrice, pas exclusivement enfermée dans la vison entrepreneuriale.
La république de l'ESS est une action de plaidoyer porté par ESS France qui propose une plateforme participative ouverte à toutes celles et ceux qui aujourd’hui font vivre l’ESS et qui veulent en faire la norme de l’économie de demain. L’objectif est de construire et partager, au-delà de nos déclarations de principes et définitions juridiques, le projet politique collectif porté et incarné par l’ESS au regard des enjeux économiques, sociaux, environnementaux, démocratiques en faisant entendre collectivement sa voix et la possibilité d’une autre façon de concevoir l’économie et l’entreprise.
Dans le cadre de la cadre de la Plateforme la partie événements regroupe les agoras nationales et régionales proposées par les utilisateurs de la République de l’ESS.
L'agora que nous nous proposons d'organiser porte sur la thématique la démocratie économique au niveau régional et national
Notre fil conducteur : Favoriser pour les citoyens la citoyenneté et la réappropriation de la démocratie économique. L’acteur central est le citoyen. Une réflexion sur une économie transformatrice, pas exclusivement enfermée dans la vison entrepreneuriale.
Date de l'événement
10.06.2021
Référence
https://larepubliqueess.org/
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Agora de la république de l'ESS - MES - 10 juin
Agora de la république de l'ESS - MES - 10 juin
Description
Dans le cadre de son AG le Mouvement pour l'économie solidaire organise une agora de la République de l'ESS le 10 juin 2021 à Dijon.
**La république de l'ESS** est une action de plaidoyer porté par //ESS France //qui propose une** plateforme participative ouverte à toutes celles et ceux qui aujourd’hui font vivre l’ESS **et qui veulent en faire la norme de l’économie de demain. L’objectif est de construire et partager, au-delà de nos déclarations de principes et définitions juridiques, le projet politique collectif porté et incarné par l’ESS au regard des enjeux économiques, sociaux, environnementaux, démocratiques en faisant entendre collectivement sa voix et la possibilité d’une autre façon de concevoir l’économie et l’entreprise.
Dans le cadre de la cadre de la Plateforme la partie événements regroupe les agoras nationales et régionales proposées par les utilisateurs de la République de l’ESS.
L'agora que nous nous proposons d'organiser porte sur la thématique la **démocratie économique au niveau régional et national **
Notre fil conducteur : Favoriser pour les citoyens la citoyenneté et la réappropriation de la démocratie économique. L’acteur central est le citoyen. Une réflexion sur une économie transformatrice, pas exclusivement enfermée dans la vison entrepreneuriale.
Date de l'événement
10.06.2021
Référence
https://larepubliqueess.org/
Agora de la république de l'ESS - MES - 10 juin
Agora de la république de l'ESS - MES - 10 juin
Description
Dans le cadre de son AG le Mouvement pour l'économie solidaire organise une agora de la République de l'ESS le 10 juin 2021 à Dijon.
**La république de l'ESS** est une action de plaidoyer porté par //ESS France //qui propose une** plateforme participative ouverte à toutes celles et ceux qui aujourd’hui font vivre l’ESS **et qui veulent en faire la norme de l’économie de demain. L’objectif est de construire et partager, au-delà de nos déclarations de principes et définitions juridiques, le projet politique collectif porté et incarné par l’ESS au regard des enjeux économiques, sociaux, environnementaux, démocratiques en faisant entendre collectivement sa voix et la possibilité d’une autre façon de concevoir l’économie et l’entreprise.
Dans le cadre de la cadre de la Plateforme la partie événements regroupe les agoras nationales et régionales proposées par les utilisateurs de la République de l’ESS.
L'agora que nous nous proposons d'organiser porte sur la thématique la **démocratie économique au niveau régional et national **
Notre fil conducteur : Favoriser pour les citoyens la citoyenneté et la réappropriation de la démocratie économique. L’acteur central est le citoyen. Une réflexion sur une économie transformatrice, pas exclusivement enfermée dans la vison entrepreneuriale.
Date de l'événement
10.06.2021
Référence
https://larepubliqueess.org/
Agora de la république de l'ESS - MES - 10 juin
Agora de la république de l'ESS - MES - 10 juin
Description
Dans le cadre de son AG le Mouvement pour l'économie solidaire organise une agora de la République de l'ESS le 10 juin 2021 à Dijon.
**La république de l'ESS** est une action de plaidoyer porté par //ESS France //qui propose une** plateforme participative ouverte à toutes celles et ceux qui aujourd’hui font vivre l’ESS **et qui veulent en faire la norme de l’économie de demain. L’objectif est de construire et partager, au-delà de nos déclarations de principes et définitions juridiques, le projet politique collectif porté et incarné par l’ESS au regard des enjeux économiques, sociaux, environnementaux, démocratiques en faisant entendre collectivement sa voix et la possibilité d’une autre façon de concevoir l’économie et l’entreprise.
Dans le cadre de la cadre de la Plateforme la partie événements regroupe les agoras nationales et régionales proposées par les utilisateurs de la République de l’ESS.
L'agora que nous nous proposons d'organiser porte sur la thématique la **démocratie économique au niveau régional et national **
Notre fil conducteur : Favoriser pour les citoyens la citoyenneté et la réappropriation de la démocratie économique. L’acteur central est le citoyen. Une réflexion sur une économie transformatrice, pas exclusivement enfermée dans la vison entrepreneuriale.
Date de l'événement
10.06.2021
Référence
https://larepubliqueess.org/
Agora de la république de l'ESS - MES - 10 juin
Agora de la république de l'ESS - MES - 10 juin
Description
Dans le cadre de son AG le Mouvement pour l'économie solidaire organise une agora de la République de l'ESS le 10 juin 2021 à Dijon.
**La république de l'ESS** est une action de plaidoyer porté par //ESS France //qui propose une** plateforme participative ouverte à toutes celles et ceux qui aujourd’hui font vivre l’ESS **et qui veulent en faire la norme de l’économie de demain. L’objectif est de construire et partager, au-delà de nos déclarations de principes et définitions juridiques, le projet politique collectif porté et incarné par l’ESS au regard des enjeux économiques, sociaux, environnementaux, démocratiques en faisant entendre collectivement sa voix et la possibilité d’une autre façon de concevoir l’économie et l’entreprise.
Dans le cadre de la cadre de la Plateforme la partie événements regroupe les agoras nationales et régionales proposées par les utilisateurs de la République de l’ESS.
L'agora que nous nous proposons d'organiser porte sur la thématique la **démocratie économique au niveau régional et national **
Notre fil conducteur : Favoriser pour les citoyens la citoyenneté et la réappropriation de la démocratie économique. L’acteur central est le citoyen. Une réflexion sur une économie transformatrice, pas exclusivement enfermée dans la vison entrepreneuriale.
Date de l'événement
10.06.2021
Référence
https://larepubliqueess.org/
Agora Jeunes "Imaginer des futurs désirables, et passer à l'action !", 6-7/10
Agora Jeunes "Imaginer des futurs désirables, et passer à l'action !", 6-7/10
Description
Venez partager, vivre des expériences immersives, vous rencontrer, inventer collectivement un avenir désirable, inspirer et vous inspirer, vous outiller pour incarner le changement... et tout ça entre jeunes.
Deux jours pour booster ton imagination et expérimenter un autre monde !
Au programme
Vendredi 6 octobre (19h-22h)
- Lancement du nouveau numéro de la revue 90° "Génération bascule"
Table ronde et regards croisés de jeunes "Être et faire société". Les intervenant·es nous parleront de leurs différentes formes d'actions au quotidien. En présence de jeunes journalistes de la revue 90°.
Samedi 7 octobre (10h30-19h)
- Ateliers : Booste ton imagination
- Atelier : Expérimente un autre monde
- Atelier "Rêvons ensemble"
Et tout au long de la journée :
Rendez-vous vendredi 6 et samedi 7 octobre à l’Académie du climat !
2 Place Baudoyer – Paris 4e
Contact : reseau@colibris-lemouvement.org
Deux jours pour booster ton imagination et expérimenter un autre monde !
Au programme
Vendredi 6 octobre (19h-22h)
- Lancement du nouveau numéro de la revue 90° "Génération bascule"
Table ronde et regards croisés de jeunes "Être et faire société". Les intervenant·es nous parleront de leurs différentes formes d'actions au quotidien. En présence de jeunes journalistes de la revue 90°.
Samedi 7 octobre (10h30-19h)
- Ateliers : Booste ton imagination
- Écriture guidée d’un futur désirable en mode Turfu ! Avec Damien Deville et Makan Fofana.
- Tes émotions comme boussole pour faire tes choix
- La facilitation Kesako, pour qui, pour quoi, comment ? Viens te former aux outils collaboratifs pour tes prochaines réunions !
- Atelier : Expérimente un autre monde
- Simulaction : viens vivre un atelier immersif de citoyenneté lors d’un débat public simulé
- Atelier "Rêvons ensemble"
- Viens travailler ton muscle de l’utopie en partant en voyage pour 2030 glorieuses
Et tout au long de la journée :
- Viens transitionner ton ordi : apporte ton matos et les geeks vont te le pimper avec des logiciels libres !
- Librairie inspirante
- Présentation de l'accompagnement de projet du Mouvement Colibris, et rencontre avec les porteurs d'initiatives
Rendez-vous vendredi 6 et samedi 7 octobre à l’Académie du climat !
2 Place Baudoyer – Paris 4e
Contact : reseau@colibris-lemouvement.org
Date de l'événement
06.10.2023
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
2 Place Baudoyer 75004 Paris
Alimentation carnée : où en est l'écologie politique ? - 19/3
Alimentation carnée : où en est l'écologie politique ? - 19/3
Description
Mardi 19 mars, venez débattre avec Jean-Marc Gancille et Elodie Vieille-Blanchard sur le thème « Alimentation carnée : où en est l'écologie politique ? », à l'occasion de la sortie du nouvel essai de Jean-Marc Gancille « Comment l'humanité se viande ».
Une soirée organisée à la librairie Utopia en partenariat avec les Estivales de la question animale et le Mouvement Utopia.
Une soirée organisée à la librairie Utopia en partenariat avec les Estivales de la question animale et le Mouvement Utopia.
Date de l'événement
19.03.2024
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
1 rue frédéric sauton 75005
Amfis d'été de la FI - 25 au 28/8
Amfis d'été de la FI - 25 au 28/8
Description
L’événement politique de la FI se déroulera cette année à Valence du 25 au 28 août 2022.
Au programme : formations théoriques et pratiques, conférences, débats, animations culturelles et concerts dans un cadre convivial et naturel.
"Après une année marquée par des résultats exceptionnels aux élections présidentielles et législatives et l’élection de près de 150 député·es de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, les Amfis 2022 permettront de se retrouver pour préparer une rentrée politique qui s’annonce intense."
Au programme : formations théoriques et pratiques, conférences, débats, animations culturelles et concerts dans un cadre convivial et naturel.
"Après une année marquée par des résultats exceptionnels aux élections présidentielles et législatives et l’élection de près de 150 député·es de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, les Amfis 2022 permettront de se retrouver pour préparer une rentrée politique qui s’annonce intense."
Date de l'événement
25.08.2022
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
APAC d'automne du CAC - 6/12
APAC d'automne du CAC - 6/12
Description
Nos journées de saison deviennent des "APAC" = assemblées permanentes des Asso Citoyennes.
Le 6 déc nous serons dans le 11ème arrondisst parisien
Le 6 déc nous serons dans le 11ème arrondisst parisien
Date de l'événement
06.12.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/assemblee-permanente-journee-de-rentree-du-cac-6-sept/
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
paris 11
APAC de rentrée CAC - 6/9
APAC de rentrée CAC - 6/9
Description
Nos journées de saison deviennet des "APAC" = assemblées permanentes des Asso Citoyennes.
Le 6 sept nous ferons dans le 11ème arrondisst parisien notre Journée de rentrée !
Le 6 sept nous ferons dans le 11ème arrondisst parisien notre Journée de rentrée !
Date de l'événement
06.09.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/assemblee-permanente-journee-de-rentree-du-cac-6-sept/
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
91 rue Oberkampf 75011 Paris
Apéros de l'Associatif belge - 14/4
Apéros de l'Associatif belge - 14/4
Description
Collectif21 , umengo et Comsa asbl organisent la première édition des Apéros de l'Associatif au Labokube à Bruxelles.
Cet événement sur invitation aura lieu le vendredi 14 avril à partir de 18 heures !
On y projettera le film "2121, Hypothèses, Associations” qui sera suivi par un débat ainsi qu'un networking! 🤗🤩
Voici le lien du teaser du film : https://vimeo.com/681330136
Cet événement sur invitation aura lieu le vendredi 14 avril à partir de 18 heures !
On y projettera le film "2121, Hypothèses, Associations” qui sera suivi par un débat ainsi qu'un networking! 🤗🤩
Voici le lien du teaser du film : https://vimeo.com/681330136
Date de l'événement
14.04.2023
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Archipel des confluences - 7/9
Arpentage "Culture et émancipation avec les droits culturels" - 27 jan
Arpentage "Culture et émancipation avec les droits culturels" - 27 jan
Description
Dans le cadre de notre Université des Savoirs Associatifs nous réaliserons la prochaine séance d’arpentage* le jeudi 27 janvier en visio à 18h.
Il s’agira de découvrir à plusieurs l’utilité du contenu de la publication de l’UFISC
Culture et émancipation – cheminer avec les droits culturels
*L’atelier d’arpentage est une technique de lecture collective de l’éduc pop. très participative durant laquelle vous aurez un passage à lire, elle dure 2h/2h30 environ
Il s’agira de découvrir à plusieurs l’utilité du contenu de la publication de l’UFISC
Culture et émancipation – cheminer avec les droits culturels
*L’atelier d’arpentage est une technique de lecture collective de l’éduc pop. très participative durant laquelle vous aurez un passage à lire, elle dure 2h/2h30 environ
Date de l'événement
27.01.2022
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Arpentage "Culture et émancipation avec les droits culturels" - 27 jan
Arpentage "Culture et émancipation avec les droits culturels" - 27 jan
Description
Dans le cadre de notre// Université des Savoirs Associatifs //nous réaliserons la prochaine séance d’arpentage* le** jeudi 27 janvier** en visio à 18h.
Il s’agira de découvrir à plusieurs l’utilité du contenu de la publication de l’UFISC**
Culture et émancipation – cheminer avec les droits culturels
//*L’atelier d’arpentage est une technique de lecture collective de l’éduc pop. très participative durant laquelle vous aurez un passage à lire, elle dure 2h/2h30 environ //
Date de l'événement
27.01.2022
Arpentage "Culture et émancipation avec les droits culturels" - 27 jan
Arpentage "Culture et émancipation avec les droits culturels" - 27 jan
Description
Dans le cadre de notre// Université des Savoirs Associatifs //nous réaliserons la prochaine séance d’arpentage* le** jeudi 27 janvier** en visio à 18h.
Il s’agira de découvrir à plusieurs l’utilité du contenu de la publication de l’UFISC**
Culture et émancipation – cheminer avec les droits culturels
//*L’atelier d’arpentage est une technique de lecture collective de l’éduc pop. très participative durant laquelle vous aurez un passage à lire, elle dure 2h/2h30 environ //
Date de l'événement
27.01.2022
Arpentage "Culture et émancipation avec les droits culturels" - 27 jan
Arpentage "Culture et émancipation avec les droits culturels" - 27 jan
Description
Dans le cadre de notre// Université des Savoirs Associatifs //nous réaliserons la prochaine séance d’arpentage* le** jeudi 27 janvier** en visio à 18h.
Il s’agira de découvrir à plusieurs l’utilité du contenu de la publication de l’UFISC**
Culture et émancipation – cheminer avec les droits culturels
//*L’atelier d’arpentage est une technique de lecture collective de l’éduc pop. très participative durant laquelle vous aurez un passage à lire, elle dure 2h/2h30 environ //
Date de l'événement
27.01.2022
Arpentage "Culture et émancipation avec les droits culturels" - 27 jan
Arpentage "Culture et émancipation avec les droits culturels" - 27 jan
Description
Dans le cadre de notre// Université des Savoirs Associatifs //nous réaliserons la prochaine séance d’arpentage* le** jeudi 27 janvier** en visio à 18h.
Il s’agira de découvrir à plusieurs l’utilité du contenu de la publication de l’UFISC**
Culture et émancipation – cheminer avec les droits culturels
//*L’atelier d’arpentage est une technique de lecture collective de l’éduc pop. très participative durant laquelle vous aurez un passage à lire, elle dure 2h/2h30 environ //
Date de l'événement
27.01.2022
Arpentage "Désirer à tout prix" - 18/12
Arpentage "Désirer à tout prix" - 18/12
Description
lundi 18 décembre à 19h un atelier d'arpentage autour du livre "Désirer à tout prix" écrit par Tal Madesta.
par l'Association Ressources Alternatives
à La Fabrik Coopérative, 23 rue du Docteur Potain, Escalier B, 75019 Paris
par l'Association Ressources Alternatives
à La Fabrik Coopérative, 23 rue du Docteur Potain, Escalier B, 75019 Paris
Date de l'événement
18.12.2023
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
23 rue du Docteur Potain 75019
Arpentage "la bataille de la sécu" - 10/11
Arpentage "la bataille de la sécu" - 10/11
Description
Le CAC vous propose le vendredi 10 novembre à 16h arpentage (une méthode de lecture en commun de l'éducation populaire) du livre de Nicolas Da Silva : « La bataille de la Sécu » dans nos locaux au 108 rue Saint Maur, 75011 Paris.
Date de l'événement
10.11.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
108 rue Saint Maur, 75011 Paris
Arpentage "Sapiens" P&C - 15/02
Arpentage "Sapiens" P&C - 15/02
Description
[arpentage] Peuple et Culture continue d’arpenter les livres à la maison des Métallos, après Mona Cholet et ses « Sorcières » en janvier (dont le podcast sort bientôt), ce sera au tour de la BD « Sapiens, la naissance de l’humanité de Yuval Noah Harari » le 15 fév à 18h30.
Programmation mensuelle d’arpentage pour 2023).
Programmation mensuelle d’arpentage pour 2023).
Date de l'événement
15.02.2023
Référence
https://www.maisondesmetallos.paris/fr/sapiens-la-naissance-de-l-humanite-yuval-noah-harari
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Arpentage l’histoire des libertés associatives - 21/4
Arpentage l’histoire des libertés associatives - 21/4
Description
L’Ufisc (union fédérale d’intervention des structures culturelles) organise un Arpentage de notre ouvrage « une histoire des libertés associatives » le 21 avril de 10h00 à 13h00, à la Maison des réseaux Artistiques et Culturels (75019)
Moins de deux cent pages pour résumer plus de deux siècles d’actions associatives depuis la révolution de 1789 jusqu’à aujourd’hui… voici le pari du livre de J-Baptiste Jobard, coordinateur au CAC, Collectif des associations citoyennes !
Un retour historique indispensable pour comprendre la situation actuelle et plus particulièrement les raisons pour lesquelles celle-ci est marquée par un processus de restriction des libertés associatives… Et pour dégager des pistes permettant d’envisager un autre scénario que celui de l’affaiblissement inéluctable des associations citoyennes.
Lors de cette rencontre qui bénéficiera de la présence de l’auteur, nous découvrirons ensemble cet ouvrage en l’arpentant.
L’atelier d’arpentage est une technique de lecture collective de l’éducation populaire, très participative, durant laquelle chacun·e aura un passage à lire.
Moins de deux cent pages pour résumer plus de deux siècles d’actions associatives depuis la révolution de 1789 jusqu’à aujourd’hui… voici le pari du livre de J-Baptiste Jobard, coordinateur au CAC, Collectif des associations citoyennes !
Un retour historique indispensable pour comprendre la situation actuelle et plus particulièrement les raisons pour lesquelles celle-ci est marquée par un processus de restriction des libertés associatives… Et pour dégager des pistes permettant d’envisager un autre scénario que celui de l’affaiblissement inéluctable des associations citoyennes.
Lors de cette rencontre qui bénéficiera de la présence de l’auteur, nous découvrirons ensemble cet ouvrage en l’arpentant.
L’atelier d’arpentage est une technique de lecture collective de l’éducation populaire, très participative, durant laquelle chacun·e aura un passage à lire.
Date de l'événement
21.04.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Arpentage rapport Machandisation asso - nov
Arpentage rapport Machandisation asso - nov
Description
L'ufisc et le CAC ont prévu un Arpentage du 1er rapport de l’observatoire citoyen de la marchandisation des associations (OCMA) « Marchandisation et financiarisation des associations » (sorti en février 2023)
Événement qui s'inscrit dans le mois de l'ESS
Événement qui s'inscrit dans le mois de l'ESS
Date de l'événement
23.11.2023
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Assemblée générale du CAC+ arpentage - 27/6
Assemblée générale du CAC+ arpentage - 27/6
Description
AG du CAC sera le jeudi 27 juin de 17h30-20h15 avec temps préalable d'arpentage du rapport CESE rendu fin mai sur l'urgence de financer et sécuriser les associations (14h-17h)
lieu : AERI à Montreuil vers Croix de Chavaux
lieu : AERI à Montreuil vers Croix de Chavaux
Date de l'événement
27.06.2024
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
57 Rue Etienne Marcel, 93100 Montreuil
Assises du Post-urbain - 23 au 25/6
Assises du Post-urbain - 23 au 25/6
Description
Les 23, 24 et 25 juin à Vasles dans les Deux-Sèvres, Maison du Mouton, Salle Pastorale
Du vendredi 23 juin à 18h au dimanche 25 juin à 18h
Les Assises du Post-urbain : Déménageons le territoire ! avec tables-rondes ateliers sur la Démétropolisation, les biorégions, les nouvelles ruralités, nos cultures du vivant... (là aussi un doc de travail vous sera envoyé très vite pour discussion et orga) avec Alternance de rythme et de méthodes, entre le partage d'expériences et l'apport d'intervenant·es
Du vendredi 23 juin à 18h au dimanche 25 juin à 18h
Les Assises du Post-urbain : Déménageons le territoire ! avec tables-rondes ateliers sur la Démétropolisation, les biorégions, les nouvelles ruralités, nos cultures du vivant... (là aussi un doc de travail vous sera envoyé très vite pour discussion et orga) avec Alternance de rythme et de méthodes, entre le partage d'expériences et l'apport d'intervenant·es
Date de l'événement
23.06.2023
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Assises régionales bretonnes de la vie associative - 2/7
Assises régionales bretonnes de la vie associative - 2/7
Description
Organisées par la Région Bretagne et le Mouvement associatif de Bretagne
Rendez-vous le mardi 02 juillet de 9h30 à 17h au Palais des Arts et des Congrès de Vannes, pour cette 3ème édition ayant pour fil rouge :
"Agir ensemble pour des futurs désirables".
Depuis des années déjà, associations et collectivités territoriales agissent face aux crises démocratiques, économiques, sociales, climatiques et écologiques : elles ont entamé leurs métamorphoses. Mais comment aller plus loin ?
Autour de conférences, tables rondes, ateliers pratiques et témoignages, cette troisième édition des Assises vous proposera d’interroger les manières d’agir collectivement pour imaginer et bâtir des futurs désirables.
Julie Chabaud, psychosociologue et docteure en sciences politiques et Jean-François Draperi, sociologue et géographe, nous apporterons leurs regards pour nous éclairer sur les défis à relever et questionner nos actions.
Rendez-vous le mardi 02 juillet de 9h30 à 17h au Palais des Arts et des Congrès de Vannes, pour cette 3ème édition ayant pour fil rouge :
"Agir ensemble pour des futurs désirables".
Depuis des années déjà, associations et collectivités territoriales agissent face aux crises démocratiques, économiques, sociales, climatiques et écologiques : elles ont entamé leurs métamorphoses. Mais comment aller plus loin ?
Autour de conférences, tables rondes, ateliers pratiques et témoignages, cette troisième édition des Assises vous proposera d’interroger les manières d’agir collectivement pour imaginer et bâtir des futurs désirables.
Julie Chabaud, psychosociologue et docteure en sciences politiques et Jean-François Draperi, sociologue et géographe, nous apporterons leurs regards pour nous éclairer sur les défis à relever et questionner nos actions.
Date de l'événement
02.07.2024
Référence
https://assises-vieassociative.bzh
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Adresse
Vannes
Association Les Hôtels Solidaires, Je suis le coprésident de l'association
Association Les Hôtels Solidaires, Je suis le coprésident de l'association
Combien d’emplois sous contrat PEC compte votre association et aviez-vous prévu des embauches en PEC ?
Actuellement 3 emplois PEC, et nous en avions prévu 2 nouveaux dont le recrutement devait être effectif le mois prochain.
Que signifiera pour votre activité le non-renouvellement, la réduction de la durée du renouvellement ou la baisse de prise en charge de ces contrats ?
Actuellement Pôle Emploi nous dit qu'il est impossible de faire de nouveaux contrats PEC quels qu'ils soient, donc pour nous c'est l'arrêt très probable d'une partie de nos activités (non renouvellement des contrats, et non recrutement des nouvelles personnes prévues).
Quels sont les activités concrètes et l’apport pour votre association des personnes que vous avez employées sous PEC ?
Nous avions une coordinatrice générale de l'association en PEC, ainsi qu'une couturière en situation de handicap, une personne chargée de la gestion administrative en situation de handicap, et nous étions en train de recruter un chauffeur/livreur en situation de handicap ainsi qu'une nouvelle couturière en situation de handicap.
Avez-vous prévu des actions pour dénoncer cette situation ? Si oui lesquelles ? Merci de préciser votre région
Nous ne savons pas comment procéder.
Souhaitez-vous l'anonymat lors de la restitution des résultats de l'enquête ?
NON
Assos de quartier, clientélisme et pouvoir local - 2/12
Assos de quartier, clientélisme et pouvoir local - 2/12
Description
Associations de quartier, clientélisme et pouvoir local. lundi 2 décembre 2024 à 17h30
Nouvelle séance du séminaire Libertés associatives et démocratie consacrée à la question des associations de quartier populaire, du clientélisme et du pouvoir local. En présence de Violette Arnoulet, urbaniste et docteure en sociologie, d’Olivier Provini, maître de conférences en science politique à l’Université Paris 1 et d’Audrey Gondallier, coordinatrice nationale du réseau Pas sans Nous. A ne pas manquer !
Nouvelle séance du séminaire Libertés associatives et démocratie consacrée à la question des associations de quartier populaire, du clientélisme et du pouvoir local. En présence de Violette Arnoulet, urbaniste et docteure en sociologie, d’Olivier Provini, maître de conférences en science politique à l’Université Paris 1 et d’Audrey Gondallier, coordinatrice nationale du réseau Pas sans Nous. A ne pas manquer !
Date de l'événement
02.12.2024
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Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
cnam paris
ATD Quart-Monde Rencontres nationales 2021 18 Mai, 27 mai, 10 juin, 14 juin
ATD Quart-Monde Rencontres nationales 2021 18 Mai, 27 mai, 10 juin, 14 juin
Description
Réseau Wresinski culture
Tous les droits humains sont indivisibles et interdépendants.
Cela signifie que l'on ne peut pas jouir pleinement d'un droit sans pouvoir exercer les autres. Leur dimension culturelle permet de développer des droits appropriés, quel que soit son contexte de vie. Tous les champs de l’activité humaine sont concernés. Nous ne vivons pas tous de la même façon, n’exerçons pas les mêmes pratiques, n’habitons pas les mêmes lieux.
Le respect des références et des pratiques culturelles de chacun est un droit qui se décline dans tous les aspects de la vie quotidienne, vie matérielle, comme vie intellectuelle ou spirituelle. C’est ce qu’on appelle l’exercice des droits culturels. Cet exercice permet de reconnaître la dignité des personnes dans l’expression de leurs pratiques culturelles aussi diverses soient elles et renforce leur capacité d’agir.
Pour cette nouvelle rencontre du Réseau Wresinski culture, nous avons choisi 3 domaines de vie essentiels pour les êtres humains : se loger, se nourrir, se soigner. L’enjeu est d’y présenter des expériences qui montrent à quel point le fait d’exprimer ce à quoi on donne sens permet à chacun de passer d’une position de passivité à une posture agissante, jusqu’à la transformation de ses conditions de vie.
En reconnaissant les personnes dans leur droit à exprimer leurs références culturelles et à en échanger avec les autres, nous espérons faire entendre à quel point la culture n’est pas un domaine réservé mais une dimension qui traverse tous les aspects de la vie et contribue à faire société, en favorisant l’émancipation de chacun.
Intervenants
Hélène Tavera, Collectif 4C : « Comment développer un lien social et de convivialité par l'alimentation au sein d’un collectif d’habitants »
Benoit Guérard et Viviane Tirlicien, Terre de Lorraine : « Reconnaître la dignité des personnes à travers une charte pour l'accessibilité à tous d'une alimentation de qualité »
Schutz Jacqueline, Restos du Cœur : « Mettre en lumière comment les ateliers cuisine font émerger la dimension culturelle du droit à l’alimentation et leur articulation avec les différentes formes d’accompagnement proposés par
les Restos du cœur »
Anne-Sophie Baudchon (sage-femme), PMI département du Nord : « Prise en compte de la culture des patients dans la pratique de l’accompagnement périnatal, sortir de la prescription professionnelle pour entrer dans une interaction constructive avec les patients » et
Cadart Marie-Laure, Médecin et anthropologue : « Reconnaissance de la culture de chaque femme au sein des crèches et PMI »
Didier Ménard, Place de la Santé : « Approche élargie de la santé visant à « faire de la médecine autrement » axée sur le bien-être des individus »
Emmanuelle Jouet, Pair-aidance : « Développement d’une formation à la pair-aidance pour faire reconnaître en tant que professionnels ces pairs aidants, créatrice de l’association « J’entends des voix » militant pour la reconnaissance d’un autre rapport au monde »
Moncef Labidi, Café social : « Réflexion sur les logements partagés et création du concept de café social à Paris, lieu de lien social où se retrouvent des travailleurs immigrés »
Jean-Pierre Chrétien-Goni, Musée de la Migration : « Réflexions autour de la question du droit au logement et travail de mémoire à travers la création d’un musée éphémère »
Astrid Perroy, Habitat et Humanisme : « Sur la base d’exemples concrets, Astrid, accompagnée du bénévole encadrant, se propose de faire un retour sur l’impact de la culture dans les travaux d’entretien et aménagement des appartements »
avec Mylène Bidault, Luc Carton, Jean-Pierre Chrétien-Goni et d'autres témoignages le 14 juin de 14h à 17h.
Tous les droits humains sont indivisibles et interdépendants.
Cela signifie que l'on ne peut pas jouir pleinement d'un droit sans pouvoir exercer les autres. Leur dimension culturelle permet de développer des droits appropriés, quel que soit son contexte de vie. Tous les champs de l’activité humaine sont concernés. Nous ne vivons pas tous de la même façon, n’exerçons pas les mêmes pratiques, n’habitons pas les mêmes lieux.
Le respect des références et des pratiques culturelles de chacun est un droit qui se décline dans tous les aspects de la vie quotidienne, vie matérielle, comme vie intellectuelle ou spirituelle. C’est ce qu’on appelle l’exercice des droits culturels. Cet exercice permet de reconnaître la dignité des personnes dans l’expression de leurs pratiques culturelles aussi diverses soient elles et renforce leur capacité d’agir.
Pour cette nouvelle rencontre du Réseau Wresinski culture, nous avons choisi 3 domaines de vie essentiels pour les êtres humains : se loger, se nourrir, se soigner. L’enjeu est d’y présenter des expériences qui montrent à quel point le fait d’exprimer ce à quoi on donne sens permet à chacun de passer d’une position de passivité à une posture agissante, jusqu’à la transformation de ses conditions de vie.
En reconnaissant les personnes dans leur droit à exprimer leurs références culturelles et à en échanger avec les autres, nous espérons faire entendre à quel point la culture n’est pas un domaine réservé mais une dimension qui traverse tous les aspects de la vie et contribue à faire société, en favorisant l’émancipation de chacun.
Intervenants
Alimentation : 18 mai de 14h à 17h
Hélène Tavera, Collectif 4C : « Comment développer un lien social et de convivialité par l'alimentation au sein d’un collectif d’habitants »
Benoit Guérard et Viviane Tirlicien, Terre de Lorraine : « Reconnaître la dignité des personnes à travers une charte pour l'accessibilité à tous d'une alimentation de qualité »
Schutz Jacqueline, Restos du Cœur : « Mettre en lumière comment les ateliers cuisine font émerger la dimension culturelle du droit à l’alimentation et leur articulation avec les différentes formes d’accompagnement proposés par
les Restos du cœur »
Soin - Santé : 27 mai de 14h à 17h
Anne-Sophie Baudchon (sage-femme), PMI département du Nord : « Prise en compte de la culture des patients dans la pratique de l’accompagnement périnatal, sortir de la prescription professionnelle pour entrer dans une interaction constructive avec les patients » et
Cadart Marie-Laure, Médecin et anthropologue : « Reconnaissance de la culture de chaque femme au sein des crèches et PMI »
Didier Ménard, Place de la Santé : « Approche élargie de la santé visant à « faire de la médecine autrement » axée sur le bien-être des individus »
Emmanuelle Jouet, Pair-aidance : « Développement d’une formation à la pair-aidance pour faire reconnaître en tant que professionnels ces pairs aidants, créatrice de l’association « J’entends des voix » militant pour la reconnaissance d’un autre rapport au monde »
Logement : 10 juin de 14h à 17h
Moncef Labidi, Café social : « Réflexion sur les logements partagés et création du concept de café social à Paris, lieu de lien social où se retrouvent des travailleurs immigrés »
Jean-Pierre Chrétien-Goni, Musée de la Migration : « Réflexions autour de la question du droit au logement et travail de mémoire à travers la création d’un musée éphémère »
Astrid Perroy, Habitat et Humanisme : « Sur la base d’exemples concrets, Astrid, accompagnée du bénévole encadrant, se propose de faire un retour sur l’impact de la culture dans les travaux d’entretien et aménagement des appartements »
Table ronde finale
avec Mylène Bidault, Luc Carton, Jean-Pierre Chrétien-Goni et d'autres témoignages le 14 juin de 14h à 17h.
Date de l'événement
18.05.2021 - 14:00
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ATD Quart-Monde Rencontres nationales 2021 18 Mai, 27 mai, 10 juin, 14 juin
ATD Quart-Monde Rencontres nationales 2021 18 Mai, 27 mai, 10 juin, 14 juin
Description
**Réseau Wresinski culture**
**Tous les droits humains sont indivisibles et interdépendants**.
Cela signifie que l'on ne peut pas jouir pleinement d'un droit sans pouvoir exercer les autres. Leur dimension culturelle permet de développer des droits appropriés, quel que soit son contexte de vie. Tous les champs de l’activité humaine sont concernés. Nous ne vivons pas tous de la même façon, n’exerçons pas les mêmes pratiques, n’habitons pas les mêmes lieux.
Le respect des références et des pratiques culturelles de chacun est un droit qui se décline dans tous les aspects de la vie quotidienne, vie matérielle, comme vie intellectuelle ou spirituelle. C’est ce qu’on appelle l’exercice des droits culturels. Cet exercice permet de reconnaître la dignité des personnes dans l’expression de leurs pratiques culturelles aussi diverses soient elles et renforce leur capacité d’agir.
Pour cette nouvelle rencontre du Réseau Wresinski culture, nous avons choisi 3 domaines de vie essentiels pour les êtres humains : se loger, se nourrir, se soigner. L’enjeu est d’y présenter des expériences qui montrent à quel point le fait d’exprimer ce à quoi on donne sens permet à chacun de passer d’une position de passivité à une posture agissante, jusqu’à la transformation de ses conditions de vie.
En reconnaissant les personnes dans leur droit à exprimer leurs références culturelles et à en échanger avec les autres, nous espérons faire entendre à quel point la culture n’est pas un domaine réservé mais une dimension qui traverse tous les aspects de la vie et contribue à faire société, en favorisant l’émancipation de chacun.
**__Intervenants__**
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""Alimentation : 18 mai de 14h à 17h""
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**Hélène Tavera**, Collectif 4C : « Comment développer un lien social et de convivialité par l'alimentation au sein d’un collectif d’habitants »
**Benoit Guérard et Viviane Tirlicien**, Terre de Lorraine : « Reconnaître la dignité des personnes à travers une charte pour l'accessibilité à tous d'une alimentation de qualité »
**Schutz Jacqueline**, Restos du Cœur : « Mettre en lumière comment les ateliers cuisine font émerger la dimension culturelle du droit à l’alimentation et leur articulation avec les différentes formes d’accompagnement proposés par
les Restos du cœur »
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""""Soin - Santé : 27 mai de 14h à 17h""
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**Anne-Sophie Baudchon** (sage-femme), PMI département du Nord : « Prise en compte de la culture des patients dans la pratique de l’accompagnement périnatal, sortir de la prescription professionnelle pour entrer dans une interaction constructive avec les patients » et
**Cadart Marie-Laure**, Médecin et anthropologue : « Reconnaissance de la culture de chaque femme au sein des crèches et PMI »
**Didier Ménard**, Place de la Santé : « Approche élargie de la santé visant à « faire de la médecine autrement » axée sur le bien-être des individus »
**Emmanuelle Jouet**, Pair-aidance : « Développement d’une formation à la pair-aidance pour faire reconnaître en tant que professionnels ces pairs aidants, créatrice de l’association « J’entends des voix » militant pour la reconnaissance d’un autre rapport au monde »
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""""Logement : 10 juin de 14h à 17h""
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**Moncef Labidi**, Café social : « Réflexion sur les logements partagés et création du concept de café social à Paris, lieu de lien social où se retrouvent des travailleurs immigrés »
**Jean-Pierre Chrétien-Goni,** Musée de la Migration : « Réflexions autour de la question du droit au logement et travail de mémoire à travers la création d’un musée éphémère »
**Astrid Perroy,** Habitat et Humanisme : « Sur la base d’exemples concrets, Astrid, accompagnée du bénévole encadrant, se propose de faire un retour sur l’impact de la culture dans les travaux d’entretien et aménagement des appartements »
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""""Table ronde finale ""
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avec **Mylène Bidault, Luc Carton, Jean-Pierre Chrétien-Goni **et d'autres témoignages le 14 juin de 14h à 17h.
Date de l'événement
18.05.2021 - 14:00
ATD Quart-Monde Rencontres nationales 2021 18 Mai, 27 mai, 10 juin, 14 juin
ATD Quart-Monde Rencontres nationales 2021 18 Mai, 27 mai, 10 juin, 14 juin
Description
**Réseau Wresinski culture**
**Tous les droits humains sont indivisibles et interdépendants**.
Cela signifie que l'on ne peut pas jouir pleinement d'un droit sans pouvoir exercer les autres. Leur dimension culturelle permet de développer des droits appropriés, quel que soit son contexte de vie. Tous les champs de l’activité humaine sont concernés. Nous ne vivons pas tous de la même façon, n’exerçons pas les mêmes pratiques, n’habitons pas les mêmes lieux.
Le respect des références et des pratiques culturelles de chacun est un droit qui se décline dans tous les aspects de la vie quotidienne, vie matérielle, comme vie intellectuelle ou spirituelle. C’est ce qu’on appelle l’exercice des droits culturels. Cet exercice permet de reconnaître la dignité des personnes dans l’expression de leurs pratiques culturelles aussi diverses soient elles et renforce leur capacité d’agir.
Pour cette nouvelle rencontre du Réseau Wresinski culture, nous avons choisi 3 domaines de vie essentiels pour les êtres humains : se loger, se nourrir, se soigner. L’enjeu est d’y présenter des expériences qui montrent à quel point le fait d’exprimer ce à quoi on donne sens permet à chacun de passer d’une position de passivité à une posture agissante, jusqu’à la transformation de ses conditions de vie.
En reconnaissant les personnes dans leur droit à exprimer leurs références culturelles et à en échanger avec les autres, nous espérons faire entendre à quel point la culture n’est pas un domaine réservé mais une dimension qui traverse tous les aspects de la vie et contribue à faire société, en favorisant l’émancipation de chacun.
**__Intervenants__**
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""Alimentation : 18 mai de 14h à 17h""
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**Hélène Tavera**, Collectif 4C : « Comment développer un lien social et de convivialité par l'alimentation au sein d’un collectif d’habitants »
**Benoit Guérard et Viviane Tirlicien**, Terre de Lorraine : « Reconnaître la dignité des personnes à travers une charte pour l'accessibilité à tous d'une alimentation de qualité »
**Schutz Jacqueline**, Restos du Cœur : « Mettre en lumière comment les ateliers cuisine font émerger la dimension culturelle du droit à l’alimentation et leur articulation avec les différentes formes d’accompagnement proposés par
les Restos du cœur »
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""""Soin - Santé : 27 mai de 14h à 17h""
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**Anne-Sophie Baudchon** (sage-femme), PMI département du Nord : « Prise en compte de la culture des patients dans la pratique de l’accompagnement périnatal, sortir de la prescription professionnelle pour entrer dans une interaction constructive avec les patients » et
**Cadart Marie-Laure**, Médecin et anthropologue : « Reconnaissance de la culture de chaque femme au sein des crèches et PMI »
**Didier Ménard**, Place de la Santé : « Approche élargie de la santé visant à « faire de la médecine autrement » axée sur le bien-être des individus »
**Emmanuelle Jouet**, Pair-aidance : « Développement d’une formation à la pair-aidance pour faire reconnaître en tant que professionnels ces pairs aidants, créatrice de l’association « J’entends des voix » militant pour la reconnaissance d’un autre rapport au monde »
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""""Logement : 10 juin de 14h à 17h""
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**Moncef Labidi**, Café social : « Réflexion sur les logements partagés et création du concept de café social à Paris, lieu de lien social où se retrouvent des travailleurs immigrés »
**Jean-Pierre Chrétien-Goni,** Musée de la Migration : « Réflexions autour de la question du droit au logement et travail de mémoire à travers la création d’un musée éphémère »
**Astrid Perroy,** Habitat et Humanisme : « Sur la base d’exemples concrets, Astrid, accompagnée du bénévole encadrant, se propose de faire un retour sur l’impact de la culture dans les travaux d’entretien et aménagement des appartements »
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""""Table ronde finale ""
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avec **Mylène Bidault, Luc Carton, Jean-Pierre Chrétien-Goni **et d'autres témoignages le 14 juin de 14h à 17h.
Date de l'événement
18.05.2021 - 14:00
ATD Quart-Monde Rencontres nationales 2021 18 Mai, 27 mai, 10 juin, 14 juin
ATD Quart-Monde Rencontres nationales 2021 18 Mai, 27 mai, 10 juin, 14 juin
Description
**Réseau Wresinski culture**
**Tous les droits humains sont indivisibles et interdépendants**.
Cela signifie que l'on ne peut pas jouir pleinement d'un droit sans pouvoir exercer les autres. Leur dimension culturelle permet de développer des droits appropriés, quel que soit son contexte de vie. Tous les champs de l’activité humaine sont concernés. Nous ne vivons pas tous de la même façon, n’exerçons pas les mêmes pratiques, n’habitons pas les mêmes lieux.
Le respect des références et des pratiques culturelles de chacun est un droit qui se décline dans tous les aspects de la vie quotidienne, vie matérielle, comme vie intellectuelle ou spirituelle. C’est ce qu’on appelle l’exercice des droits culturels. Cet exercice permet de reconnaître la dignité des personnes dans l’expression de leurs pratiques culturelles aussi diverses soient elles et renforce leur capacité d’agir.
Pour cette nouvelle rencontre du Réseau Wresinski culture, nous avons choisi 3 domaines de vie essentiels pour les êtres humains : se loger, se nourrir, se soigner. L’enjeu est d’y présenter des expériences qui montrent à quel point le fait d’exprimer ce à quoi on donne sens permet à chacun de passer d’une position de passivité à une posture agissante, jusqu’à la transformation de ses conditions de vie.
En reconnaissant les personnes dans leur droit à exprimer leurs références culturelles et à en échanger avec les autres, nous espérons faire entendre à quel point la culture n’est pas un domaine réservé mais une dimension qui traverse tous les aspects de la vie et contribue à faire société, en favorisant l’émancipation de chacun.
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""Alimentation : 18 mai de 14h à 17h""
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**Hélène Tavera**, Collectif 4C : « Comment développer un lien social et de convivialité par l'alimentation au sein d’un collectif d’habitants »
**Benoit Guérard et Viviane Tirlicien**, Terre de Lorraine : « Reconnaître la dignité des personnes à travers une charte pour l'accessibilité à tous d'une alimentation de qualité »
**Schutz Jacqueline**, Restos du Cœur : « Mettre en lumière comment les ateliers cuisine font émerger la dimension culturelle du droit à l’alimentation et leur articulation avec les différentes formes d’accompagnement proposés par
les Restos du cœur »
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**Anne-Sophie Baudchon** (sage-femme), PMI département du Nord : « Prise en compte de la culture des patients dans la pratique de l’accompagnement périnatal, sortir de la prescription professionnelle pour entrer dans une interaction constructive avec les patients » et
**Cadart Marie-Laure**, Médecin et anthropologue : « Reconnaissance de la culture de chaque femme au sein des crèches et PMI »
**Didier Ménard**, Place de la Santé : « Approche élargie de la santé visant à « faire de la médecine autrement » axée sur le bien-être des individus »
**Emmanuelle Jouet**, Pair-aidance : « Développement d’une formation à la pair-aidance pour faire reconnaître en tant que professionnels ces pairs aidants, créatrice de l’association « J’entends des voix » militant pour la reconnaissance d’un autre rapport au monde »
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""""Logement : 10 juin de 14h à 17h""
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**Moncef Labidi**, Café social : « Réflexion sur les logements partagés et création du concept de café social à Paris, lieu de lien social où se retrouvent des travailleurs immigrés »
**Jean-Pierre Chrétien-Goni,** Musée de la Migration : « Réflexions autour de la question du droit au logement et travail de mémoire à travers la création d’un musée éphémère »
**Astrid Perroy,** Habitat et Humanisme : « Sur la base d’exemples concrets, Astrid, accompagnée du bénévole encadrant, se propose de faire un retour sur l’impact de la culture dans les travaux d’entretien et aménagement des appartements »
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""""Table ronde finale ""
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avec **Mylène Bidault, Luc Carton, Jean-Pierre Chrétien-Goni **et d'autres témoignages le 14 juin de 14h à 17h.
Date de l'événement
18.05.2021 - 14:00
ATD Quart-Monde Rencontres nationales 2021 18 Mai, 27 mai, 10 juin, 14 juin
ATD Quart-Monde Rencontres nationales 2021 18 Mai, 27 mai, 10 juin, 14 juin
Description
**Réseau Wresinski culture**
**Tous les droits humains sont indivisibles et interdépendants**.
Cela signifie que l'on ne peut pas jouir pleinement d'un droit sans pouvoir exercer les autres. Leur dimension culturelle permet de développer des droits appropriés, quel que soit son contexte de vie. Tous les champs de l’activité humaine sont concernés. Nous ne vivons pas tous de la même façon, n’exerçons pas les mêmes pratiques, n’habitons pas les mêmes lieux.
Le respect des références et des pratiques culturelles de chacun est un droit qui se décline dans tous les aspects de la vie quotidienne, vie matérielle, comme vie intellectuelle ou spirituelle. C’est ce qu’on appelle l’exercice des droits culturels. Cet exercice permet de reconnaître la dignité des personnes dans l’expression de leurs pratiques culturelles aussi diverses soient elles et renforce leur capacité d’agir.
Pour cette nouvelle rencontre du Réseau Wresinski culture, nous avons choisi 3 domaines de vie essentiels pour les êtres humains : se loger, se nourrir, se soigner. L’enjeu est d’y présenter des expériences qui montrent à quel point le fait d’exprimer ce à quoi on donne sens permet à chacun de passer d’une position de passivité à une posture agissante, jusqu’à la transformation de ses conditions de vie.
En reconnaissant les personnes dans leur droit à exprimer leurs références culturelles et à en échanger avec les autres, nous espérons faire entendre à quel point la culture n’est pas un domaine réservé mais une dimension qui traverse tous les aspects de la vie et contribue à faire société, en favorisant l’émancipation de chacun.
**__Intervenants__**
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**Hélène Tavera**, Collectif 4C : « Comment développer un lien social et de convivialité par l'alimentation au sein d’un collectif d’habitants »
**Benoit Guérard et Viviane Tirlicien**, Terre de Lorraine : « Reconnaître la dignité des personnes à travers une charte pour l'accessibilité à tous d'une alimentation de qualité »
**Schutz Jacqueline**, Restos du Cœur : « Mettre en lumière comment les ateliers cuisine font émerger la dimension culturelle du droit à l’alimentation et leur articulation avec les différentes formes d’accompagnement proposés par
les Restos du cœur »
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""""Soin - Santé : 27 mai de 14h à 17h""
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**Anne-Sophie Baudchon** (sage-femme), PMI département du Nord : « Prise en compte de la culture des patients dans la pratique de l’accompagnement périnatal, sortir de la prescription professionnelle pour entrer dans une interaction constructive avec les patients » et
**Cadart Marie-Laure**, Médecin et anthropologue : « Reconnaissance de la culture de chaque femme au sein des crèches et PMI »
**Didier Ménard**, Place de la Santé : « Approche élargie de la santé visant à « faire de la médecine autrement » axée sur le bien-être des individus »
**Emmanuelle Jouet**, Pair-aidance : « Développement d’une formation à la pair-aidance pour faire reconnaître en tant que professionnels ces pairs aidants, créatrice de l’association « J’entends des voix » militant pour la reconnaissance d’un autre rapport au monde »
------
""""Logement : 10 juin de 14h à 17h""
""
**Moncef Labidi**, Café social : « Réflexion sur les logements partagés et création du concept de café social à Paris, lieu de lien social où se retrouvent des travailleurs immigrés »
**Jean-Pierre Chrétien-Goni,** Musée de la Migration : « Réflexions autour de la question du droit au logement et travail de mémoire à travers la création d’un musée éphémère »
**Astrid Perroy,** Habitat et Humanisme : « Sur la base d’exemples concrets, Astrid, accompagnée du bénévole encadrant, se propose de faire un retour sur l’impact de la culture dans les travaux d’entretien et aménagement des appartements »
------
""""Table ronde finale ""
""
avec **Mylène Bidault, Luc Carton, Jean-Pierre Chrétien-Goni **et d'autres témoignages le 14 juin de 14h à 17h.
Date de l'événement
18.05.2021 - 14:00
Atelier CAC - suite de l'enquête d'un quinquennat à l'autre - 18 fév
Atelier CAC - suite de l'enquête d'un quinquennat à l'autre - 18 fév
Description
Second temps collectif après la réunion plénière 18/12/21 "SPÉCIALE ENQUÊTE SUR L’ÉVOLUTION DU MONDE ASSOCIATIF… D’UN QUINQUENNAT À L’AUTRE"
RDV Vendredi 18 février 2022 de 14h à 17h en visio
Dans la continuité des questions posées aux associations et réseaux (d’octobre à déc+ déc à fév) sur les évolutions constatées durant le dernier quinquennat, ce rendez-vous est l’occasion de prendre un 2d temps collectif (présentiel/distanciel) pour croisert les synthèses de vos contributions et celles des autres acteurs associatifs et en discuter ensemble.
Ce sera l’occasion sélection et rédaction des bilans et perspectives choisies à partir de l' analyse collective des réponses à l‘enquête dont vous retrouverez tous les détails sur ce site ICI : https://mobilisations.associations-citoyennes.net/?EnquetePresidentielles
L’idée centrale : donner la parole aux associations, restituer et analyser les différentes paroles, les mettre en commun, prendre le temps de regarder ce qui a été fait durant le quinquennat qui s’achève et ce que nous voudrions pour le prochain.
RDV Vendredi 18 février 2022 de 14h à 17h en visio
Dans la continuité des questions posées aux associations et réseaux (d’octobre à déc+ déc à fév) sur les évolutions constatées durant le dernier quinquennat, ce rendez-vous est l’occasion de prendre un 2d temps collectif (présentiel/distanciel) pour croisert les synthèses de vos contributions et celles des autres acteurs associatifs et en discuter ensemble.
Ce sera l’occasion sélection et rédaction des bilans et perspectives choisies à partir de l' analyse collective des réponses à l‘enquête dont vous retrouverez tous les détails sur ce site ICI : https://mobilisations.associations-citoyennes.net/?EnquetePresidentielles
L’idée centrale : donner la parole aux associations, restituer et analyser les différentes paroles, les mettre en commun, prendre le temps de regarder ce qui a été fait durant le quinquennat qui s’achève et ce que nous voudrions pour le prochain.
Date de l'événement
18.02.2022
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Atelier Formation Territoriaux du réseau des CCCA - 13/10
Atelier Formation Territoriaux du réseau des CCCA - 13/10
Description
Le réseau des cafés culturels et des cantiens associatives remplace en En 2023 le "Forum" par des "ateliers-formation territoriaux". Le premier atelier s’est tenu à Brioude en Haute-loire organisé avec le café La Clef le mardi 27 juin.
D’autres Ateliers-formation cet automne :
D’autres Ateliers-formation cet automne :
- à Saint-Affrique le 13 octobre
- à Berck le 21 octobre
- à Mont-Saint-Jean le 18 novembre
Date de l'événement
13.10.2023
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Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
12208 saint affrique
Atelier Formation Territoriaux du réseau des CCCA - 21/10
Atelier Formation Territoriaux du réseau des CCCA - 21/10
Description
Le réseau des cafés culturels et des cantiens associatives remplace en En 2023 le "Forum" par des "ateliers-formation territoriaux". Le premier atelier s’est tenu à Brioude en Haute-loire organisé avec le café La Clef le mardi 27 juin.
D’autres Ateliers-formation cet automne :
D’autres Ateliers-formation cet automne :
- à Berck le 21 octobre
- à Mont-Saint-Jean le 18 novembre
Date de l'événement
21.10.2023
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
62 Berck
Atelier Formation Territoriaux du réseau des CCCA - 30/09
Atelier Formation Territoriaux du réseau des CCCA - 30/09
Description
Le réseau des cafés culturels et des cantiens associatives remplace en En 2023 le "Forum" par des "ateliers-formation territoriaux". Le premier atelier s’est tenu à Brioude en Haute-loire organisé avec le café La Clef le mardi 27 juin.
D’autres Ateliers-formation cet automne :
D’autres Ateliers-formation cet automne :
- à Prades le 30 septembre
- à Saint-Affrique le 13 octobre
- à Berck le 21 octobre
- à Mont-Saint-Jean le 18 novembre
Date de l'événement
30.09.2023
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Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
66149 prades
Atelier surveillance numérique - 18/11
Atelier surveillance numérique - 18/11
Description
Samedi 18 novembre à 18h, rendez-vous dans le 13è arrondissement de Marseille pour un atelier animé par la Quadrature du net sur la surveillance numérique policière de nos quartiers, dans le cadre de la commémoration de la marche pour l'égalité et contre le racisme.
Date de l'événement
18.11.2023
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Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
152 avenue de la Rose, 13013 Marseille
Atteintes aux libertés assos ? on en parle DLA 71 - juin+sept
Atteintes aux libertés assos ? on en parle DLA 71 - juin+sept
Description
Le DLA de Saône-et-Loire invite les associations locales à s’informer et se mobiliser autour de ce sujet d’actualité
Un accompagnement collectif animé par le CAC — Collectif des associations citoyennes
Un accompagnement collectif animé par le CAC — Collectif des associations citoyennes
Date de l'événement
24.06.2024
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Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
chalon sur saone
Atteintes aux libertés assos ? on en parle DLA 71 - sept
Atteintes aux libertés assos ? on en parle DLA 71 - sept
Description
Le DLA de Saône-et-Loire invite les associations locales à s’informer et se mobiliser autour de ce sujet d’actualité
Un accompagnement collectif animé par le CAC — Collectif des associations citoyennes en 2 temps
Le DLA de Saône-et-Loire invite les associations locales à s’informer et se mobiliser autour de ce sujet d’actualité
Un accompagnement collectif animé par le CAC — Collectif des associations citoyennes en 2 temps
Date de l'événement
20.09.2024
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
chalon sur saone
Audrey Prud'Homme / Alliance Citoyenne
Audrey Prud'Homme / Alliance Citoyenne
Le quinquennat d’E. Macron s’achève actuellement. En prenant un peu de hauteur sur l’actualité, que souhaiteriez-vous exprimer sur son bilan en matière de vie associative ? De manière générale, a-t-on plutôt assisté à des avancés ? Des reculs ? Que peut-on retenir, selon vous, globalement, de ces 60 derniers mois ?
On a évidemment assisté à un recul des libertés associatives. La loi séparatisme, le contrat d'engagement républicain et les dissolutions arbitraires tentent de faire rentrer les assos dans un cadre qui correspond à celui de la politique LREM.
De plus les institutions se défaussent de plus en plus de leurs rôles pour faire porter ce poids aux assos.
Utiliser et contrôler.
Dans votre domaine d’activité, quelles vous semblent être les évolutions les plus marquantes à relever ? Le paysage a-t-il changé ? Par rapport à 2017, quelle est la situation dans votre secteur ?
Les répressions sur les quartiers populaires sont de plus en plus fortes, avec la menace de disqualification de leurs habitants en leur plaquant l'étiquette "d'islamistes" dès que ceux ci sortent du cadre désiré.
Nous entrons donc dans un moment charnière entre deux quinquennats. Dans cette campagne électorale qui commence avez-vous déjà entendu des idées, des pistes d’action, des propositions qui ont particulièrement retenues votre attention ?… Et si non, pensez-vous à des idées, des pistes d’actions ou des propositions que vous aimeriez entendre ces prochaines semaines et ces prochains mois ?
Revenir sur la loi séparatisme et le contrat d'engagement.
Soumettre les dissolutions à des commissions composées d'assos.
Nous sommes le 1er mai 2022. Et, c’est une immense surprise mais vous venez d’être nommé Ministre chargé de la vie associative par le candidat issu de la primaire populaire qui vient d’être élu (contre toute attente) à la présidence de la République. Quelles sont les premières mesures sur lesquelles vous décidez alors de travailler ?
Annulation de la loi séparatisme et du contrat d'engagement républicain.
Mise en place d'une commission indépendante d'associations chargée se statuer sur les répressions (un genre de Défenseur des Droits des assos)
Autre chose à ajouter ?
Bonne initiative !
(pour l'anonymat, à discuter en fonction de ce que vous souhaiter publier)
Souhaitez-vous l'anonymat lors de la restitution des résultats de l'enquête ?
OUI
AUFFRAY-MILESY Marigrine Présidente Association Ma Ressourcerie
AUFFRAY-MILESY Marigrine Présidente Association Ma Ressourcerie
Le quinquennat d’E. Macron s’achève actuellement. En prenant un peu de hauteur sur l’actualité, que souhaiteriez-vous exprimer sur son bilan en matière de vie associative ? De manière générale, a-t-on plutôt assisté à des avancés ? Des reculs ? Que peut-on retenir, selon vous, globalement, de ces 60 derniers mois ?
Les emplois aidés ont fortement diminué en nombre et en montant pendant ce quinquennat. Or ils sont indispensables au maintien et au développement des activités associatives. Nombre d'associations ont dû cesser leurs activités en direction des plus démunis, c'est bien dommage.
Dans votre domaine d’activité, quelles vous semblent être les évolutions les plus marquantes à relever ? Le paysage a-t-il changé ? Par rapport à 2017, quelle est la situation dans votre secteur ?
Nombre de ressourceries ont dû fermer ou diminuer fortement leurs activités alors qu'elles permettent aux plus modestes de s'équiper à petits prix et à des salariés très éloignés de l'emploi de retrouver une activité.
Nous entrons donc dans un moment charnière entre deux quinquennats. Dans cette campagne électorale qui commence avez-vous déjà entendu des idées, des pistes d’action, des propositions qui ont particulièrement retenues votre attention ?… Et si non, pensez-vous à des idées, des pistes d’actions ou des propositions que vous aimeriez entendre ces prochaines semaines et ces prochains mois ?
Il faut que les pouvoirs publics subventionnent à nouveau le monde associatif, sans contrepartie autre que la justification de l'emploi des fonds alloués à des objectifs associatifs ou caritatifs.
Créer un grand nombre d'emplois aidés fortement subventionnés.
Nous sommes le 1er mai 2022. Et, c’est une immense surprise mais vous venez d’être nommé Ministre chargé de la vie associative par le candidat issu de la primaire populaire qui vient d’être élu (contre toute attente) à la présidence de la République. Quelles sont les premières mesures sur lesquelles vous décidez alors de travailler ?
Allocation de fonds destinés à la création d'emplois fortement aidés à destination du monde associatif.
Allocation de subventions de fonctionnement aux associations environnementales et sociales.
Autre chose à ajouter ?
Votre réponse
Souhaitez-vous l'anonymat lors de la restitution des résultats de l'enquête ?
OUI
Bamboche Solidaire - 10/6
BENOIT Peter
BENOIT Peter
Le quinquennat d’E. Macron s’achève actuellement. En prenant un peu de hauteur sur l’actualité, que souhaiteriez-vous exprimer sur son bilan en matière de vie associative ? De manière générale, a-t-on plutôt assisté à des avancés ? Des reculs ? Que peut-on retenir, selon vous, globalement, de ces 60 derniers mois ?
Que des reculs, graves, car touchant au socle de nos libertés.
Dans votre domaine d’activité, quelles vous semblent être les évolutions les plus marquantes à relever ? Le paysage a-t-il changé ? Par rapport à 2017, quelle est la situation dans votre secteur ?
Paupérisation, précarisation, marchandisation avec la quasi-disparition de la préservation des biens communs, dont la privatisation rampante des services publics est la partie émergée de l'iceberg.
Nous entrons donc dans un moment charnière entre deux quinquennats. Dans cette campagne électorale qui commence avez-vous déjà entendu des idées, des pistes d’action, des propositions qui ont particulièrement retenues votre attention ?… Et si non, pensez-vous à des idées, des pistes d’actions ou des propositions que vous aimeriez entendre ces prochaines semaines et ces prochains mois ?
Votre réponse
Nous sommes le 1er mai 2022. Et, c’est une immense surprise mais vous venez d’être nommé Ministre chargé de la vie associative par le candidat issu de la primaire populaire qui vient d’être élu (contre toute attente) à la présidence de la République. Quelles sont les premières mesures sur lesquelles vous décidez alors de travailler ?
La sanctuarisation du statut associatif, renforcé dans la Constitution, interdisant le contrôle politique de l'État.
Autre chose à ajouter ?
Je ne comprends pas l"objectif de ce sondage... J'espère simplement qu'il ne s'agit pas de quémander quoi que ce soit dans une démarche illusoire : l'association (principe anarchiste) s'est conquise par la lutte.C'est pourquoi, poser vos questions en termes électoraux ne peut donner de réponses pertinentes.
Souhaitez-vous l'anonymat lors de la restitution des résultats de l'enquête ?
NON
Biennales Internationales du spectacle - 11&12/01
Biennales Internationales du spectacle - 11&12/01
Description
L’événement des professionnels du spectacle et des acteurs culturels
A Nantes - 11 et 12 Janvier 2023
A Nantes - 11 et 12 Janvier 2023
Date de l'événement
11.01.2023
Référence
https://www.bis2023.com/
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Biennales internationales du spectacle - 17 & &18/01
Biennales internationales du spectacle - 17 & &18/01
Description
BIS NANTES 2024 – BIENNALES INTERNATIONALES DU SPECTACLE
du mercredi 17 janvier au jeudi 18 janvier 2024
2024, 20 ans !
Une édition historique
Oui, 20 ans, cela se fête !
du mercredi 17 janvier au jeudi 18 janvier 2024
2024, 20 ans !
Une édition historique
Oui, 20 ans, cela se fête !
Date de l'événement
17.01.2024
Référence
https://lacite-nantes.fr/evenement/bis-nantes-2024-biennales-internationales-du-spectacle.html
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
44000 Nantes
Brésil en Mouvements - 28/9 au 1/10
Brésil en Mouvements - 28/9 au 1/10
Description
La 19ème édition du Brésil en Mouvements aura lieu du 28 septembre au 1er octobre 2023, au cinéma Les 7 Parnassiens. Porté par l’association Autres Brésils, le BEM est le plus grand festival de films documentaires brésiliens d’Europe
Date de l'événement
28.09.2023
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
paris
Buard Vincent Prénom Association éventuelle
Buard Vincent Prénom Association éventuelle
Le quinquennat d’E. Macron s’achève actuellement. En prenant un peu de hauteur sur l’actualité, que souhaiteriez-vous exprimer sur son bilan en matière de vie associative ? De manière générale, a-t-on plutôt assisté à des avancés ? Des reculs ? Que peut-on retenir, selon vous, globalement, de ces 60 derniers mois ?
Des reculs.
Financements plus difficiles , plus de pauvres dans la société, une désinformation sur ce qui se passe dans le pays et dans le monde, accompagnée parfois de répression , comme contre les journalistes qui ont parlé des ventes d'armes à l'arabie séoudite servant au Yémen.
Dans votre domaine d’activité, quelles vous semblent être les évolutions les plus marquantes à relever ? Le paysage a-t-il changé ? Par rapport à 2017, quelle est la situation dans votre secteur ?
Dans le secteur médical, des tensions accrues en libéral et dans le secteur public, par suppressions de lits, manque de renouvellement des médecins et autres catégories partant à la retraite. Des soins devenant de plus en plus payants pour les non-mahorais à Mayotte
Nous entrons donc dans un moment charnière entre deux quinquennats. Dans cette campagne électorale qui commence avez-vous déjà entendu des idées, des pistes d’action, des propositions qui ont particulièrement retenues votre attention ?… Et si non, pensez-vous à des idées, des pistes d’actions ou des propositions que vous aimeriez entendre ces prochaines semaines et ces prochains mois ?
En finir avec une monopolisation du discours ultra-libéral dans les médias dominants, qui fait glisser l'électorat à droite alors que ses besoins ressentis sont demandeurs de plus de social: meilleurs services publics, à élargir,..
Nous sommes le 1er mai 2022. Et, c’est une immense surprise mais vous venez d’être nommé Ministre chargé de la vie associative par le candidat issu de la primaire populaire qui vient d’être élu (contre toute attente) à la présidence de la République. Quelles sont les premières mesures sur lesquelles vous décidez alors de travailler ?
Porter au plus vite le budget de l'aide au développement international à 0,7% sans artifices (en sortir les investissements dans les D.O.M., les frais de scolarité des étudiants étrangers) et rapidement le faire passer en dons au lieu de prêts
Arrêter le financement de tout projet religieux, y compris catholique par l'Etat et les collectivités locales
Reconnaitre dans la carrière professionnelle le temps consacré au travail associatif
Soutenir le développement des coopératives : faciliter la reprise d'entreprises en difficultés par les salariés, financement public de coopératives agissant dans une logique écologique et de partage
Autre chose à ajouter ?
Votre réponse
Souhaitez-vous l'anonymat lors de la restitution des résultats de l'enquête ?
NON
cabrol marie-paule Nom Prénom Association éventuelle
cabrol marie-paule Nom Prénom Association éventuelle
Le quinquennat d’E. Macron s’achève actuellement. En prenant un peu de hauteur sur l’actualité, que souhaiteriez-vous exprimer sur son bilan en matière de vie associative ? De manière générale, a-t-on plutôt assisté à des avancés ? Des reculs ? Que peut-on retenir, selon vous, globalement, de ces 60 derniers mois ?
Votre réponse De nombreux reculs, avec un parti-pris de restriction des aides aux personnes défavorisées (15% des français vivant en 2020 sous le seuil de pauvreté) et des subventions aux asso qui essaient de pallier ces injustices et de maitenir une esquisse d'harmonie sociale et sociétale.
Dans votre domaine d’activité, quelles vous semblent être les évolutions les plus marquantes à relever ? Le paysage a-t-il changé ? Par rapport à 2017, quelle est la situation dans votre secteur ?
Votre réponse Mon domaine d'activité est la santé et je n'ai pas besoin de vous expliciter les attaques incessantes contre l'hôpital public et l'orientation libérale et financiarisée qui détruit depuis plus de 15 ans un système de santé que le monde entier nous enviait "jeunes"
Nous entrons donc dans un moment charnière entre deux quinquennats. Dans cette campagne électorale qui commence avez-vous déjà entendu des idées, des pistes d’action, des propositions qui ont particulièrement retenues votre attention ?… Et si non, pensez-vous à des idées, des pistes d’actions ou des propositions que vous aimeriez entendre ces prochaines semaines et ces prochains mois ?
Votre réponse Non, rien n'a retenu ma bienveillante attention, bien au contraire : la gestion de la crie sanitaire est aberrante, j'aimerais qu'on respecte les patients et les médecins, la destruction de l'hôpital public, j'aimerais qu'on cesse de fermer des lits, d'imposer des "économies" à un hôpital à bout de souffle, la destruction de l'éducation nationale qui va devenir locale, avec de flagrantes inégalités territoriales , les enfants sont notre avenir, de même les ado et jeunes adultes à qui on réduit les APL, on minimise les promesses de RSA "jeunes", j'aimerais qu'on respecte les jeunes défavorisés, qu'on trouve d'autres économies que sur le dos des chômeurs, autre scandale, qu'on cesse de précariser les travailleurs, qu'on supprime l'odieux CICE, qu'on rétablisse une contribution digne des grandes fortunes à l'effort national, qu'on cesse la gouvernance verticale monarchique, qu'on arrête de cliver le pays entre les gentils vaccinés et les criminels qui n'acceptent pas d'être contraints à participer en loucedé à la phase 3 des vaccins dont s'enrichissent les amis de Big Pharma, qu'on associe les citoyens aux décisions, autrement qu'en les méprisant style convention climat...
On peut rêver!
Nous sommes le 1er mai 2022. Et, c’est une immense surprise mais vous venez d’être nommé Ministre chargé de la vie associative par le candidat issu de la primaire populaire qui vient d’être élu (contre toute attente) à la présidence de la République. Quelles sont les premières mesures sur lesquelles vous décidez alors de travailler ?
Votre réponse Je ferais un audit -public- des associations, je les aiderais tant que faire se peut, et, en cessant de précariser les travailleurs et les immigrés, je leur permettrais de souffler un peu
Autre chose à ajouter ?
Votre réponse
Souhaitez-vous l'anonymat lors de la restitution des résultats de l'enquête ?
OUI
CAC'Café - Libertés asso CER + chasse aux socières - 25 jan
CAC'Café - Libertés asso CER + chasse aux socières - 25 jan
Description
Nouveau rendez-vous mensuel : le CAC’CAFÉ
à 9h à partir de décembre 2021 tous les derniers mardis du mois : prochain 25 janvier 2022
Le principe est simple : 1h30 d’échange sur une thématique qui change tous les mois. Un temps pour se parler et se connaitre entre membres du CAC . L’occasion d’échanger sur nos actualités associatives et politiques, les chantiers et projets, et pourquoi pas finir par une petite revue de presse collective et se proposer lectures, vidéos, podcasts…
Nous avons débuté le 2 décembre avec une thématique d’actualité : la nouvelle étude de notre Observatoire des Libertés Associatives ainsi que le Contrat d’Engagement Républicain qui devrait, hélas, entrer en application en janvier 2022.
Les séances suivantes se poursuivons avec les sujets que vous amènerez, celle du 6 janvier portera sur les élections présidentielles.
à 9h à partir de décembre 2021 tous les derniers mardis du mois : prochain 25 janvier 2022
Le principe est simple : 1h30 d’échange sur une thématique qui change tous les mois. Un temps pour se parler et se connaitre entre membres du CAC . L’occasion d’échanger sur nos actualités associatives et politiques, les chantiers et projets, et pourquoi pas finir par une petite revue de presse collective et se proposer lectures, vidéos, podcasts…
Nous avons débuté le 2 décembre avec une thématique d’actualité : la nouvelle étude de notre Observatoire des Libertés Associatives ainsi que le Contrat d’Engagement Républicain qui devrait, hélas, entrer en application en janvier 2022.
Les séances suivantes se poursuivons avec les sujets que vous amènerez, celle du 6 janvier portera sur les élections présidentielles.
Date de l'événement
25.01.2022
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
CAC'Café - Libertés asso CER + chasse aux socières - 25 jan
CAC'Café - Libertés asso CER + chasse aux socières - 25 jan
Description
Nouveau rendez-vous mensuel : le CAC’CAFÉ
à 9h à partir de décembre 2021 tous les derniers mardis du mois : prochain 25 janvier 2022
Le principe est simple : 1h30 d’échange sur une thématique qui change tous les mois. Un temps pour se parler et se connaitre entre membres du CAC . L’occasion d’échanger sur nos actualités associatives et politiques, les chantiers et projets, et pourquoi pas finir par une petite revue de presse collective et se proposer lectures, vidéos, podcasts…
//Nous avons débuté le 2 décembre avec une thématique d’actualité : la nouvelle étude de notre Observatoire des Libertés Associatives ainsi que le Contrat d’Engagement Républicain qui devrait, hélas, entrer en application en janvier 2022.//
Les séances suivantes se poursuivons avec les sujets que vous amènerez, celle du 6 janvier portera sur les élections présidentielles.
Date de l'événement
25.01.2022
CAC'Café - Libertés asso CER + chasse aux socières - 25 jan
CAC'Café - Libertés asso CER + chasse aux socières - 25 jan
Description
Nouveau rendez-vous mensuel : le CAC’CAFÉ
à 9h à partir de décembre 2021 tous les derniers mardis du mois : prochain 25 janvier 2022
Le principe est simple : 1h30 d’échange sur une thématique qui change tous les mois. Un temps pour se parler et se connaitre entre membres du CAC . L’occasion d’échanger sur nos actualités associatives et politiques, les chantiers et projets, et pourquoi pas finir par une petite revue de presse collective et se proposer lectures, vidéos, podcasts…
//Nous avons débuté le 2 décembre avec une thématique d’actualité : la nouvelle étude de notre Observatoire des Libertés Associatives ainsi que le Contrat d’Engagement Républicain qui devrait, hélas, entrer en application en janvier 2022.//
Les séances suivantes se poursuivons avec les sujets que vous amènerez, celle du 6 janvier portera sur les élections présidentielles.
Date de l'événement
25.01.2022
CAC'Café - Libertés asso CER + chasse aux socières - 25 jan
CAC'Café - Libertés asso CER + chasse aux socières - 25 jan
Description
Nouveau rendez-vous mensuel : le CAC’CAFÉ
à 9h à partir de décembre 2021 tous les derniers mardis du mois : prochain 25 janvier 2022
Le principe est simple : 1h30 d’échange sur une thématique qui change tous les mois. Un temps pour se parler et se connaitre entre membres du CAC . L’occasion d’échanger sur nos actualités associatives et politiques, les chantiers et projets, et pourquoi pas finir par une petite revue de presse collective et se proposer lectures, vidéos, podcasts…
//Nous avons débuté le 2 décembre avec une thématique d’actualité : la nouvelle étude de notre Observatoire des Libertés Associatives ainsi que le Contrat d’Engagement Républicain qui devrait, hélas, entrer en application en janvier 2022.//
Les séances suivantes se poursuivons avec les sujets que vous amènerez, celle du 6 janvier portera sur les élections présidentielles.
Date de l'événement
25.01.2022
CAC'Café - Libertés asso CER + chasse aux socières - 25 jan
CAC'Café - Libertés asso CER + chasse aux socières - 25 jan
Description
Nouveau rendez-vous mensuel : le CAC’CAFÉ
à 9h à partir de décembre 2021 tous les derniers mardis du mois : prochain 25 janvier 2022
Le principe est simple : 1h30 d’échange sur une thématique qui change tous les mois. Un temps pour se parler et se connaitre entre membres du CAC . L’occasion d’échanger sur nos actualités associatives et politiques, les chantiers et projets, et pourquoi pas finir par une petite revue de presse collective et se proposer lectures, vidéos, podcasts…
//Nous avons débuté le 2 décembre avec une thématique d’actualité : la nouvelle étude de notre Observatoire des Libertés Associatives ainsi que le Contrat d’Engagement Républicain qui devrait, hélas, entrer en application en janvier 2022.//
Les séances suivantes se poursuivons avec les sujets que vous amènerez, celle du 6 janvier portera sur les élections présidentielles.
Date de l'événement
25.01.2022
CAC'Café - libertés asso le 2 déc à 9h
CAC'Café - libertés asso le 2 déc à 9h
CAC'Café - libertés asso le 2 déc à 9h
CAC'Café - libertés asso le 2 déc à 9h
CAC'Café - libertés asso le 2 déc à 9h
Cac’Accueil pour expliquer le CAC aux adhérent.e.s - 14 oct
Cac’Accueil pour expliquer le CAC aux adhérent.e.s - 14 oct
Description
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
14.10.2021
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour expliquer le CAC aux adhérent.e.s - 14 oct
Cac’Accueil pour expliquer le CAC aux adhérent.e.s - 14 oct
Description
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
14.10.2021
Cac’Accueil pour expliquer le CAC aux adhérent.e.s - 14 oct
Cac’Accueil pour expliquer le CAC aux adhérent.e.s - 14 oct
Description
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
14.10.2021
Cac’Accueil pour expliquer le CAC aux adhérent.e.s - 14 oct
Cac’Accueil pour expliquer le CAC aux adhérent.e.s - 14 oct
Description
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
14.10.2021
Cac’Accueil pour expliquer le CAC aux adhérent.e.s - 14 oct
Cac’Accueil pour expliquer le CAC aux adhérent.e.s - 14 oct
Description
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
14.10.2021
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 10 février
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 10 février
Description
Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s (et autres curieu.ses.x) et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il a débuté en nov 2021
(et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Référence :
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il a débuté en nov 2021
(et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Référence :
Date de l'événement
10.02.2022
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 12 nov
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 12 nov
Description
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
12.11.2021
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 12 nov
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 12 nov
Description
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
12.11.2021
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 12 nov
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 12 nov
Description
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
12.11.2021
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 12 nov
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 12 nov
Description
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
12.11.2021
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 12 nov
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 12 nov
Description
Un tout nouveau rdv mensuel en visio (pour commencer) de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il débute en octobre 2021 (et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
12.11.2021
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 21 avril
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 21 avril
Description
Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s (et autres curieu.ses.x) et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il a débuté en nov 2021
(et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il a débuté en nov 2021
(et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
21.04.2022
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 8/9
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 8/9
Description
Les CAC’Accueils : tous les deuxièmes jeudis du mois, une petite heure de « visite guidée » et de discussion pour découvrir le CAC (idéal pour les nouveaux adhérents ou tout simplement ceux et celles qui veulent en savoir plus sur notre actualité, notre fonctionnement, notre histoire)… prochain rdv donc le jeudi 8 sept à 12h30 (n’hésitez pas à en parler autour de vous, dans vos équipes, auprès de vos adhérents, etc.) – Infos et inscriptions.
Date de l'événement
08.09.2022
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Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 9 déc
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 9 déc
Description
Nouveau rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il a débuté en nov 2021
(et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il a débuté en nov 2021
(et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
09.12.2021
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 9 déc
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 9 déc
Description
Nouveau rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il a débuté en nov 2021
(et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
09.12.2021
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 9 déc
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 9 déc
Description
Nouveau rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il a débuté en nov 2021
(et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
09.12.2021
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 9 déc
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 9 déc
Description
Nouveau rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il a débuté en nov 2021
(et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
09.12.2021
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 9 déc
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s - 9 déc
Description
Nouveau rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription et il a débuté en nov 2021
(et si le jeudi est férié on passe au vendredi).
Date de l'événement
09.12.2021
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s et personnes intéressées - 13 jan
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s et personnes intéressées - 13 jan
Description
Nouveau rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
13.01.2022
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s et personnes intéressées - 13 jan
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s et personnes intéressées - 13 jan
Description
Nouveau rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
13.01.2022
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s et personnes intéressées - 13 jan
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s et personnes intéressées - 13 jan
Description
Nouveau rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
13.01.2022
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s et personnes intéressées - 13 jan
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s et personnes intéressées - 13 jan
Description
Nouveau rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
13.01.2022
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s et personnes intéressées - 13 jan
Cac’Accueil pour les adhérent.e.s et personnes intéressées - 13 jan
Description
Nouveau rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
13.01.2022
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 08/02
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 08/02
Description
Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Date de l'événement
08.02.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cacaccueil-un-temps-pour-expliquer-le-cac-aux-adherent-e-s/
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 11/04
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 11/04
Description
Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Date de l'événement
11.04.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cacaccueil-un-temps-pour-expliquer-le-cac-aux-adherent-e-s/
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
en visio
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 12/01
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 12/01
Description
Description : rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Description : rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
12.01.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 12/09
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 12/09
Description
Rdv tous les 2 mois pour 1h de visio de présentation interactive du CAC afin d'accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.es et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Les 2d jeudis du mois (tous les 2 à 3 mois) à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Rdv tous les 2 mois pour 1h de visio de présentation interactive du CAC afin d'accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.es et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Les 2d jeudis du mois (tous les 2 à 3 mois) à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Date de l'événement
12.09.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cacaccueil-un-temps-pour-expliquer-le-cac-aux-adherent-e-s/
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
en visio
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 12/10
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 12/10
Description
Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous. Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement 14.09.2023
CacAccueil.jpg
Date de l'événement 14.09.2023
CacAccueil.jpg
Date de l'événement
12.10.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 13/06
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 13/06
Description
Description Description Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Les 2d jeudis du mois (tous les 2 à 3 mois) à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Description Description Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Les 2d jeudis du mois (tous les 2 à 3 mois) à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Date de l'événement
13.06.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cacaccueil-un-temps-pour-expliquer-le-cac-aux-adherent-e-s/
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
visio
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 13/10
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 13/10
Description
rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
13.10.2022
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 14/01
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 14/01
Description
Description Rdv tous les 2 mois pour 1h de visio de présentation interactive du CAC afin d'accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.es et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Les 2d jeudis du mois (tous les 2 à 3 mois) à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Description Rdv tous les 2 mois pour 1h de visio de présentation interactive du CAC afin d'accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.es et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Les 2d jeudis du mois (tous les 2 à 3 mois) à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Date de l'événement
09.01.2025
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cacaccueil-un-temps-pour-expliquer-le-cac-aux-adherent-e-s/
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
en visio
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 14/03
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 14/03
Description
Description Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Date de l'événement
14.03.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cacaccueil-un-temps-pour-expliquer-le-cac-aux-adherent-e-s/
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 14/11
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 14/11
Description
Rdv tous les 2 mois pour 1h de visio de présentation interactive du CAC afin d'accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.es et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Les 2d jeudis du mois (tous les 2 à 3 mois) à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Les 2d jeudis du mois (tous les 2 à 3 mois) à 12h30 sur inscription (débuté en nov 2021)
Date de l'événement
14.11.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cacaccueil-un-temps-pour-expliquer-le-cac-aux-adherent-e-s/
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
en visio
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 14/12
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 14/12
Description
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
- Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
14.12.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 14/9
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 14/9
Description
Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
14.09.2023
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Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 8/06
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 8/06
Description
Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » ! L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
08.06.2023
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Interne (dans le même onglet)
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 9/11
Cac’Accueil pour les adhérent.es et plus - 9/11
Description
Rdv mensuel en visio de présentation interactive du CAC pour accueillir les adhérent.e.s ou toute personnes curieuse du CAC et faire connaissance, en gros on vous emmène pour une « visite guidée » !
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
L’idée est d’expliquer ce que fait le CAC, comment il fonctionne, ses actions mais aussi de découvrir nos adhérent.e.s et leurs actions afin de créer des échanges entre nous.
Tous les 2d jeudis du mois à 12h30 sur inscription (il a débuté en nov 2021)
Date de l'événement
09.11.2023
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Café CARE "aidant proche" - 7/12
Café CARE "aidant proche" - 7/12
Description
Un jeudi par mois à 18h30, un rdv en présentiel dans le 15ème (112 rue Brancion au centre intergénérationnel Mix'âges) autour du Care, de l'accompagnement et de l'éthique en travail social, largement ouvert aux salarié.es, étudiant.es, stagiaires responsables, usagers, seniors etc.
Initiative modeste mais de qualité, qui s’inscrit dans la libération de la parole dans le secteur, dans l’amélioration du bien être et de la qualité de vie au travail et dans la prise en compte des nouvelles exigences du secteur. Ni expertise, ni conférence ce « café du care » se veut un lieu d’échange et pas de « prise de tête ».
Le 7 déc 2023 - 18h30/20h – 75015 Paris
Qu'est-ce qu'un aidant proche ? Avec Catherine Ibled animé par Gina Ikken
Initiative modeste mais de qualité, qui s’inscrit dans la libération de la parole dans le secteur, dans l’amélioration du bien être et de la qualité de vie au travail et dans la prise en compte des nouvelles exigences du secteur. Ni expertise, ni conférence ce « café du care » se veut un lieu d’échange et pas de « prise de tête ».
Le 7 déc 2023 - 18h30/20h – 75015 Paris
Qu'est-ce qu'un aidant proche ? Avec Catherine Ibled animé par Gina Ikken
Date de l'événement
07.12.2023
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Adresse
112 rue Brancion 75015
Café CARE accompagnement éthique - 5/10
Café CARE accompagnement éthique - 5/10
Description
Un jeudi par mois à 18h30, un rdv en présentiel dans le 15ème (112 rue Brancion au centre intergénérationnel Mix'âges) autour du Care, de l'accompagnement et de l'éthique en travail social, largement ouvert aux salarié.es, étudiant.es, stagiaires responsables, usagers, seniors etc.
Initiative modeste mais de qualité, qui s’inscrit dans la libération de la parole dans le secteur, dans l’amélioration du bien être et de la qualité de vie au travail et dans la prise en compte des nouvelles exigences du secteur.
Ni expertise, ni conférence ce « café du care » se veut un lieu d’échange et pas de « prise de tête ».
Prochaine date le jeudi 5 oct 2023 - 18h30/20h – 75015 Paris
1. Faut-il redouter la vieillesse ? Avec Yves Claude Martin Philosophe des savoirs animé par Frédéric Brun
Initiative modeste mais de qualité, qui s’inscrit dans la libération de la parole dans le secteur, dans l’amélioration du bien être et de la qualité de vie au travail et dans la prise en compte des nouvelles exigences du secteur.
Ni expertise, ni conférence ce « café du care » se veut un lieu d’échange et pas de « prise de tête ».
Prochaine date le jeudi 5 oct 2023 - 18h30/20h – 75015 Paris
1. Faut-il redouter la vieillesse ? Avec Yves Claude Martin Philosophe des savoirs animé par Frédéric Brun
Date de l'événement
05.10.2023
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Adresse
112 rue Brancion 75015
Café CARE accompagnement éthique - 9/11
Café CARE accompagnement éthique - 9/11
Description
Un jeudi par mois à 18h30, un rdv en présentiel dans le 15ème (112 rue Brancion au centre intergénérationnel Mix'âges) autour du Care, de l'accompagnement et de l'éthique en travail social, largement ouvert aux salarié.es, étudiant.es, stagiaires responsables, usagers, seniors etc.
Initiative modeste mais de qualité, qui s’inscrit dans la libération de la parole dans le secteur, dans l’amélioration du bien être et de la qualité de vie au travail et dans la prise en compte des nouvelles exigences du secteur. Ni expertise, ni conférence ce « café du care » se veut un lieu d’échange et pas de « prise de tête ».
Le 9 nov 2023 - 18h30/20h – 75015 Paris
L'éducation jusqu'à quel point ? Avec Chritian Jodeau animé par Eric Denoyelle
Initiative modeste mais de qualité, qui s’inscrit dans la libération de la parole dans le secteur, dans l’amélioration du bien être et de la qualité de vie au travail et dans la prise en compte des nouvelles exigences du secteur. Ni expertise, ni conférence ce « café du care » se veut un lieu d’échange et pas de « prise de tête ».
Le 9 nov 2023 - 18h30/20h – 75015 Paris
L'éducation jusqu'à quel point ? Avec Chritian Jodeau animé par Eric Denoyelle
Date de l'événement
09.11.2023
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Adresse
112 rue Brancion 75015
Café'CAC - Coop-Médias & presse indépendante - 8/10
Café'CAC - Coop-Médias & presse indépendante - 8/10
Description
Pour ce Café’CAC de reprise, nous traiterons du sujet de la presse indépendante comme espace indispensable pour mener les enquêtes, diffuser les idées, réagir à l’actualité… espace complémentaire à nos travaux associatifs.
A la veille de son lancement officiel (9 octobre), Coop’Médias coopérative dont le CAC est membre fondateur, tout comme ATTAC, Enercoop, Alters’Média, le CTC, Blast, l’Age de Faire…, vous propose de « participer à la construction d’un paysage médiatique indépendant, engagé et de qualité ».
Intervenant.es : Robin Saxod du Collectif pour la Transition Citoyenne, un des fondateurs de Coopmédias.
A la veille de son lancement officiel (9 octobre), Coop’Médias coopérative dont le CAC est membre fondateur, tout comme ATTAC, Enercoop, Alters’Média, le CTC, Blast, l’Age de Faire…, vous propose de « participer à la construction d’un paysage médiatique indépendant, engagé et de qualité ».
Intervenant.es : Robin Saxod du Collectif pour la Transition Citoyenne, un des fondateurs de Coopmédias.
- Inscription ICI : https://framaforms.org/caccafe-oct-a-dec-2024-les-mardis-a-9h-1721059116
Date de l'événement
08.10.2024
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en visio
café'CAC - Lutte contre extême droite (suite bis) - 16/7
café'CAC - Lutte contre extême droite (suite bis) - 16/7
Description
Suite au résultats électoraux du 30 juin, le CAC vous proposait un « Café’CAC » exceptionnel mercredi 3 juillet que nous avons trouvé nécessaire de réitérer après le second tour le 9/7 et la semaine suivante.
Comment lutter, toujours et encore, contre la propagation des idées d’extrême droite ?
Au regard de la situation politique, nous discuterons ensemble d’un double questionnement très simple : dans notre lutte contre la propagation des idées d’extrême-droite, qu’est-ce qui nous semble « marcher », qu’est-ce qui nous semble ne pas « marcher » ?
Que faire et comment unir nos forces pour continuer le combat d’actions humanistes au travers nos engagements associatifs ?
Référence
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Adresse en visio
Comment lutter, toujours et encore, contre la propagation des idées d’extrême droite ?
Au regard de la situation politique, nous discuterons ensemble d’un double questionnement très simple : dans notre lutte contre la propagation des idées d’extrême-droite, qu’est-ce qui nous semble « marcher », qu’est-ce qui nous semble ne pas « marcher » ?
Que faire et comment unir nos forces pour continuer le combat d’actions humanistes au travers nos engagements associatifs ?
Référence
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Adresse en visio
Date de l'événement
16.07.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cafecac-visio-second-mardi-du-mois-popmind-14-mai/
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Adresse
visio
café'CAC - Lutte contre extême droite (suite) - 9/7
café'CAC - Lutte contre extême droite (suite) - 9/7
Description
café'CAC - lutte contre extême droite - 9 juillet à 9h
Suite au résultats électoraux du 30 juin, le CAC vous proposait un « Café’CAC » exceptionnel mercredi 3 juillet que nous avons trouvé nécessaire de réitérer après le second tour.
comment lutter, toujours et encore, contre la propagation des idées d’extrême droite ? : Inscription ICIhttps:framaforms.org/caccafe-exceptionnel-9-juillet-2024-a-9h-1719824598
Au regard de la situation politique, nous discuterons ensemble d’un double questionnement très simple : dans notre lutte contre la propagation des idées d’extrême-droite, qu’est-ce qui nous semble « marcher », qu’est-ce qui nous semble ne pas « marcher » ?
Que faire et comment unir nos forces pour continuer le combat d’actions humanistes au travers nos engagements associatifs ?
Suite au résultats électoraux du 30 juin, le CAC vous proposait un « Café’CAC » exceptionnel mercredi 3 juillet que nous avons trouvé nécessaire de réitérer après le second tour.
comment lutter, toujours et encore, contre la propagation des idées d’extrême droite ? : Inscription ICIhttps:framaforms.org/caccafe-exceptionnel-9-juillet-2024-a-9h-1719824598
Au regard de la situation politique, nous discuterons ensemble d’un double questionnement très simple : dans notre lutte contre la propagation des idées d’extrême-droite, qu’est-ce qui nous semble « marcher », qu’est-ce qui nous semble ne pas « marcher » ?
Que faire et comment unir nos forces pour continuer le combat d’actions humanistes au travers nos engagements associatifs ?
Date de l'événement
09.07.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cafecac-visio-second-mardi-du-mois-popmind-14-mai/
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Adresse
en visio
café'CAC - lutte contre extême droite - 3/7
café'CAC - lutte contre extême droite - 3/7
Description
Suite au résultats électoraux du 30 juin, le CAC vous propose un « Café’CAC » exceptionnel mercredi 3 juillet 9h.
rdv décidé précipitamment sur le thème de l’urgence démocratique de l’entre deux tours : comment lutter, toujours et encore, contre la propagation des idées d’extrême droite ? : Inscription ICIhttps:framaforms.org/caccafe-exceptionnel-9-juillet-2024-a-9h-1719824598
Au regard de la situation politique, nous discuterons ensemble, ce mercredi, d’un double questionnement très simple : dans notre lutte contre la propagation des idées d’extrême-droite, qu’est-ce qui nous semble « marcher », qu’est-ce qui nous semble ne pas « marcher » ?
Que faire et comment unir nos forces pour continuer le combat d’actions humanistes au travers nos engagements associatifs ?
rdv décidé précipitamment sur le thème de l’urgence démocratique de l’entre deux tours : comment lutter, toujours et encore, contre la propagation des idées d’extrême droite ? : Inscription ICIhttps:framaforms.org/caccafe-exceptionnel-9-juillet-2024-a-9h-1719824598
Au regard de la situation politique, nous discuterons ensemble, ce mercredi, d’un double questionnement très simple : dans notre lutte contre la propagation des idées d’extrême-droite, qu’est-ce qui nous semble « marcher », qu’est-ce qui nous semble ne pas « marcher » ?
Que faire et comment unir nos forces pour continuer le combat d’actions humanistes au travers nos engagements associatifs ?
Date de l'événement
03.07.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cafecac-visio-second-mardi-du-mois-popmind-14-mai/
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en visio
Café'CAC - Place de l’éduc pop en milieu rural face au vote d’extrême droite- 10/12
Café'CAC - Place de l’éduc pop en milieu rural face au vote d’extrême droite- 10/12
Description
Mardi 10 Déc 24 : Quelle place pour l’éducation populaire face au vote d’extrême droite en milieu rural ?
RETOUR SUR NOS DERNIERS CAFES’CAC : Retrouvez les thèmes et comptes-rendus des Café’CAC passés sur cette page avec toutes les ressources échangées : https://mobilisations.associations-citoyennes.net/?AcTualite
RETOUR SUR NOS DERNIERS CAFES’CAC : Retrouvez les thèmes et comptes-rendus des Café’CAC passés sur cette page avec toutes les ressources échangées : https://mobilisations.associations-citoyennes.net/?AcTualite
Date de l'événement
10.12.2024
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en visio
Café’CAC - Actualité marchandisation des associations - 12/03
Café’CAC - Actualité marchandisation des associations - 12/03
Description
Tous les seconds mardis du mois à 9h , un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Pour ce mardi de mars le thème est Actualité marchandisation des association, notamment à travers notre newsletter le "klaxon"
Pour ce mardi de mars le thème est Actualité marchandisation des association, notamment à travers notre newsletter le "klaxon"
Date de l'événement
12.03.2024
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Adresse
en visio
Café’CAC - Bilan mi-mandat Pacte pour la transistion - 27/06
Café’CAC - Bilan mi-mandat Pacte pour la transistion - 27/06
Description
Cafés’CAC : tous les derniers mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial en visio où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Date de l'événement
27.06.2023
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Café’CAC - La décroissance comme levier asso - 13/02
Café’CAC - La décroissance comme levier asso - 13/02
Description
Tous les seconds mardis du mois à 9h , un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Ce mardi Fleur Bertrand-Montembault de la Maison commune de la décroissance viendra répondre et débattre autour de cette question : Et si la perspective de la décroissance était un levier politique puissant pour les associations ?
Ce mardi Fleur Bertrand-Montembault de la Maison commune de la décroissance viendra répondre et débattre autour de cette question : Et si la perspective de la décroissance était un levier politique puissant pour les associations ?
Date de l'événement
13.02.2024
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Café’CAC - Libertés des médias associatifs indépendants - 11/06
Café’CAC - Libertés des médias associatifs indépendants - 11/06
Description
Tous les seconds mardis du mois à 9h , un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Pour ce mardi de juin le thème est celui des médias indépendants et de leurs libertés avec la participation de Télémillevaches, télé associative en Limousin.
Pour ce mardi de juin le thème est celui des médias indépendants et de leurs libertés avec la participation de Télémillevaches, télé associative en Limousin.
Date de l'événement
11.06.2024
Référence
https://www.associations-citoyennes.net/cafecac-visio-second-mardi-du-mois-popmind-14-mai/
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
en visio
Café’CAC - rdv visio "café associatifs VS projet SOS" - 31/01
Café’CAC - rdv visio "café associatifs VS projet SOS" - 31/01
Description
Les Cafés’CAC : tous les derniers mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Date de l'événement
31.01.2023
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Café’CAC - rdv visio "Désobéissance civivle" - 25/10
Café’CAC - rdv visio "Désobéissance civivle" - 25/10
Description
Les Cafés’CAC : tous les derniers mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité… Prochain rdv le 25 oct sur le thème de la désobéissance civile.
Quelle légitimité pour la pratique de la désobéissance civile ? Nous aborderons cette question avec un représentant d’Alternatiba, l’association visée à Poitiers par une demande préfectorale de retrait de subvention pour avoir proposé un atelier sur cette pratique non violente lors de son « village des alternatives » en septembre dernier. Une nouvelle attaque aux libertés associatives, conséquence de l’entrée en vigueur du contrat d’engagement républicain.
Quelle légitimité pour la pratique de la désobéissance civile ? Nous aborderons cette question avec un représentant d’Alternatiba, l’association visée à Poitiers par une demande préfectorale de retrait de subvention pour avoir proposé un atelier sur cette pratique non violente lors de son « village des alternatives » en septembre dernier. Une nouvelle attaque aux libertés associatives, conséquence de l’entrée en vigueur du contrat d’engagement républicain.
Date de l'événement
25.10.2022
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Interne (dans le même onglet)
Café’CAC - rdv visio "enjeux projet urbain JO 2024" - 20/12
Café’CAC - rdv visio "enjeux projet urbain JO 2024" - 20/12
Description
Les Cafés’CAC : tous les derniers mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Date de l'événement
20.12.2022
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Café’CAC - rdv visio "Le Transiscope" - 14/03
Café’CAC - rdv visio "Le Transiscope" - 14/03
Description
Description : Les Cafés’CAC : tous les derniers mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Description : Les Cafés’CAC : tous les derniers mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Date de l'événement
14.03.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Café’CAC - rdv visio "Statut associatif européen" - 29/11
Café’CAC - rdv visio "Statut associatif européen" - 29/11
Description
Les Cafés’CAC : tous les derniers mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité… Prochain rdv le 29 npv sur le thème d'un éventuel statut européen pour les associations et de ce qu’elles ont à y gagner et à y perdre.
Le projet d’un statut associatif européen refait surface, qu’elles peuvent en être les conséquences pour les associations ? Cette question de la place des associations dans la législation européenne est vitale car au nom de la concurrence libre et non faussée, l’Europe pousse à regarder les associations comme des éléments d’un marché intérieur. Dans ce cadre, elle les soumet aux mêmes règles que les entreprises. Quelles marges de manœuvre pour les associations ? Comment peuvent-elles défendre la notion de non-lucrativité ? Comment les faire entrer dans le champ des activités d’intérêt général, protégées du marché et des lois de la concurrence ? Nous en discuterons ensemble lors de ce CAC Café avec Martin Bobel, du réseau national des ressourceries et recycleries, représentant associatif au CESE, qui a développé une analyse de cette politique européenne. Inscrivez-vous !
Le projet d’un statut associatif européen refait surface, qu’elles peuvent en être les conséquences pour les associations ? Cette question de la place des associations dans la législation européenne est vitale car au nom de la concurrence libre et non faussée, l’Europe pousse à regarder les associations comme des éléments d’un marché intérieur. Dans ce cadre, elle les soumet aux mêmes règles que les entreprises. Quelles marges de manœuvre pour les associations ? Comment peuvent-elles défendre la notion de non-lucrativité ? Comment les faire entrer dans le champ des activités d’intérêt général, protégées du marché et des lois de la concurrence ? Nous en discuterons ensemble lors de ce CAC Café avec Martin Bobel, du réseau national des ressourceries et recycleries, représentant associatif au CESE, qui a développé une analyse de cette politique européenne. Inscrivez-vous !
Date de l'événement
29.11.2022
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Café’CAC - rdv visio d'actu - 27/9
Café’CAC - rdv visio d'actu - 27/9
Description
Les Cafés’CAC : tous les derniers mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité… Prochain rdv le 27 sept sur le thème de l’IVG (notamment les décisions politiques en Amérique et les retombées mondiales) – infos et inscriptions ICI
Date de l'événement
27.09.2022
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Café’CAC - SNU - 30/05
Café’CAC - SNU - 30/05
Description
Les Cafés’CAC : tous les derniers mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Date de l'événement
30.05.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Café’CAC : Loi immigration - 25/04
Café’CAC : Loi immigration - 25/04
Description
Les Cafés’CAC : tous les derniers mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Date de l'événement
25.04.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Café’CAC actu associative - 10/10
Café’CAC actu associative - 10/10
Description
Tous les seconds mardis du mois à 9h (changement de la rentrée 2023, avant c'était les derniers mardis du mois), un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Date de l'événement
10.10.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Café’CAC actu associative - EGPU - 12/12
Café’CAC actu associative - EGPU - 12/12
Description
Tous les seconds mardis du mois à 9h , un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Ce mardi nous parlerons de ruralité et des Etats Généraux du Post Urbain
Ce mardi nous parlerons de ruralité et des Etats Généraux du Post Urbain
Date de l'événement
12.12.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Adresse
108 rue saint-maur 75011 Paris
Café’CAC tiers-lieux non lucratifs - 14/11
Café’CAC tiers-lieux non lucratifs - 14/11
Description
Tous les seconds mardis du mois à 9h, un temps assez informel et convivial où on se donne la possibilité d’échanger autour d’un thème particulier et d’une petite revue d’actualité…
Rdv mardi 14 novembre 2023 sur le thème les tiers-lieux à but non lucratif et non spéculatif :
Rencontre avec le réseau les « tiers-lieuses » et le réseau des Lieux Intermédiaires et Indépendants (Liis)
Le réseau des Lieux Intermédiaires et Indépendants (Liis)regroupe des lieux d’art et de culture collaboratifs et expérimentaux, alternatifs, indépendants qui défendent leur autonomie vis-à-vis du pouvoir public et des logiques marchandes. Il viendra nous donner son regard sur la création des tiers-lieuses, son analyse sur les logiques marchandes qui traversent les tiers-lieux et les manières d’y résister.
Rdv mardi 14 novembre 2023 sur le thème les tiers-lieux à but non lucratif et non spéculatif :
Rencontre avec le réseau les « tiers-lieuses » et le réseau des Lieux Intermédiaires et Indépendants (Liis)
- Le collectif des tiers-lieuses (qui regroupe des lieux et des associations d’éducation populaire) est un réseau de tiers-lieux à but non lucratif et non spéculatif. Il vient d’organiser son assemblée générale constituante après plusieurs années de rencontres et de travail commun. Il s’ajoute donc au vaste paysage des tiers-lieux avec un principe affirmé : défendre ces espaces comme non-lucratif « par contraste avec des espaces portés par le secteur marchand, l’entrepreneuriat spéculatif, et autres accélérateurs de business » et appuyer leur rôle « éminemment politique ».
Le réseau des Lieux Intermédiaires et Indépendants (Liis)regroupe des lieux d’art et de culture collaboratifs et expérimentaux, alternatifs, indépendants qui défendent leur autonomie vis-à-vis du pouvoir public et des logiques marchandes. Il viendra nous donner son regard sur la création des tiers-lieuses, son analyse sur les logiques marchandes qui traversent les tiers-lieux et les manières d’y résister.
Date de l'événement
14.11.2023
Référence externe
Interne (dans le même onglet)
Campagne 2022 l'Art Est Public ! - 17 fév
Campagne 2022 l'Art Est Public ! - 17 fév
Description
Alors que s’ouvre la période des élections présidentielle et législatives jusqu’à juin 2022, l’UFISC et ses organisations membres prennent l’initiative de relancer la dynamique L'Art Est Public (1) et d’appeler à la mobilisation culturelle pour une voie culturelle de la diversité et de la solidarité.
• 3 Objectifs
→ Communication publique sur la campagne L'Art Est Public, organisation d’actions, de temps forts... pour faire valoir le tiers-secteur culturel et artistique.
→ Rencontre des partis et des candidat·e·s aux présidentielle et législatives, pour tisser des liens pour demain.
→ Obtenir au moins 500 signatures d’élu·e·s pour une culture de la diversité et de la solidarité en 2022, pour légitimer notre plaidoyer et rendre "éligibles" nos propositions !
• 3 Objectifs
→ Communication publique sur la campagne L'Art Est Public, organisation d’actions, de temps forts... pour faire valoir le tiers-secteur culturel et artistique.
→ Rencontre des partis et des candidat·e·s aux présidentielle et législatives, pour tisser des liens pour demain.
→ Obtenir au moins 500 signatures d’élu·e·s pour une culture de la diversité et de la solidarité en 2022, pour légitimer notre plaidoyer et rendre "éligibles" nos propositions !
Date de l'événement
17.02.2022
Référence externe
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CARAVANE CONTRE-CROISSANCE - Clermont le 14/12
CARAVANE CONTRE-CROISSANCE - Clermont le 14/12
Description
CARAVANE CONTRE-CROISSANCE, étape de Clermont-Ferrand (après paris et Nantes)
📢 "Conférence introductive à la décroissance"
👁️🗨️ par Michel Lepesant, fondateur de la Maison commune de la décroissance
🕰️ à 13h45, le samedi 14 décembre à la Maison des Sciences de l'Homme
🌷 La thèse : "La décroissance est l'opposition politique à la croissance. Pour espérer engager un trajet de décroissance, il faut lutter contre la triple emprise de la croissance : économique (y répondre par une décrue), socioculturelle (y répondre par une décolonisation de nos imaginaires) et politique (y répondre par une repolitisation), car on ne peut rien imaginer de pire qu'une société qui sortirait de la croissance économique sans sortir du régime de croissance".
Pour s'inscrire : https://www.helloasso.com/associations/maison-commune-de-la-decroissance/evenements/inscription-caravane-contre-croissance-clermont-ferrand
📢 "Conférence introductive à la décroissance"
👁️🗨️ par Michel Lepesant, fondateur de la Maison commune de la décroissance
🕰️ à 13h45, le samedi 14 décembre à la Maison des Sciences de l'Homme
🌷 La thèse : "La décroissance est l'opposition politique à la croissance. Pour espérer engager un trajet de décroissance, il faut lutter contre la triple emprise de la croissance : économique (y répondre par une décrue), socioculturelle (y répondre par une décolonisation de nos imaginaires) et politique (y répondre par une repolitisation), car on ne peut rien imaginer de pire qu'une société qui sortirait de la croissance économique sans sortir du régime de croissance".
Pour s'inscrire : https://www.helloasso.com/associations/maison-commune-de-la-decroissance/evenements/inscription-caravane-contre-croissance-clermont-ferrand
Date de l'événement
14.12.2024
Référence externe
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Adresse
4 rue Ledru 63 clermont ferrand
CARAVANE CONTRE-CROISSANCE - Nantes le 30/11
CARAVANE CONTRE-CROISSANCE - Nantes le 30/11
Description
CARAVANE CONTRE-CROISSANCE, étape de Nantes
📢 "Pour en finir avec le slogan une croissance infinie dans un monde fini est impossible. Pour une autre approche des limites"
🕰️ à 11h15, le samedi 30 novembre à la salle de la Manufacture de Nantes
🌷 La thèse : Pourquoi sommes nous décroissants ? Parce que la nature et les bouleversements climatiques nous y contraignent ? A rebours de cette approche, faire l'éloge des limites, c'est faire l'éloge de l'autolimitation, pour retrouver enfin de l'autonomie.
Plus d'infos : https://lnkd.in/e8RBsXAT
Le programme complet de l'étape nantaise :
📢 "Pour en finir avec le slogan une croissance infinie dans un monde fini est impossible. Pour une autre approche des limites"
🕰️ à 11h15, le samedi 30 novembre à la salle de la Manufacture de Nantes
🌷 La thèse : Pourquoi sommes nous décroissants ? Parce que la nature et les bouleversements climatiques nous y contraignent ? A rebours de cette approche, faire l'éloge des limites, c'est faire l'éloge de l'autolimitation, pour retrouver enfin de l'autonomie.
Plus d'infos : https://lnkd.in/e8RBsXAT
Le programme complet de l'étape nantaise :
Date de l'événement
30.11.2024
Référence
https://lnkd.in/eDGzUPhh
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Adresse
Manufacture de Nante 44000
Caravane contre-croissance - Paris le 16/11
Caravane contre-croissance - Paris le 16/11
Description
La Caravane contre-croissance, un événement inédit en France porté par la Maison Commune de la Décroissance, a lieu cette année en trois étapes : Paris (le 16 novembre), Nantes (le 30 novembre) et Clermont-Ferrand (le 14 décembre). Ne ratez pas cette rencontre majeure, la première consacrée à la décroissance comme opposition politique à la croissance !
🧐 Pour retrouver le sens des limites, du bien commun, du partage et de la vie sociale... venez écouter des conférences enthousiasmantes et des personnalités engagées en faveur de solutions politiques pour un avenir soutenable écologiquement et socialement.
🧐 Pour retrouver le sens des limites, du bien commun, du partage et de la vie sociale... venez écouter des conférences enthousiasmantes et des personnalités engagées en faveur de solutions politiques pour un avenir soutenable écologiquement et socialement.
Date de l'événement
16.11.2024
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
2 Place Baudoyer 75004 Paris
Carnaval des Possibles de l'Oise - 29/9
CEA pour le droit au logement et le droit à la ville - 9 au 12/11
CEA pour le droit au logement et le droit à la ville - 9 au 12/11
Description
Du 9 au 12 novembre, la Coalition Européenne d'Action pour le droit au logement et le droit à la ville (CEA), dont font partie le DAL et l'AITEC, tiendra sa prochaine réunion à Paris. Pendant 4 jours, des collectifs de base, membres ou non de la CEA, viendront de 20 pays européens différents pour élaborer des stratégies communes, échanger leurs compétences et développer leurs campagnes et actions communes pour défendre le droit au logement et le droit à la ville pour tous·te.
deux au CICP (Centre International de Culture Populaire) et deux à l'AERI à Montreuil.
deux au CICP (Centre International de Culture Populaire) et deux à l'AERI à Montreuil.
Date de l'événement
09.11.2023
Référence
https://www.facebook.com/events/831053375416984/?acontext=%7B%22event_action_history%22%3A[]%7D
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Adresse
21 ter rue Voltaire 75011 Paris
Chantiers "vers une société de la coopération" - 2/10
Chantiers "vers une société de la coopération" - 2/10
Description
Journée chantiers de travail "vers une société de la coopération" le 2 octobre au Labo de l'ESS, ouvert.e à tou.te.s
Date de l'événement
02.10.2024
Référence
https://www.lelabo-ess.org/
Référence externe
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Chantiers ESS belge «Capitalisme, Patrimoine immatériel de l’Humanité?» - 13/10
Chantiers ESS belge «Capitalisme, Patrimoine immatériel de l’Humanité?» - 13/10
Description
Quelque chose ne tourne pas rond mais quoi? Et si c’était le système entier?
L'association belge "Saw-B" propose un plongeons dans l’antre du CAPITALISME… "Décortiquons ensemble ce que le capitalisme nous fait faire… sa place monumentale dans nos vies! Comment s’opposer à lui et quelles sont les alternatives possibles?
Cela vous parle et vous interroge? Si oui, rejoignez-nous aux Chantiers de l’économie sociale, le 13 octobre 2023, à Monceau (Charleroi)."
L'association belge "Saw-B" propose un plongeons dans l’antre du CAPITALISME… "Décortiquons ensemble ce que le capitalisme nous fait faire… sa place monumentale dans nos vies! Comment s’opposer à lui et quelles sont les alternatives possibles?
Cela vous parle et vous interroge? Si oui, rejoignez-nous aux Chantiers de l’économie sociale, le 13 octobre 2023, à Monceau (Charleroi)."
Date de l'événement
13.10.2023
Référence externe
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Adresse
6031 Monceau-sur-Sambre
Ciné-débat "La sociale" - 14/9
CLAC Sarthe
Le formulaire numéro 4 indiqué dans la fiche n'existe pas (peut être a-t-il été supprimée entre temps ?)
Co-construction (interne) du projet CTC 2026/2027 - 26/9
Co-construction (interne) du projet CTC 2026/2027 - 26/9
Description
Temps fort proposé par le CTC - interne au CTC
Jeudi 26 septembre : journée de co-construction du projet 2026-27 avec tous les partenaires du Pacte pour la Transition.
Jeudi 26 septembre : journée de co-construction du projet 2026-27 avec tous les partenaires du Pacte pour la Transition.
Date de l'événement
26.09.2024
Référence
https://transition-citoyenne.org/
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Collectif des Associations Citoyennes
Le formulaire numéro 4 indiqué dans la fiche n'existe pas (peut être a-t-il été supprimée entre temps ?)
Collectif Réseau d'êtres
Le formulaire numéro 4 indiqué dans la fiche n'existe pas (peut être a-t-il été supprimée entre temps ?)
Colloque « de la désobéissance civile au délit de solidarité » - 16/02
Colloque « de la désobéissance civile au délit de solidarité » - 16/02
Description
- Vendredi 16 fév à la Base à Marseille Le SAF organise un colloque intitulé « de la désobéissance civile au délit de solidarité »
Date de l'événement
16.02.2024
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
3 RUE PIERRE ROCHE – 13004 MARSEILLE
Colloque "Les ripostes face aux répressions associatives" - 27/9
Colloque "Les ripostes face aux répressions associatives" - 27/9
Description
A noter sur notre axe « libertés associatives » :
Le mercredi 27 septembre, de 18h à 21h à la bourse du travail (85 boulevard Charlot 75003 Paris), l'Observatoire des libertés associatives, qui documente depuis trois ans la régression démocratique autour des associations, fait sa rentrée !
https://www.facebook.com/events/1344048452868320/?ref=newsfeed
"Dissolutions, stigmatisation des militants, amendes et coupes de financement, criminalisation de la désobéissance civile : les entraves à l’activité associative se multiplient ces derniers mois. Elles ont connu une forme de consécration institutionnelle avec l’instauration de la Loi confortant le respect des principes de la République, dite "loi séparatisme", en août 2021, qui facilite les dissolutions administratives et impose le Contrat d’engagement républicain (CER), nouveau vecteur de discriminations et de sanctions abusives.
Ces attaques touchent tous les pans de la société civile et s’inscrivent dans un contexte autoritaire plus global : restriction du droit de manifestation, y compris après les révoltes des quartiers populaires consécutives à la mort de Nahel, pratique unilatérale du pouvoir avec la multiplication du recours au 49.3 et marginalisation des syndicats et des corps intermédiaires, orientations réactionnaires du champ médiatique, etc.
Le mercredi 27 septembre, de 18h à 21h à la bourse du travail (85 boulevard Charlot 75003 Paris), l'Observatoire des libertés associatives, qui documente depuis trois ans la régression démocratique autour des associations, fait sa rentrée !
https://www.facebook.com/events/1344048452868320/?ref=newsfeed
"Dissolutions, stigmatisation des militants, amendes et coupes de financement, criminalisation de la désobéissance civile : les entraves à l’activité associative se multiplient ces derniers mois. Elles ont connu une forme de consécration institutionnelle avec l’instauration de la Loi confortant le respect des principes de la République, dite "loi séparatisme", en août 2021, qui facilite les dissolutions administratives et impose le Contrat d’engagement républicain (CER), nouveau vecteur de discriminations et de sanctions abusives.
Ces attaques touchent tous les pans de la société civile et s’inscrivent dans un contexte autoritaire plus global : restriction du droit de manifestation, y compris après les révoltes des quartiers populaires consécutives à la mort de Nahel, pratique unilatérale du pouvoir avec la multiplication du recours au 49.3 et marginalisation des syndicats et des corps intermédiaires, orientations réactionnaires du champ médiatique, etc.
Date de l'événement
27.09.2023
Référence externe
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Colloque Sénat libertés associatives au Sénat - 9/6
Colloque Sénat libertés associatives au Sénat - 9/6
Description
Le vendredi 9 juin un colloque sur les libertés associatives -auquel le CAC participe- est organisé par Thomas Dossus
de 9h à 13h au Palais du Luxembourg (Sénat)
de 9h à 13h au Palais du Luxembourg (Sénat)
Date de l'événement
09.06.2023
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Colloque syndicat des avocats de France "dissoudre les libertés ?" - 13 & 14/10
Colloque syndicat des avocats de France "dissoudre les libertés ?" - 13 & 14/10
Description
Colloque "Peut on dissoudre les libertés?" à Strasbourg à l'occasion du
congrès du SAF (syndicat des avocats de France) sur le Thème des discrimination sur lequel le CAC interviendra.
https://lesaf.org/evenement/lautomne-du-saf-colloque-environnement-et-colloque-discrimination/
congrès du SAF (syndicat des avocats de France) sur le Thème des discrimination sur lequel le CAC interviendra.
https://lesaf.org/evenement/lautomne-du-saf-colloque-environnement-et-colloque-discrimination/
Date de l'événement
13.10.2023
Référence externe
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Adresse
4 Rue Brûlée, 67000 Strasbourg
Colloque Tiers-lieux solidaires : Opportunités et fragilités - 2 au 4/4
Colloque Tiers-lieux solidaires : Opportunités et fragilités - 2 au 4/4
Description
Colloque organisé à sciences Po Rennes du 2 au 4 avril
Sur ce même thème, un article à lire : "Tiers-lieux et politiques de solidarité en France : la quête contrariée du pouvoir d’agir" https://www.erudit.org/fr/revues/lsp/2023-n91-lsp09123/1109666ar/
- "Tiers-lieux solidaires : Opportunités et fragilités de nouveaux espaces d'action sociale"
Sur ce même thème, un article à lire : "Tiers-lieux et politiques de solidarité en France : la quête contrariée du pouvoir d’agir" https://www.erudit.org/fr/revues/lsp/2023-n91-lsp09123/1109666ar/
Date de l'événement
02.04.2024
Référence externe
Externe (dans un nouvel onglet)
Adresse
104 boulevard de la Duchesse Anne, Rennes